Militantisme

se mettent en couple, aient des enfants, se reproduisent). Même si l’abolition de l’esclavage se fait en premier lieu en France (mais servait à rien vu que les colonies étaient tenues par les anglais), ce sont les anglais qui sont à la pointe du militantisme. En 1807, ils obtiennent l’abolition de la traite. Désormais on ne peut plus faire de commerce de bois d’ébène et la marine anglaise va pendant très longtemps faire la chasse aux négriers. Dès 1807 se forme une nouvelle société, la société pour

C’est oublier la porosité entre certains clubs de réflexion, certaines associations et les partis politiques. Ceux-ci peuvent reprendre à leur compte des idées marquées par le militantisme : on l’a vu avec le projet de taxe sur les transactions financières, dite taxe Tobin, qui pourrait voir le jour en 2013. Ce militantisme peut aussi se porter vers l’action locale et de quartier. 2) La démocratie de proximité Depuis le XIXème siècle, les communes peuvent organiser des consultations

en 1909. Ce militantisme est véhiculé par la presse féminine comme le journal La vie féminine et par des actions symboliques, comme la grève de l’impôt en 1908. Dans les années 1910, les associations de femmes organisent des manifestations sur le modèle des suffragettes britanniques. L’Union française pour le suffrage des femmes présente une candidate aux élections législatives de 1910, Hubertine Auclert, mais sa candidature est invalidée. Malgré ce militantisme, la classe

afin de changer la société. Tandis que certains auteurs comme Verlaine refusent que la poésie soit au service d'un engagement et revendiquent "de la musique encore et toujours!", d'autres écrivains se servent de la poésie pour leur militantisme, et mettent la force de l'écriture au service de leurs idées. Cette poésie engagée prend son essor surtout au XIXème siècle chez les Romantiques, après la révolution. Ainsi, Victor Hugo dénonce Napoléon III dans Napoléon le Petit, et les horreurs

retranscrire la parole enfouie au fond de l’inconscient, du rêve et du désir. Eluard ne sera pas épargné par la guerre, il en connaîtra l’horreur, comme infirmier lors de la première guerre mondiale et sera même gazé. Il s’orientera alors vers un militantisme actif où prône la solidarité humaine : lutte contre le fascisme, adhésion au parti communiste en 1942. Il devient un des grands poètes de la Résistance. Il mourra en 1952. Le poème « Liberté » est représentatif de l’engagement d’Eluard contre

inspirer tout le mouvement de pensée du XVIIIème siècle et le Dictionnaire historique et critique va devenir l'arme privilégiée du camp des "philosophes". L'Encyclopédie de Diderot (1713-1784) et d'Alembert (1717-1783) reprendra à son compte le militantisme philosophique et le combat contre l'obscurantisme, le dogmatisme, le fanatisme et le despotisme. Les idées de Pierre Bayle trouveront aussi un écho puissant chez Montesquieu (1689-1755), qui introduit en philosophie politique des notions décisives

Le plus ancien et le plus puissant parti social-démocrate d'Europe, leader de la IIe Internationale, n'est pas le seul à abandonner du jour au lendemain des années de militantisme pacifiste, au nom de la défense de la patrie « agressée ». Dans tous les pays belligérants, socialistes et syndicalistes marxistes font de même, à l'exception de groupes minoritaires et d'individualités, ainsi que des petits Parti socialiste serbe et Parti social-démocrate de Hollande, et des cinq députés sociaux-démocrates

s’efforce de revendiquer une spécificité pour l’art, qui résiderait selon lui dans la nature même du rapport de l’art au monde. « Le constant réside en ceci que si l’art veut continuer à s’appeler « art » et non pas « sociologie », « linguistique », « militantisme », « design », il doit être en mesure, quel que soit l’objet de son exercice, de l’aborder d’une manière propre… », affirme-t-il, sans pouvoir préciser cette spécificité ni démontrer que l’art tient réellement et en toutes circonstances à encore

jeunes et les femmes sui se voient exclus des instances dirigeantes. Par là ces derniers manifestent leur révolte à l’encontre des ainés, des vieux accusés de conservatisme et de réactionnisme et d’avoir avalisé des noms qui ne disposent ni de militantisme ni de popularité au sein même de leurs fiefs électoraux. Ainsi la grande partie des instances du parti est monopolisée par une élite vielle, traditionnelle, sans changement et d’une sensibilité extrême à l’existence des courants opposés à l’intérieur

société. La figure de la sorcière inspire la peur, car la sorcière c’est celle qui en sait plus que les autres et détient un pouvoir, c’est justement pour cette raison que les féministes ce sont emparés de cette figure pour en faire un symbole de militantisme féminin, la sorcière n’étant que la femme savante accusée par une société patriarcale de sorcellerie. Il s’agit donc de déchiffrer les enjeux de l’usage de cette figure de sorcière, l’évolution de l’aura qui l’entoure a travers les siècles et