Miroir Le Long D Un Chemin

premier plan avec les quatre lanières blanches du corset. Perpendiculairement, il y a également des lignes verticales avec la colonne, les deux lanières du corset sur les épaules et la ligne de clous qui descend le long de ses bras et jusqu’à sa jambe droite. Le tableau est donc équilibré et ordonné puisque la construction présente des lignes relativement droites et perpendiculaires. III/ Analyse de l’oeuvre ! Frida Kahlo présente

d’un très grave accident de circulation entre un autobus et un tramway en 1925, sa vie et sa création artistique seront marquées par les séquelles de ces deux événements. Elle commencera à peindre à l’hôpital , un miroir audessus de son lit lui permet de se voir. Tout au long de sa vie, elle subira de nombreuses opérations et devra porter un corset. En 1928 elle s’inscrit au parti communiste mexicain et milite pour l’émancipation des femmes mexicaines. En 1929, elle épouse Diego Rivera

ce mythe dun auteur paradoxalement absent. Ainsi Stendhal associe le roman un miroir quon promne le long dun chemin. Limage du miroir dit bien la reproduction du rel, son reflet, son image presque sans intervention de lart de lcrivain. Flaubert pousse encore plus loin la comparaison dans sa Correspondance Lauteur dans son uvre doit tre comme Dieu dans lunivers, prsent partout, visible nulle part. Limage simple du miroir est dpasse pour celle dun crateur qui seffacerait dans sa cration, qui laisserait

l’ouïe d’un mort encore tiède et la vue d’un prophète. Mais sa vie ne fut pas celle d’un saint, elle aurait pu le devenir, s’il n’avait eu trop à faire. Depuis sa retraite dans la pièce d’en haut, personne n’osait lui parler. Il avait besoin d’un long moment, peut-être des mois, pour ramasser ses membres, mettre de l’ordre dans son passe, corriger l’image funeste que son entourage s’était faite de lui ces derniers temps, régler minutieusement sa mort et faire le propre dans le grand cahier ou

le ciel, les rues et les chemins ; tout cela était vide, et les cloches de leurs paroisses résonnaient seules dans le lointain. »[3]. Notre héros, qui hait la bourgeoisie hypocrite, qui a remplacé Napoléon depuis sa chute, décide de parvenir à son but, pas avec le Rouge de l'uniforme militaire, mais par le Noir du clergé[4], aidé par son intelligence et sa mémoire prodigieuse. Pour arriver à son but il choisi de mettre un masque et de jouer un rôle presque tout au long du roman. C’est surtout

Hugo indiquera dans la préface de Cromwell la nécessité pour le drame d’être un miroir de concentration : « Le drame est un miroir où se réfléchit la nature. Mais si ce miroir est un miroir ordinaire, une surface plane et unie, il ne renverra des objets qu’une image terne et sans relief, fidèle, mais décolorée ; on sait que la couleur et la lumière perdent à la réflexion simple. Il faut donc que le drame soit un miroir de concentration qui, loin de les affaiblir, ramasse et condense les rayons colorants

que j’ai eue par apport au comportement de l’Homme que se sois avec la nature ou avec lui-même, et surtout les conséquences que cela crée autour de lui… En effet a travers par exemple l’ours entièrement bandée , j’ai vraiment ressenti sa comme un miroir que l’auteur voulais nous faire a nous les Hommes qui pars nos actes blessons la nature, je pense l’œuvre qui ma marqué est le squelette qui fais de la musculation, je pense que c’est cette œuvre qui pour moi résume la société d’aujourd’hui l’idée

peintre a joué sur les contrastes entre couleurs claires (gamme de blanc) pour la jeune fille victime du démon et des couleurs foncées pour les créatures effrayantes. Ces dernières sont représentées dans des couleurs proches du fond du tableau (débris miroir, fiole, livre et rideaux rouges), leur permettant ainsi d'être fondues dans le décor et de se révéler au regard progressivement. 2. Les personnages: lesquels voyez-vous ? A qui vous font-ils penser ? Que font-ils ? Le tableau représente trois

d’immoralité. Un des contemporains de Flaubert est Stendhal. Sa théorie du miroir récuse cette accusation d’immoralité. Selon Stendhal, un roman est « un miroir que l’on promène au long d’un chemin » (Stendhal cité dans Gengembre 1997 : 28). Un miroir reflète tous les objets, peu importe qu’ils soient laids. L’essentiel est, cependant, qu’un miroir ne peut refléter que les objets qui existent, ou, comme Gengembre l’a dit : « si le miroir montre un bourbier, C’est que le bourbier existe » (Gengembre 1997 :

la catégorie obscène des makoumès on trouve les malpwops. Au départ les malpwops ne prenaient part qu’aux défilés du lundi gras. Leur présence était justifiée par les mariages burlesques. Depuis quelques années ces personnages apparaissent tout au long du carnaval et se conforment même au code des couleurs. Souvent habillés de dessous féminins agrémentés de pastiches évocateurs, ils simulent parfois l’acte sexuel. Ils se retrouvent fesses à l’air dans un string ou en mini-jupe cachant tout juste