Miroir Le Long D Un Chemin

de prière, Et le fera hisser jusque sous l’oriflamme, Navire appareillé sous Septime Sévère, Double vaisseau de charge aux pieds de Notre Dame. 4 Paris double galère Depuis le Point-du-Jour jusqu’aux cèdres bibliques Double galère assise au long du grand bazar, Et du grand ministère, et du morne alcazar, Parmi les deuils privés et les vertus publiques ; Sous les quatre-vingts rois et les trois Républiques, Et sous Napoléon, Alexandre et César, Nos pères ont tenté le centuple hasard, Fidèlement

l'amour. C’est pourquoi nous pouvons nous demander en quoi la construction de l’extrait révèle un chemin de pensée. Afin de répondre à cette question, nous étudierons tout d’abord sur quelles bases se construit la réflexion, puis comment le lieu inspire au narrateur des faits plus personnels, pour enfin nous intéresser à l’ambiguïté du décalage qui règne entre réalité et éléments poétiques. I) Un chemin tortueux et tâtonnant de réflexion a) Description d’un lieu et d’un métier sacré Ce passage

naître les mouvements littéraires les plus connus : - le romantisme ou l’expression lyrique du « moi » tourmenté du poète, avec des thèmes universaux comme l’amour et la mort ; le réalisme selon lequel « le roman est un miroir que l’on promène le long d’un chemin » (Stendhal) le naturalisme qui applique au processus d’écriture la méthode scientifique le parnasse, réponse aux excès du romantisme, considère que l’art existe pour lui même, selon le principe de « l’art pour l’art » de Théophile

Comment ne pas être heurté face aux incohérences de la politique en Belgique, face à la bêtise humaine et à l’horreur de la guerre. Pie Tshibanda, l’écrivain congolais, nous oblige à ouvrir les yeux sur la situation des demandeurs d’asile et sur le chemin qu’ils ont à parcourir pour obtenir la légalisation dans notre pays. Au travers de son héros, Masikini, Pie Tshibanda, nous raconte son sa longue quête le menant à sa légalisation sur le territoire belge. Masikini, congolais débarque à Bruxelles

| |Elle est dans ma voix, la criarde ! | |C'est tout mon sang ce poison noir ! | |Je suis le sinistre miroir | |Où la mégère se regarde. | |  | |Je suis la plaie et le couteau !

la vie. La vie peut donc être vue comme une illusion et être semblable à l'art. Une célèbre citation de Stendhal nous dit : « Un roman : c'est un miroir que l'on promène le long d'un chemin. » Elle est extraite de son roman Le rouge et le noir. Stendhal confirme ici l'authenticité du roman sur la reproduction de la réalité, il est un miroir sur la vie, or un roman est l'œuvre d'un écrivain, d'un auteur. Il est par conséquent une forme d'art mêlant les mots à la réalité, une vérité. La vie,

nous verrons que la littérature se veut souvent un témoignage, un miroir de l’humanité. Dans un deuxième temps, nous nous intéresserons au rôle critique de la littérature, à sa dénonciation des comportements humains. Enfin, il s’agira de montrer que les écrivains travaillent au bonheur de l’humanité et à l’amélioration de son destin. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal qualifie le roman de « miroir que l’on promène le long d’un chemin ». C’est ainsi que l’on peut concevoir la littérature, un reflet

sentiments qu’ils éprouvent vis-à-vis de celle-ci, comme on peut le voir avec les poèmes « La Mer Secrète », extrait du recueil de poésie « La Fable du monde » de Jules Supervielle (1938), « Toutes les mers » de Jocelyne Corbel, extrait de « Mes Chemins de poésies » paru en 2005 ou encore avec « Quand la mer se déchaine »! de Jean Claude Brinnette, un de nos contemporains, extrait du recueil Poésies. Jules Supervielle, lui sous la forme d’un poème très court nous fait part de ses sentiment sur la

affaires ont un sens aigu de la droiture et de la transparence qui est supérieur à la normale. Lorsqu’il s’agit de réussir en affaires, notre façon de percevoir les choses est cruciale. En effet, dans ce domaine comme dans les autres, la vie est un miroir qui ne fait que refléter avec exactitude ce que nous sommes et ce que nous pensons. C’est pourquoi de plus en plus de gens du milieu des affaires croient que l’honnêteté, l’intégrité et les relations de confiance sont des valeurs essentielles à la

plus figée dans son cadre, accrochée au mur du musée, elle passe par la fenêtre et vagabonde. Le mouvement devient son moteur : le vent gonfle les drapeaux, les bannières, comme les voiles de bateau, les bus et les trains emmènent l’art sur leurs chemins, les escalators deviennent cascades, les couleurs et les formes fuient et s’adaptent sans cesse, rien n’est établi. Au regard et au corps de se mettre en mouvement, à leur tour. POINTS DE VUE Comment regarde-t-on une œuvre ? Et son environnement