Miroir secondaire

autour du soleil. DÉFINITION : Instrument d’observation astronomique composé de lentilles, de miroirs ou d’un système dit catadioptrique. FONCTIONNEMENT : Un miroir concave (avec une surface en creux) collecte les rayons de l’objet et les réfléchit sur un miroir plat qui donne une image de l’objet. Une lentille oculaire agrandit alors l’image pour l’observateur. L’association de plusieurs miroirs augmente la puissance du télescope. La lunette astronomique a été inventée en 1608 par le savant

monochromatique soit une source polychromatique. Les expériences faites dans ce TP le seront à l'aide d'un laser Hélium-Néon à 632,8 nm. II- SOURCE PONCTUELLE MONOCHROMATIQUE (laser Hélium-Néon) II.1. Cas des miroirs M1 et M2 équidistants de O. (OM1 = OM2) Figure II-1 Afin de déterminer les sources secondaires S1 et S2, considérons de proche en proche les images successives de S dans chaque faisceau de la figure précédente. Interféromètre de Michelson Page 5 Faisceau 1 Le faisceau incident traverse la

toile, pinceau en main => Il se représente au sein de son œuvre pourtant destinée à la cour (il est p peintre du roi), il est même plus visible que le couple royal ! Mélanges des genres (Autoportrait / commande privée plus officielle). - Dans le miroir on distingue le vague reflet du Roi Philippe IV et de la Reine Marianne d’Autriche. (Voir œuvre Vélasquez Portrait de la reine Marianne d’Autriche 1652, Museo del prado, Madrid). => ils apparaissent indirectement, le couple royal est mis en retrait

de l’eau dans la salle de bains, je sentis un courant d’air glacial. Pourtant aucune fenêtre n’était ouverte ! Le plancher grinçait à l’étage. Tout à coup quelqu’un me toucha l’épaule. Je me retournas mais rien !... En me regardant dans le miroir, c’est comme si j’avais pris trente ans en une seconde. Mes yeux étaient ridés, ma barbe et mes cheveux avaient poussé ! 3 Mon cœur battait à cent à l’heure, je ne sentais plus mes jambes. Mais que ce passait-il ? Soudain, une lueur

car il produit la lumière qu'il émet La Lune est un corps éclairé ou source secondaire car elle doit être éclairée et pour être vue. Elle ne produit pas de lumière. La lumière est une forme d'énergie qui provient d'autre formes d'énergie. Dans un milieu homogène la lumière se propage toujours en ligne droite. On représente sa propagation rectiligne par des rayons lumineux. Vitesse de la lumiere: 300000km/s Un miroir est un corps opaque qui ne se laisse pas traverser par la lumière. Il est constitué

Physique 534 Module I Chapitre I - La lumière et les miroirs Comment on produit de la lumière Différents modes de production de lumière : 1. Incandescence : Production de lumière ayant comme source l’énergie thermique. Ex. : 2. Fluorescence : Production de lumière ayant comme source l’énergie lumineuse; la lumière est transformée instantanément. Ex. : 3. Phosphorescence : Production de lumière ayant comme source l’énergie lumineuse; la lumière est emmagasinée

représente sont surdimensionnés. Par ailleurs, aucune perspective extérieur n’est apparente même si le miroir nous offre la possibilité de voir le reflet de la pièce. Au niveau des couleurs, il y a d’une part, les couleurs primaires telles que leu qui est très présent ainsi que le rouge et d’autre part les couleurs secondaires telles que marron, l’orange, le rose et le jaune. On peut remarquer qu’il y a un contraste au niveau

Ritchey-Chrétien dont les miroirs primaires et secondaires sont hyperboliques. Aberration sphérique dans le cas des miroirs spheriques Un miroir sphérique est beaucoup plus simple à tailler qu'un miroir parabolique. Mais il ne rend pas les mêmes services, car il concentre la lumière imparfaitement ; plus le rayon est éloigné de l'axe optique, plus il va converger en avant du foyer. On parle d'aberration de sphéricité. Contrairement au miroir sphérique, le miroir parabolique concentre parfaitement

conjugaison . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4 Miroirs sphériques dans les C.G. . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4.1 Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4.2 Relation de conjugaison . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4.3 Grandissement transversal . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4.4 Formation de l’image . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4.4.1 Miroirs concaves ou convergents . . . . . . . . 2.4.4.2 Miroirs convexes ou divergents . . . . . . . . . 3 GAUSS

en son point vital : la chambre de Julie. Nous entrons dans le lieu protégé de l’intériorité : les domestiques sont absents, seule est présente Fanchon Regard, jeune femme que Julie a prise sous sa protection, figure d’une Claire plus effacée, secondaire : elle détient une des clefs du jardin de Julie. Cependant on peut s’interroger sur sa présence car, dès le début de la lettre, Saint-Preux l’ignore : « nous recommençons entre nous trois une société d’autant plus charmante… » ; elle est évoquée