Mini-récit

réponse. Nous verrons tout d’abord, en quoi la fonction de la littérature est bien de nous faire rêver. Puis, nous poursuivrons sur les autres fonctions que peut avoir la littérature. Dans un récit, le rôle des personnages est très important. En effet, ils sont la clé de l’histoire. Sans eux, le récit perd tout intérêt car ils amènent les péripéties. En les suivant lors de leurs aventures (quelles qu’elles soient), on peut s’identifier à eux et y voir des traits de caractères communs. De plus

cela des procédés de la construction dramatique. Mon camarade va d’abord vous exposer les techniques que l’auteur utilise pour dérouler l’intrigue (1). Je vous présenterez ensuite les procédés de narration utilisés par l’auteur pour dramatiser son récit (2). 1 - Le déroulement de l’intrigue En effet, comme dans une pièce de théâtre, Stefan Zweig déroule d’abord son intrigue en visant les effets de surprise ou de suspens qui maintiennent le lecteur en état de curiosité et font appel à son jugement

c'est le cas du Général de Gaulle, dont les mémoires sont un récit précis sur la seconde guerre mondiale et la politique. Il y a les auteurs qui nous font voyager dans le temps comme Balzac et Zola qui décrivent un tableau de la société de leur temps. Flaubert dans son roman Madame Bovary, nous associe à la vie de province, étriquée et monotone. Les descriptions soignées et précises nous font remonter le temps. D'autres récits nous font voyager dans l'espace, sur les mers, dans d'autres continents

L’apologue est un récit bref à visée morale, Voltaire, dans Le Taureau Blanc nous conte l’histoire d’Amaside, une princesse égyptienne qui a perdu son amant Nabuchodonosor qui a été métamorphosé en taureau blanc. C’est alors qu’elle demande à un serpent de lui conter l’histoire des trois prophètes, pour lui « former le cœur et l’esprit ». Cette histoire est un apologue qui conte les aventures de trois prophètes qui voient leurs vœux exhaussé par un ange, l’ange Ituriel. Ils sont alors tous trois

L’épopée burlesque Cette fable met en jeu une dispute entre la folie et l’amour. Cette dispute, mêlant différents personnages de la mythologie grecque, s’apparente à un combat des dieux. On peut ainsi parler de texte épique, sur le mode des grands récits épiques d’Homère. Cette époque est burlesque en ce qu’elle fait intervenir des combattants dérisoires. La Folie et l’Amour n’ont rien de guerrier. La première chose qu’ils font est « jouer ». Cette dispute devient ainsi plutôt une chamaillerie entre

de ne pas exaucer l’imprudente et hâtive prière qu’il lui a faite, c’est-à-dire de tuer Hippolyte. La mort d’Œnone est l’une des causes de l’aveu de Phèdre et de son suicide. Mais il est trop tard, dans un long récit, Théramène vient relater à Thésée la mort d’Hippolyte. Le récit de Théramène (v. 1498-1570), le plus long de la pièce. Comme les bienséances interdisaient de montrer sur scène la mort d’un personnage et comme il aurait été par ailleurs techniquement difficile d’y représenter un « monstre

d’un narrateur extradiégétique, puisqu’il ne semble pas avoir de lien avec le récit et les autres personnages. En ce qui concerne le mode narratif, on observe une focalisation interne. En effet, l’histoire est contée par les yeux du protagoniste Candide. On entre même dans ses pensées. Cependant, il ne s’agit pas d’une focalisation tout-à-fait fixe, puisqu’on entre dans la tête de certains personnages qui font un récit de leurs mésaventures. C’est le cas de Cunégonde et la vieille, par exemple.

des mystères du monde. Bien souvent, un individu doit être capable d’analyser les récits mythiques des grandes religions pour comprendre un peu plus le message qu’elle tente de véhiculer. Avec l’Alchimiste, cette SAE demandera au jeune d’aller chercher les notions qu’il a amassées par le passé et montrer comment ce récit eut être perçu comme un type de mythe. L’expérience sera auparavant pratiquée sur des récits plus courts et l’étudiant devra aussi, à partir d’une citation, trouver quel phénomène

valeur du présent de l’indicatif dans les lignes 76 à 90, p. 14 ? Les lignes 76 à 90 p. 14 constituent la moralité du conte. Tous les verbes de ce passage sont au présent de l’indicatif. Il s’agit d’un présent de vérité générale. Le narrateur passe du récit à la moralité, d’une histoire individuelle, celle du petit Chaperon rouge, à une leçon universelle, susceptible de concerner tous les lecteurs. On pourra montrer aux élèves d’autres valeurs du présent à travers des exemples tirés du texte : présent

que confirme Moravagine en 1926, avant qu'il ne devienne dans les années trente, grand reporter. Abattu par le début de la guerre, il s'installe à Aix-en-Provence puis à Villefranche-sur-mer et ne reprend l'écriture qu'en 1943 en rédigeant des récits autobiographiques avec L'Homme foudroyé (1945), La Main coupée, Bourlinguer. De retour à Paris en 1950, il participe à des programmes artistiques et des entretiens radiophoniques réputés avant de mourir d'une congestion cérébrale le 21 janvier 1961