Militarisme

personnages masculins caricaturaux. Une fresque grotesque où chacun, défini par ses vêtements et ses attributs, incarne un corps social : les forces de la République de Weimar qui contribuent à faire le lit du nazisme les capitalistes, l'église et le militarisme. Duane Hanson, 1969, « Supermarket Lady » L’artiste : Duane Hanson : né en 1925 à Alexandria et décédé en 1996 à l’âge de 71 ans en Floride. (Etats-Unis) Ces œuvres étonnantes ont fait de Duane Hanson le sculpteur réaliste le plus connu

droite : monarchistes, bonapartistes devenus résiduels  nouvelle droite née autour de l’affaire D. avec leaders Charles Maurras (1868 – 1952 : théoricien, leader de l’action française) et Maurice Barres (1862 – 1923) Points communs : nationalisme, militarisme, cléricalisme Maurras : antiparlementarisme, violence des mots et des gestes, prône l’action directe (les camelots du roi et leurs cannes plombées = violents, blessés dans manifs pour faire entendre point de vue), homme d’influence, apporte un

la violence de l’Etat vers l’ext) La croissance de la surveillance correspond à la réduction de la violence au sein des stés. Pacification qui n’est pas générale = l’Etat n’a pas renoncé à la violence, il la dirige vers l’ext. Pacification et militarisme ne sont pas contradictoires. C’est deux phénomènex sont intrinsèquement lié chez Giddens. La pacification interne implique que la pop accorde de la puiss à l’Etat (acceptation du contrôle de police par ex) En utilisant les termes de Weber : A

comme la haine de l'antisémitisme, un danger, une « barbarie » beaucoup moins bien perçue qu'à l'époque d'aujourd'hui. Mais encore comme l'espoir de relation nouvelle de la classe ouvrière et les intellectuels, ou bien même la méfiance envers le militarisme et le cléricalisme car l'Armée et l'Église étaient perçues comme deux institutions qui s'opposent. On peut donner quelques exemples de Dreyfusards tels que : JAURES Jean (1859-1914) Philosophe normalien journaliste et homme politique.

bien évidement un tournant dans l'histoire politique et institutionnelle du Japon. Le bombardement nucléaire de Hiroshima et Nagasaki est considéré comme le point de départ de l'après guerre. Le Japon est donc se guidé sur la voix de l'abandon du militarisme pour afin de devenir un pays pacifique et annonce jamais la guerre. Il a établi aussi les "trois principes non nucléaire", ne possède pas, ne fabrique pas, ne laisse pas introduire sur le territoire japonais. Malgré que 66 ans après le bombardement

morale de la guerre datant de l'Antiquité. -Justification de l'usage de la guerre et légitimité de la violence. -Idée de la guerre comme moindre mal -Notion basée sur la discrimination des causes et des usages de la guerre. b) Entre pacifisme et militarisme -Notion de guerre juste: idée d'une moralité de la guerre qui trouve une place intermédiaire entre la conception de la guerre immorale (pacifisme) et l'impossible nécessité d'une morale guerrière (militariste). -Conception pacifiste: la justice

Grande-Bretagne). Les crises diplomatiques avec l'Allemagne se multiplient (crises marocaines de 1905 et 1911). L'opposition politique entre la droite et la gauche, centrée jusque là sur la question sociale, se déplace vers une opposition entre militarisme et pacifisme(JAURES). Conclusion : La France a mis presque cent ans pour se trouver un régime politique stable : la République laïque, démocratique et constitutionnelle.Mais le début du 20e siècle voit la montée du nationalisme et, désormais,

pluralisme, scepticisme, individualisme, authenticité) vient ré-antropo-124 centrer le même système de valeurs que le théologisme, le dogmatisme, le traditionalismeet le moralisme avaient déplacées dans certaines directions indésirables (le militarisme, lamanœuvre politique et culturelle, les mentalités comportementales frustrantes, lesattitudes grégaires préjudiciables, les absolutisations et les monopoles dangereux etc.).Finalement, l’immoralisme gidien vint « démocratiser » la morale : donner

moment de l'écriture du roman Orwell s'est inspiré du système soviétique, avec son Parti unique, son chef tutélaire objet d'un culte de personnalité, son régime d'assemblée, sa confusion des pouvoirs, ses plans de productions triennaux, son militarisme de patronage, ses parades et manifestations « spontanées », ses files d'attentes, ses slogans, ses camps de rééducation, ses confessions publiques « à la moscovite » et ses affiches géantes. On peut aussi y voir des emprunts au nazisme, au fascisme

première guerre mondiale le plonge dans un profond désarroi : il ne peut admettre qu'une culture puisse être supérieure à une autre. Pacifiste convaincu, il écrit Jérémie en 1916, drame dans lequel il dit toute sa haine de la guerre et son refus du militarisme. Dans toutes ses nouvelles on retrouve le thème des valeurs morales factices d'une société en décadence     [pic]1915 Il se marie avec sa compatriote : Friederik von Winternitz et s'installe à Salzbourg. Sa maison est un lieu de recontres privilégiées