Milice

derrière des barbelés pour nous ou leurs rappeler qu'ils n'étaient pas libres. Leurs visages creusés par la faim et le travail montrent les difficultés de vivre en tant que déportés dans un camp de concentration. Primo a été fait prisonnier par la milice fasciste le 13 décembre 1943. Avant de se faire arrêter, il part vivre dans la montagne avec un petit groupe d'amis. Un soir, son refuge est pris d'assaut par trois cents miliciens. Lors de son interrogatoire, il préfère avouer sa condition « citoyen

installer un gouvernement plus représentatif de la diversité du pays.». Un élément qui est très importent dans ce qu’il dise c’est qu’il y a des grandes diversités ethniques au sein de Soudain, ce qui amène aussi des conflits entre les gouvernants, les milices, différentes personnes qui s’attaque entre eux et les conflits ne s’arrêtent pas. Le dernier mais pas le moindre élément dans tous ces combats, c’est la perte de contrôle des tribus armées par le gouvernent. C’est-à-dire que les tribus font les choses

l’extrême-droite italienne. Chemises noires : milice paramilitaire des Faisceaux, puis du Parti national Fasciste. République de Weimar : nom donné au régime démocratique que l’Allemagne a connue de 1919 à 1933, en référence à la ville de Weimar où fut adoptée la Constitution. NSDAP : Parti national-socialiste des travailleurs Allemands, créé à Munich par Hitler, en février 1920. S.A. : sections d’assaut, nom de la milice paramilitaire du Parti nazi créée en 1920.

seuls, ils furent aidés. Ils demandaient de l'aide à la Wehrmacht, aux collaborateurs locaux, ainsi qu’aux groupes de la milice locale, qui étaient nombreux à participer aux massacres. L'armée allemande apportait un soutien logistique aux Einsatzgruppen, leur fournissant approvisionnement, transport et logement. Les Einsatzgruppen acceptaient volontiers la participation des milices locales à la fois parce qu'ils avaient besoin de l'aide de ces auxiliaires mais aussi parce qu'ils espéraient impliquer

peu nombreuses et qu’ils mangeaient beaucoup moins. Ma foi, un chat c’est un chat, et comme il fallait bien résoudre le problème d’une façon ou d’une autre, va pour le décret qui instaurait la suppression des chats qui n’étaient pas bruns. Les milices de la ville distribuaient gratuitement des boulettes d’arsenic. Mélangées à la pâtée, elles expédiaient les matous en moins de deux. Mon cœur s’était serré, puis on oublie vite. Les chiens, ça m’a surpris un peu plus, je ne sais pas trop pourquoi

industriels ou paysans aisés, qui ont peu confiance dans le régime républicain ou dans le parlementarisme pour maintenir l'ordre, sont radicalement anticommunistes. Les crimes politiques se succèdent, commis par les milices ouvrières (nombreux massacres de prêtres) ou par les milices nationalistes et les représailles s'enchaînent. L'État ne maintient plus l'ordre. Le groupe de généraux responsables du putsch était formé depuis 1933-1934, et la décision de passer à l'acte intervient en mars 1936

communauté internationale, et en particulier des gouvernements américains et européens, une action diplomatique auprès du gouvernement russe pour mettre fin à de violations des droits de l'homme imputables aux militaires de l'armée fédérale et des milices tchétchènes pro-fédérales, en absence de recours judiciaires réels. Ils exigèrent également la médiation internationale afin que s'établissent des négociations entre les nouvelles autorités tchétchènes et les séparatistes. Son refus de négocier avec

(STO). À partir de 1942, l’État français participe aux rafles des juifs (rafle du « Vélodrome d’hiver » le 16 juillet 1942) et laisse les Allemands déporter 85 000 juifs en Allemagne. Des otages sont livrés à l’occupant. Une police spéciale, la Milice, appuie la Gestapo et traque les juifs et les résistants. BLa chute du régime de Vichy Après le débarquement allié en Afrique du Nord (novembre 1942), l’armée allemande occupe toute la France qui devient un État satellite du Reich. Les Français

que seul le langage des armes était entendu par Khartoum. Ils se rebellèrent. Des observateurs humanitaires et diplomatiques accusent le gouvernement d'avoir armé et payé les Janjawids. Le conflit dans le Darfour n’est pas un conflit racial entre milices « arabes » et tribus « africaines ». Mais un conflit entre des tribus arabisées. Au début du conflit, il y a la présence de combats opposant les rebelles du MJE à l’armée régulière qui ne provoque pas d’intenses mouvements de populations. ur

Laval, le chef du gouvernement aide Hitler à utiliser la main d’œuvre française en créant le Service du Travail Obligatoire (ou STO) en 1942. La collaboration est aussi policière : la police française pourchasse résistants, communistes et juifs. La Milice créée en 1943 avec le soutien du maréchal Pétain, combat aux côtés des Allemands durant les opérations de 1944 contre les maquis de résistants. Le régime de Vichy mène comme les nazis une politique antisémite. En octobre 1940, l’Etat français promulgue