Migration pendulaire

complexe / ce qui entoure la ville (définition de 1966). Consécutif à un étalement et desserrement de la ville – → ce qui est en-dehors de la ville (donc différent / banlieue), mais en étroits contacts avec elle par les transports et les mobilités pendulaires ; cela entraîne un étalement de la ville le long des axes de transport (schéma 1 p. 141) – → zone-tampon, d'interpénétration entre ville et campagnes ; généralement marqué par un paysage mixte : habitat pavillonnaire, souvent récent et de + en +

Clichy-Batignolles bénéficie d’une offre de transports en commun importante et diversifiée (métro 13, RER C, Transilien, 6 lignes de bus) mais relativement chargée, principalement sur la ligne 13 du métro, aujourd’hui saturée surtout en raison des migrations pendulaires. Pour répondre aux besoins de mobilité́ de tous dans le respect de l’environnement, le projet vise à encourager les alternatives à l’utilisation de l’automobile, notamment par le développement articulé et synchronisé des transports collectifs

d’attraction («pull») devenus  plus puissants que les facteurs qui poussent les gens hors de chez eux («push») : aujourd’hui, malgré des inégalités entre le Nord et le Sud, ce sont moins la pression démographique et la pauvreté qui sont à l’origine des migrations que l’envie d’Europe et, plus largement d’Occident. - La généralisation progressive des passeports, survenue il y a seulement une vingtaine d’années, à l’exception de rares pays qui les distribuent encore parcimonieusement (Chine, Corée du Sud

mobilités des Français sont plus fréquentes, plus complexes et variées. L’échelle locale joue un rôle majeur. Près de la totalité des déplacements (98 %) sont réalisés dans un rayon inférieur à 50 km, du fait surtout des trajets domicile-travail. Ces migrations alternantes* ne cessent de s’allonger avec la croissance périurbaine et rurbaine, ce qui amène 50 % des ménages ruraux à posséder au moins deux voitures, contre 18 % des ménages franciliens. Les distances domicile-travail se sont accrues avec l’étalement

des « distances-temps » nous permet de passer quotidiennement de notre domicile à notre lieu de travail, des espaces de loisirs aux commerces. Désormais, les Français s'inscrivent dans un réseau de lieux. • À l'échelle locale, la mobilité pendulaire s'intensifie du fait de la périurbanisation et de la dissociation plus fréquente entre le lieu de résidence et le lieu de travail. Les Français parcourent aujourd'hui 43 km par jour en moyenne, soit quatre fois plus qu'en 1960. 2/9 •

la réalisation du canal Seine-Nord mettra fin au cul-de-sac fluvial actuel. •  La zone amont de la Seine normande et la partie orientale de la région sont dans l’orbite parisienne : poids des villes proches de l’Île-de-France, facilités de migrations pendulaires ferroviaires sans compter les résidences secondaires de Parisiens éparpillées dans les vallées des affluents de l’Eure. 1 Géographie 1re © Magnard 2011 Haute-Normandie 33 région en chiffres La TerriToire eT populaTion Superficie

sont installés. Sédentarité. En Europe centrale, ils ont été sédentarisés dans les années 1960. Les Roms sont souvent confondus avec les gens du voyages (personnes ayant choisi un mode de vie nomade), avec lesquels ils sont comptabilisés. Migration pendulaire. Allers-retours réguliers entre le pays de résidence des Roms et un pays proche. Exemple : les membres d’une famille roumaine séjournent quelques mois en Italie, afin d’y travailler temporairement. Ils partent soit avec un statut de travailleur

et des autoroutes à la périphérie de la ville comme celui de Shinjuku. Tokyo est de + en + marquée par la vertiginalité étant une des villes les plus cher au monde. Les banlieues agrandis sur 40km autour du centre avec pour corollaire des migrations pendulaires importantes. Sur certains terre-pleins abandonnés on aménage quelques nouveaux quartiers résidentielles et zones de loisirs (parc d’attraction, musées…) C) Les autres pôles de la mégapole. L’agglomération de Nagoya avec 14M d’hab est

longues distances au sein de l'espace urbain, d'autant plus que la desserte des périphéries en transports en commun est souvent insuffisante. L'usage massif des transports motorisés génère des des embouteillages dans les villes: en effet, les migrations pendulaires se font toutes dans le sens banlieue-centre le matin et dans le sens centre-banlieue le soir. Conséquences: saturation des axes routiers et autoroutiers, pollution atmosphérique, dégradation de l'environnement urbain (qualité de l'air, maladies

chacun s’accordant à considérer les effets frontières des périmètres de transports urbains et la dilution croissante des espaces urbains : amélioration incessante des infrastructures routières, dynamiques de périurbanisation et explosion des migrations pendulaires, ces trois phénomènes s’auto-entretenant. Plusieurs axes peuvent être identifiés pour renforcer l’efficacité de la chaîne des déplacements : - l’optimisation des dessertes et des correspondances ; - la construction de pôles d’échanges