Milton Friedman

généralement d'aborder ces questions considérées comme trop techniques et ennuyeuses. Mais elle a été très vivement critiquée presque immédiatement par J. Rueff et après plusieurs années d'exercice par au moins deux auteurs, prix "Nobel" comme Milton Friedman.

de l’Etat, qui selon lui, débouche nécessairement sur la suppression des libertés individuelles. En 1950, Hayek s’installe aux Etats-Unis et devient professeur de sciences sociales et morales à l’université de Chicago, bastion du libéralisme (Milton Friedman y enseigne à la même époque) où il exerce une influence importante. Il développe ses travaux sur les fondements du libéralisme (la constitution de la liberté). Il achève sa carrière en Allemagne à l’université de Freiburg et publie Droit, législation

certificate representing one unit of ownership in a corporation, mutual fund, or limited partnership … 10.Asset = smthg valuable that an entity owns, benefits from, or has use of, in generating income. 2 mains theories : Theory 1 : Milton Friedman : neo liberalism # keyniasism (70s) = MONEY Human ressources To make up for (=compensate) the slump triggered by the financial crisis Say on pay = shareholder has a say on executive’s pay A buffer = une zone tampon, to

ce sens, il apparait essentiel de savoir si une politique RSE est génératrice de valeur ajoutée, ce qui justifierait ces changements. Le lien entre développement durable et création de valeur n’a pas toujours été évident à établir. Selon Milton Friedman, en 1970, « la responsabilité sociale des entreprises n’est que d’accroître ses profits ». Pour lui, ce n’est pas le comportement éthique de l’entreprise qui ferait accroitre son profit et son bien-être, mais plutôt le libre fonctionnement du

économétriques de Tinbergen. Ensuite, nous examinons la période de dominance de la macroéconomie keynésienne dans la double dimension évoquée plus haut. Notre histoire se poursuit par l’examen de la remise en cause de cette macroéconomie impulsée d’abord par Friedman et ensuite par Lucas et autres auteurs nouveaux classiques. Ensuite, nous exposons les grands traits de la nouvelle macroéconomie, dynamique et stochastique. Pour terminer, nous nous interrogeons sur la contestation récente des modèles de cycle réel

Critiques Les politiques conjoncturelles ont été attaquées, en particulier sur la possibilité de les mettre en œuvre. Le Prix Nobel d'économie Milton Friedman en particulier en formula une critique dans son essai de 1951, Effects of a Full-Employment Policy on Economic Stability, repris dans son recueil Essays in Positive Economics, publié en 1953. Pour Friedman, une politique conjoncturelle est impossible à mener car l'action étatique souffre de nombreux délais (lags) : entre le moment où la crise est

néoclassique, le modèle de l’Homo œconomicus insiste sur le fait que tout la demande du marché, il y a des agents économiques calculateurs. 4° Ajoutons que la théorie néoclassique se décline en plusieurs écoles de pensée : les monétaristes (Milton Friedman), les tenants de l’économie de l’offre (Laffer), la nouvelle école classique (D. Lucas, R. Barro, T. Sergent) La rationalité dans la théorie des choix rationnels : Les divers aspects concernant la rationalité économique ne sont pas propres à

théorie monétariste. La pratique de la BCE est légitimée par un courant de pensée (les théories quantitatives de la monnaie) faisant de l’inflation un phénomène d’origine monétaire. Analyse de Jean-Baptiste SAY (1903), de John Stuart Mil 1948, Milton Friedman. L’hypothèse de départ est la séparation faite entre l’économie réelle, la production et l’économie monétaire. Il s’agit effectivement de la masse monétaire et des prix. La conclusion qui s’impose, une augmentation de la masse monétaire aura des

monétaristes. En réaction à la théorie keynésienne et à la montée de l’inflation dans les années 70, les monétaristes, en la personne de Milton Friedman, chercheront à réhabiliter la théorie quantitative de la monnaie. Partant de la courbe de Phillips, qui montre une relation empirique inverse entre le taux de chômage et le taux d’inflation, Edmund Phelps -1967) et Milton Friedman (1968) ont montré, sur la base d’arguments théoriques, que cette courbe ne fonctionnait qu’à court terme et qu’il n’y avait pas

Ainsi, la politique monétaire est beaucoup plus dépendante de la pensée et de la personnalité des membres du Conseil des Gouverneurs. Alan Greenspan utilisa fortement les outils monétaires à sa disposition pour diriger l’économie américaine, et Milton Friedmann, un des fondateurs du monétarisme néo-classique, le qualifia de « meilleur gouverneur de la Fed »[25]. Ben Bernanke, son successeur, continue sur cette voie là, même s’il a déjà évoqué la possibilité d’instaurer un ciblage de l’inflation comme