Miroir Surréalisme

ni travail, se marie à l’église de la Madeleine avec une femme riche. Le triomphe du baron est tel, que même le Christ descendrait du ciel pour consacrer son triomphe. Sans la foule, George Du Roy ne verrait pas son reflet, vu que la foule est le miroir du baron. George, sans la foule ne serait pas heureux, « George affolée de joie, se croyait un roi qu’un peuple venait acclamer ». Nous pouvons constater que dans cet extrait nous parlons du triomphe de George Du Roy en évoquant seulement deux

objectivité ? il se valorise (ex : Dürer autoportrait du christ roi) il se dévalorise (ex : Picasso se caricature) - Difficulté sur un plan technique, il se sert d’un miroir qui lui tend sa propre image. Le peintre peut-il rendre avec exactitude l’expression de son visage ? L’autoportrait est-il un miroir de son âme ? - Le peintre fige, fixe un moment de sa vie uniquement, un aspect partiel (pas comme dans l’autobiographie) - L’autoportrait est-il une quête ou une perte de soi 

enjeu clé de l’observation astronomique dès les années 1950. Grâce à de tels systèmes, les télescopes ont la possibilité de s’affranchir des imperfections du front d’onde, liés à la perturbation atmosphérique. En récupérant les fronts d’onde sur un miroir déformé en fonction de la forme du front d’onde, on peut « annuler » la différence de marche introduite arbitrairement par l’hétérogénéité de l’indice du milieu traversé par le front d’onde. Cette hétérogénéité correspond à des processus aléatoires

dans le quartier riche. Les « hautes glaces en pied » dans lesquelles se mirent Duroy à chaque étage et qui forment « une longue perceptible de galerie » agrandissent le lieu. Ce qui devrait impressionner le personnage mais au contraire dans le miroir, il prend conscience de son physique avantageux et cela le rend d'autant plus entreprenant dans sa conquête. 2. Le mouvement ascensionnel du personnage Plus Duroy gravit les marches, plus il acquière de l'assurance. Au début, son manque de confiance

responsable. Aucun spectateur ne mérite notre mépris. Zdena approuva. Le poste de kapo lui fut attribué. — On vous appellera la kapo Zdena, lui dit-on. Le terme militaire lui plut. — Tu as de la gueule, kapo Zdena, lança-t-elle à son reflet dans le miroir. Elle ne remarquait déjà plus qu’elle était filmée. LES journaux ne parlèrent plus que de cela. Les éditoriaux flambèrent, les grandes consciences tempêtèrent. Le public, lui, en redemanda, dès la première diffusion. L’émission, qui s’appelait

du rever. Dans le miroir en face de moi, je pouvais voir le reflet des mes poupées, j'avais limpression qu'elles m'observaient.Je frissona jusqu'à la racine des cheveux. Tout d'un coup, la porte grinca et s'ouvrit,j'étais tellement stupéfaite que je balbutiais mes mots. -Qui c'est?Dis-je pétrifiée. Personne ne me répondis,et toute ma famille dormait. -C'est impossible, dis-je a voix haute, c'est juste une coïncidence, rien de plus.... Et c'est là que je vis, dans le miroir, une forme blanche

par 2,10m. Elle est recouverte de mosaïque de verre et de miroir, de feuilles d'or et de céramique. Cette sculpture représente une immense tête de mort, l'arrière du crâne est recouvert de mosaïque dorée sur laquelle sont dispersés des petits crânes en céramique. La face est garnie de mosaïque rouge à gauche, verte à droite et bleue sous la mâchoire Les dents sont également dorées et l'orbite vide des yeux est recouverte de petits miroirs vert, bleu ou jaune. Cette œuvre a également une autre

de troubles du comportement alimentaire Le corps est au centre de la problématique dans les Troubles du Comportement Alimentaire (TCA)… le regard que les patientes portent sur leur propre corps est source de conflit. Le regard des autres ou du miroir vécu comme persécutant ou alors recherché car la patiente ne peut se fier à ses propres impressions. En qualité de psychomotricienne dans un centre de soins, mon rôle est d’écouter le corps de la patiente, qui le parle et qui met en scène sa douleur

l'apparence, aussi bien d'une femme, d'un homme d'un objet ou même d'une ville. Coiffeuse : elle rapporte au soucis de l'apparence de la femme. Miroire : Car c'est le seul objet qui nous fais réellement nous voire instentanement et objectivement, face au miroir les défauts sont visible il est presque impossible de tricher, le maquillage caractérisé par le rouge à lèvre est la principale tricherie qu'utilise la femme pour s'embélir. Cadre : Le cadre photo permet en quelque sorte de conserver l'image de

[...] Et le peintre, face à son tableau, se retrouve finalement comme face à un miroir qui lui renvoie une image de lui-même. (Cf. Le portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde où le jeune et beau Dorian Gray, qui aime à contempler un tableau le représentant, constate que ce portrait se charge d'une expression plus dure et plus laide au fur et à mesure qu'il s'enfonce dans une vie de débauche et de vice). Au terme de cette analyse, nous pouvons maintenant répondre au problème soulevé dans l'introduction