Mini-récit

Identifier narrateur et point de vue a. le récit est écrit à la première personne Le narrateur est un personnage de l’histoire. Deux cas peuvent se présenter : o Le pronom « je » représente l’auteur, si l’auteur raconte sa propre histoire, ou des faits dont il a réellement été témoin (autobiographie, mémoires,…) Ex : le journal d’Anne Frank o Le pronom « je » ne représente pas l’auteur, mais un personnage qui raconte son histoire sans lien avec celle de l’auteur. Ex : Je vis dans

la logeuse Emma Van A. s'avère être une femme solitaire et mystère, de part son comportement et son passé. Une femme qui saura le fasciner par « l'étrange » histoire de sa vie. Un récit à la fois passionnant et troublant, dans lequel règne le doute et admiration. L'homme cherchera à démêler le vrai du faux de ce récit, en se renseignant sur son hôte. Submergeant ainsi le lecteur dans un flot d'informations contradictoires. Qui faut-il croit, notre décide donc de mener sa propre enquête sur la réalité

SYNTHESE : Repérer les éléments importants d’un récit : Lorsque vous lisez un récit, il faut prêter attention à un certain nombre d’éléments importants pour bien le comprendre : Les personnages : Un personnage, dans un récit, est une personne, un animal ou un objet (parfois) qui a un rôle dans l’histoire et qui agit. Vous devez pouvoir identifier les personnages principaux (les plus importants) des personnages secondaires (les moins importants). Vous devez pouvoir donner les caractéristiques

PARTIE : QUESTIONS SUR LE TEXTE (20 points) I. LE RECIT (5 pts) 1) L’action se passe dans le château du comte Dracula (en Transylvanie), probablement dans sa salle à manger. On peut relever les indices suivants : « j’avais fini de manger », « la cheminée »( l. 1 à 2) (1 pt. : o,5 pour le lieu, 0.5 pour un indice) 2) Le narrateur fait partie de l’histoire En effet le texte est écrit à la 1ère personne : « Mon récit terminé, j’avais fini de manger… » (l.1) (1 pt., 0.5 réponse

la musique atteint son paroxysme pour annoncer la fin tant attendue. Dès lors, le spectateur scrute la pénombre en guettant une présence qui surgirait. Au plus haut de l'intrigue, un chat traverse l'image. Déjouant l'attente du spectateur, aucun récit narratif ne prend place dans cette séquence. L'artiste met l'accent sur le temps qui amène le dénouement plutôt que le dénouement lui-même. David Claerbout, Bordeau Piece, 2004, video projection Cependant Claerbout n'a pas uniquement une approche

de la justice. Nous allons voir comment cet apologue séduit le lecteur par un récit dynamique puis comment elle l’instruit en se prenant à une justice injuste et enfin que les plaideurs ne respectent guère les règles religieuses. I) Un récit dynamique qui rend cette scène vivante C’est une fable, un apologue en vers qui a pour but de distraire et d’instruire. A) Une esthétique de la concentration Arg 1: un récit bref et court, histoire qui va à l’essentiel. Arg 2: cadre unique et peu de personnages

réaliste Le genre de la nouvelle au XIXe siècle * Le genre de la nouvelle (aussi appelé conte) s'impose au XIXe siècle grâce aux journaux populaires qui publient chaque jour de brefs récits. Les écrivains sont payés à la « feuille » par les journaux, d'où le nom de « feuilletons » donné à des récits quotidiens par épisodes. * Les nouvelles publiées dans les journaux sont ensuite réunies dans des recueils par leur auteur ou par un éditeur. Par exemple, « Vendetta » a d'abord été publiée

………………………………………………………………………………………………… 10 ……………………………………………………………………………………………….. 11 ……………………………………………………………………………………………….. 12 ……………………………………………………………………………………………….. 3. Citez 3 éléments qui font de ce récit un récit fantastique. (3 points) 1 2 3 4. Quelles sont les deux tonalités de ce récit ? (2 points) 1 2 5. Contre quoi Peter Schlemihl échange-t-il son ombre ? (1 point) 6. Qu’a de particulier la bourse que le diable remet à Peter Schlemihl ? (1 point) 7. Quels sont les

l’auteur, car on n’est jamais certain que les sentiments du premier deviendront ceux du second. J’ai voulu fournir au lecteur la matière première de son indignation. » 3. Témoignage, mise en intrigue et récit de fiction La place faite au témoignage dans la fabrication de récits de fiction attire notre attention sur le rôle qu'il peut jouer comme catalyseur d'un imaginaire ouvrant sur un ailleurs, un autrefois, un avant, à partir d'une "mise en intrigue", selon des procédés qui ont été largement

 :   - Le  pathétique  propre  au  spectacle  de  la  souffrance  et  aux  lamentations  d’êtres  frappés  par  le  malheur  ;   - L’épique  dans  certains  récits  inspirés  d’un  mythe  (le  récit  de  la  mort  d’Hippolyte  par  Théramène  dans   Phèdre  de  Racine).   - Le  lyrisme  des  tirades  passionnées.   - Le  tragique  proprement  dit  lorsque