Minuscule caroline

habillée en Arlequine, du fait de son amour du valet. Elle n'a pas de masque. C’est une demoiselle qui ne sait garder sa langue dans a poche et a oublié d’être sotte. On la connaît aussi sous les noms de Ricciolina, Diamantine, Marinette, Violette, Caroline,... C’est une fille-mère qui a abandonné son enfant et qui est femem de chambre d’une grande dame de l’aristocratie. Dans certains cas, elle a été séduite par Arlequin puis abandonnée. Par chance, il lui arrive d’être protégée par une fée ou une

établis, les scriptoria. On y rassemble tous les manuscrits religieux et profanes que les moines copient inlassablement dans leurs ateliers. Le travail des scribes est grandement facilité par l’adoption d’une nouvelle écriture. L’usage de la minuscule caroline, particulièrement lisible et élégante, favorisa l’édition d’une masse considérable de manuscrits qui eurent le double mérite d’être de bons manuels et de sauver un grand nombre d’œuvres antiques dont nous n’avons plus d’exemplaires originaux

4 etre] 3 Ouvrages consacrés pour partie à Annie Ernaux Bacholle, Michèle Un passé contraignant : double bind et transculturation. Amsterdam : Rodopi, 2000. 183 p. (Faux titre ; 182) Rez-de-jardin – magasin – [2001-49637] Eliacheff, Caroline ; Heinich Nathalie Mères-filles : une relation à trois. Paris : Albin Michel, 2002. 419 p. Salles J et M – sociologie – [306.8 ELIA m] Fort, Pierre-Louis Ma mère, la morte : l'écriture du deuil chez Yourcenar, Beauvoir et Ernaux. Paris :

juges, chefs militaires, percepteurs des impôts. Charlemagne souhaitant lettrer ses fonctionnaire, il ouvre dans chaque évêché et monastère une école, où l'on étudie le latin et les textes antiques, réformant l'écriture avec l'invention de la minuscule caroline (cf histoire des arts). Il meurt en 840 ; Louis le Pieu lui succède jusqu'en 840. Ce dernier a trois fils, l'ainé, Lothaire tente de s'approprier la plus grande partie du territoire-héritage. Ses deux frères Louis le Germanique e Charles

rappellent les paroles de ce dernier sur le « point de détail », exprimées au cours d’une émission de radio. Autres formes de racisme, autres dénonciations : la ségrégation aux États-Unis, avec le commentaire du cadrage d'une photo d'Elliott Erwitt, North Caroline (1950). Et enfin, voici le racisme « ordinaire » en France, mis en images par Karim Dridi dans son film de fiction Bye-Bye . Le réalisateur expose ses choix à l'aide d'extraits de son œuvre. L'émission s’achève avec le Mémo du jour : les dessous

demi ; CHAMBON Hugo, 13 ans et demi ; CHOUICHOU Mehdi, 14 ans et demi ; CLET Frédéric, 14 ans ; DOUMERG Antoine, 13 ans ; GOMEZ Alice, 13 ans ; KILICASLAN Gonca, 16 ans et demi ; MANUEL Benjamin, 14 ans ; MARSEILLE Grégoire, 13 ans et demi ; MICHAZ Caroline, 13 ans et demi ; MONTGELARD Clémence, 13 ans ; PAILLIER Alexis, 13 ans et demi ; PANTIGNY Jean-Loup, 13 ans et demi ; PARAT Damien, 13 ans et demi ; PEREZ Lucie, 14 ans ; RIVES Amarande, 14 ans ; SILVAGUIGNIER Lise, 14 ans ; TIAMIOU Idriss, 13 ans

finalement rappatrié, seul, à Honolulu pour vivre chez ses grands-parents maternels, un couple modeste, afin de s'assurer une meilleure scolarité qu'en Indonésie. Plus tard, sa mère, divorcée à nouveau, le rejoindra avec Maya pour vivre dans un minuscule appartement proche de l'école Punahou, la meilleure école privée d'Hawai, où titulaire d'une bourse, il est scolarisé. La famille ne survit alors qu'à l'aide de bons d'alimentation de l'aide sociale. Obama racontera cette enfance dans son autobiographie

propre raccordement ferroviaire. Il abrite également la production des ferrures pour portes relevables AVENTOS ainsi que le montage des systèmes d'aménage-ment ORGA-LINE. Mais Blum s’est exporté dans le temps, comme aux Etats-Unis, à Lowes-ville en Caroline du Nord, Blum-États-Unis est fondé en 1977. Là-bas y est déve-loppé et produit tout les produits spécifiques pour le marché nord-américain. Une qualité qui accrue grâce à des collaborateurs qualifiés. Aux États-Unis éga-lement, les produits Blum

veut plus -6- rien dire pour moi, et le pire, c’est que j’ignore pourquoi. C’est ici que je suis née, à Fell’s Church, et j’ai toujours habité dans cette maison. Il y a encore, sur le plancher de ma chambre, les traces de brûlure du jour où Caroline et moi avons essayé de fumer, à dix ans, et nous sommes à moitié étouffées. De ma fenêtre, j’aperçois le grand cognassier dans lequel, il y a deux ans, Matt et ses copains ont grimpé pour nous espionner, mes copines et moi, quand nous dormions

maison » ne veut plus rien dire pour moi, et le pire, c’est que j’ignore pourquoi. C’est ici que je suis née, à Fell’s Church, et j’ai toujours habité dans cette maison. Il y a encore, sur le plancher de ma chambre, les traces de brûlure du jour où Caroline et moi avons essayé de fumer, à dix ans, et nous sommes à moitié étouffées. De ma fenêtre, j’aperçois le grand cognassier dans lequel, il y a deux ans, Matt et ses copains ont grimpé pour nous espionner, mes copines et moi, quand nous dormions toutes