Milton Friedman

Responsibility is far from having unanimous support among authors and arouses several controversies. Milton Friedman published in 1970 in New York Times Magazine an entitled article "Social responsibility of the business is to increase its profits ". This article aroused numerous reactions in the world of the business and the literature to this subject. In a first part, we are going to analyze the opinion of Friedman, with reactions of diverse authors, which also consider that CSR cannot be linked to the

développant et en suivant certaines tendances : commençant avec un concept crée uniquement pour faire du bénéfice (Friedman), à un concept plus élaboré, « social responsiveness » (Robert Ackerman and Raymond Bauer) qui a été fonde sur l’idée que la responsabilité sociale est trop «étroit » pour décrire tous les efforts sociaux ou la performance de l’entreprise. Pour Milton Friedman, la RSE consiste en « une doctrine fondamentalement subversive ». Pour lui il n’y a qu’une et une seule responsabilité

b) La stratégie du choc Dans les années 50 Milton Friedman est professeur d'économie à l'université de Chicago. Il défend la libre régulation du marché. Or, après le krach de Wall street en 1929 qui entraîne la grande dépression des années 30, les populations se méfient du capitalisme libéral. C'est pourquoi en 1933 le président Roosevelt selon la pensée de l’économiste Keynes applique le New Deal qui impose la régulation par l’État. Milton Friedman ainsi que d'autres économistes comme l'autrichien

1950-1960 (période des trentes glorieuses) . Se développe ainsi une critique de la théorie keynésienne, notamment à l’université de Chicago, qui regroupe des économistes renouant avec la théorie classique. C’est l’école de Chicago, mené par Milton Friedman. (prix nobel d’économie en 1976). Les nouveaux classiques forment une nouvelle école de pensée qui s’est développé dans les années 1970, Elle reprend la plupart des travaux des classiques et Keynésiens. Ils revisitent dans leurs travaux les

consommation A - Approche classique et néo-classique. B- Approche Keynésienne (revenu courant) C - les nouvelles théories de la consommation. 1 - J. Dusenberry : la théorie du revenu relatif 2 - T. Brown : effet de cliquet et effet d’hystérésis 3 - Milton Friedmann : la théorie du revenu permanent 4 - Théorie du cycle de vie de Modigliani (1954) III - Les rapports entre la consommation et le revenu - Les lois d'Engel. A- les lois d'Engel 1 - Les dépenses alimentaires : 2 - les dépenses de loisirs 3

de la valeur du bien, et on autorisait l’emprunteur à se ré endetter du montant de la progression de la valeur de son patrimoine. Pour les économistes de l'école « monétariste », conduite par Milton Friedman, les crises bancaires sont la principale forme de crise financière. Milton Friedman est un économiste américain né le 31 juillet 1912 à New York et mort le 16 novembre 2006 à San Francisco, considéré comme l'un des économistes les plus influents du XXe siècle. Les banques ont donné une

URSS, le terme matérialiste n’est pas réduit en erreur : de très nombreux libéraux sont métallistes, depuis Ricardo jusqu’à Jacques Rueff en passant par Wilfredo Pareto, mais tous les libéraux ne sont pas métallistes (Milton Friedman). Aux substantialistes s’opposent les nominalistes pour qui la monnaie est un signe dont la valeur ne repose que sur la confiance des agents entre eux et à l’endroit de la monnaie. C’est l’Etat qui crée la monnaie et sa valeur

l'investissement chute. L'effet du Krach de 1929 sur la Grande dépression a fait l'objet d'analyses diverses. Pour Paul Samuelson il n'est qu'un des facteurs, facteur d'ailleurs "fortuit" qui a conduit à la Grande dépression [1]. Pour Rose et Milton Friedman ce n'est pas un élément important dans la survenue de la Grande dépression qui pour eux a été provoquée par une politique monétaire inadéquate [2] Crise boursière et bancaire[modifier] La population entre dans un cercle vicieux destructif

l'investissement chute. L'effet du Krach de 1929 sur la Grande dépression a fait l'objet d'analyses diverses. Pour Paul Samuelson il n'est qu'un des facteurs, facteur d'ailleurs "fortuit" qui a conduit à la Grande dépression [1]. Pour Rose et Milton Friedman ce n'est pas un élément important dans la survenue de la Grande dépression qui pour eux a été provoquée par une politique monétaire inadéquate [2] Crise boursière et bancaire[modifier] La population entre dans un destructif cercle vicieux

Sous-section 1 : John Maynard Keynes Sous-Section 2 : William Beveridge Section 2 : les néoclassiques Sous-section 1 : l’économie de bien être néoclassique Sous-section 2 : l’école de Chicago Friedman Conclusion générale Bibliographie Introduction générale : Le rôle de l’Etat et son intervention dans l’économie a profondément varié aux cours des siècles. Ce changement s’explique par les évolutions d’organisations économiques