Milton Friedman

Georges Pampidou « Mieux vaut l’inflation que le chômage » Etude des économies de marchés depuis 1945 L'inflation et le chômage : un arbitrage trompeur Friedman, Milton (1969), Inflation et systèmes monétaires, Paris, Calmann-Lévy, coll. ''Agora", p. p. 55-57, extraits J'ai déjà souligné quels pouvaient être les effets indirects du remède contre l'inflation. Ces effets indirects sont un ralentissement de croissance et un chômage important. J'insiste sur le fait qu'il s'agit

suffisamment élevé pour permettre aux entreprises d'ajuster le salaire réel en fonction de la conjoncture. [modifier]L'analyse monétariste Le courant monétariste a été initié par l'économiste américain Milton Friedman, « prix Nobel » d'économie 1976. Analysant lui-aussi la grande dépression, Friedman estime qu'elle est due à une expansion déraisonnable du crédit, qui a provoqué une bulle spéculative dont l'éclatement marque le début de la crise, suivie d'un dégonflement tout aussi déraisonnable de

tirer aucun enrichissement culturel (texte 16 : Les limites sociales de la division du travail, Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations, GF Flammarion, 1991, tome 2, page 405). Le lecteur notera que les thèses de Georges Friedmann sur les méfaits du « machinisme industriel », et celles, plus contemporaines d’Alain Touraine, ont été formulées autour d’une problématique similaire. Dans cette perspective particulière, Adam Smith apparaît comme un précurseur. Pour autant, il ne

la monnaie électronique. L’approche théorique de la monnaie : L’approche classique : monnaie est un voile. Selon les nouvelles approches : monnaie est active. La définition de l’offre et demande de la monnaie est différent selon Keynes et Milton Friedman. L’approche de Keynes confirme que la banque centrale a un rôle passif dans la création monétaire, la monnaie est un outil au service de stabilisation conjoncturelle. D’autre côté, l’approche monétariste affirme que la banque centrale a une rôle

sidérurgie. II/ De nouveaux prophètes Les Etats Unis et la Grande Bretagne ont un model économique commun. Milton FRIEDMAN a pour idée principale que le capitalisme est quelque chose de bien mais que le problème est la bureaucratie par le capitalisme. Le coupable est l’Etat il donc faut privatiser l’économie. Ronald REAGAN suit et reprend les différents arguments de FRIEDMAN, il affirme qu’il faut « moins d’Etat, moins d’impôts et plus de revenus ». Au Royaume Uni, un mouvement parallèle

développement de la masse monétaire entrainera la hausse de prix. Si les transactions sont constantes et que la masse monétaire augmente, alors le niveau de prix augmente. Selon cette identité et certaines interprétations des monétaristes comme Milton et Mat, l’augmentation des quantités du monnaie et du crédit expliquerait l’inflation. Para 4: L’inflation importée Les prix des biens importés peuvent augmenter et accroître le taux d’inflation du pays importateur. La hausse des prix de ces biens

active (taux d intérêts bas pour faciliter l’investissement mais pas trop pour éviter la thésaurisation) Les grands travaux financés par l’Etat -... Mais Keynes n’explique pas la crise de 1979 (stagflation) et sera détrôné par les libéraux comme Friedman dans les années 80’. Karl Marx (1818 - 1883 ) Philosophe, économiste, théoricien socialiste et communiste allemand, il est le concepteur d’une conception de la société et de l’économie, appelée « Matérialisme Historique », ou des modes de productions

l'activité économique. Keynes montre que grâce au multiplicateur d'investissement, le déficit budgétaire permet de relancer l'activité économique. La croissance des revenus qui en résulte permet en retour d'augmenter les recettes fiscales. Milton Friedman, en 1974, va à l'encontre de la théorie Keynésienne. Il fait l'hypothèse que les anticipations des agents sont adaptatives. Ainsi, un ménage anticipera la hausse des impôts à payer pour l'année prochaine en fonction des impôts déjà payés. Le mécanisme

Arrow, Gérard Debreu), l'École des choix publics (James M. Buchanan, Gordon Tullock), les Nouveaux classiques (Robert Lucas Jr, Finn E. Kydland et Edward C. Prescott), l'École de Chicago (George Stigler, Gary Becker) ou encore les monétaristes (Milton Friedman). Les néoclassiques sont parfois appelés « néolibéraux ». Les œuvres fondatrices du courant néoclassique sont : Carl Menger, Principes d’économie (Grundsätze der Volkswirthschaftslehre, Vienne, 1871) William Stanley Jevons, Théorie de l’économie

et en prenant en compte l'éthique de responsabilité (Weber) en réfléchissant aux effets des actions (en fonction des conséquences). 7. Remise en cause du capitalisme : Il existe deux théories majeures concernant le Capitalisme. Pour Milton Friedman, la cupidité est un caractère intrinsèque à chaque individu et c’est ce qui fait le moteur de l’innovation et de la croissance. En effet, la recherche individuelle de profit pousse les Hommes à innover. Il faut donc favoriser le capitalisme pur