Mise En Abyme

une scène particulière puisque le valet raconte d’une manière ironique les amours du chevalier et de la comtesse. Nous pouvons étudier les axes suivants : 1. La mise en abyme d’une scène de marivaudage 2. Trivelin : les talents du conteur, les échecs du manipulateur. La mise en abyme d’une scène de marivaudage  La mise en abyme : La scène est particulière dans sa construction. En effet, la scène 2 est une scène de marivaudage entre le Lélio et la comtesse qui aboutit à une dispute entre

est spectateur. On peut aussi parler de mise en abyme, qui est de faire du théâtre dans du théâtre. Ca consiste à faire jouer les acteurs lors d’une pièce de théâtre dans une autre pièce de théâtre, comme l’a fait Marivaux dans la pièce « Les acteurs de bonne foi », de la scène 1 à 3. Durant ces scènes, les acteurs de Merlin, Blaise, Colette et Lisette, vont répéter pour faire une pièce pour divertir leur maitres. Seulement Merlin, dans la mise en abyme, fait croire qu’il aime Colette, alors que

début, il perd peu à peu son calme. Dans cet extrait, nous assistons à la leçon de langue. Il est comique, par le ridicule du professeur (caricature) et par l'absurdité de la leçon; mais prend une tournure inquiétante, voir tragique. Extrait=mise en abyme de l'œuvre: comportement du prof de +en + tyrannique Forme de discours: informatif (leçon) ; injonctif(ordre) Thème : Enseignement; rapport de force, de pouvoir ; torture moral par les mots Registre : tragique et comique = théâtre

: > présenter son projet d'image et comment elle a été pensée : Quels outils ? Quelle mise en scène ? Quels procédés ? Quel cadrage ? Ce qu'elle dit de moi ? En amont > qu'est-ce qui va empêcher/brouiller la vision tout en laissant quand même voir qqch ? Deux obligations : > mise en abyme avec une photo de soi enfant incluse. > pas de trucage par photoshop ou filtre snapchat = penser sa mise en scène et son dispositif par soi-même sans se laisser modéliser par la machine. 2- les textes

l'aspect paradoxalement révélateur des déguisements des personnages. Le jeu théâtral du travestissement peut être visuel, verbal, et ainsi cette mise en abyme permet d'instaurer avec le spectateur un rapport complice et complexe. Il est certain que le théâtre est avant tout écrit pour être joué. Son aspect visuel est très important. Ainsi la mise en scène du travestissement est toujours intéressante parce que les déguisements permettent des changements de costumes, parfois comiques. Ainsi, dans

envers et contre tous.      * Lecture à haute voix       * Annonce du plan: I.  L’art de la fable II. Une satire de la cour et du pouvoir royal III. Un effet de mise en abyme qui montre le pouvoir des mots et par conséquent de la fable       * Lecture analytique: I.  L’art de la fable 1) La rapide mise en place du récit - situation ici évoquée dès le début ( on imagine que le personnage de la lionne = d’extrême importance - octosyllabes, rejets, enjambements ( accélération

de faire passer des morales ou pour critiquer la cour du Roi Louis XIV. Extraite du huitième livre, la fable présente un enseignement sous une forme didactique et plaisante. De plus, La Fontaine défend l’apologue en même temps qu’il adresse une mise en garde politique à l’Ambassadeur du Roi, M. de Barillon. Inspiré de la fable d’Esope intitulé « L’orateur Demade », le titre, énonçant à la fois thèse et thème affiche clairement son sentiment et son projet : faire l’éloge de ce type d’Apologue.

radicale des codes théâtraux traditionnels ( éclatement du personnage, du sens et de la parole ) tout en montrant que cet extrait met en abyme le regard du spectateur. On s'intéressera ensuite à un renouvellement du tragique qui passe par un questionnement sur le sens de l'exitence envisagée comme une farce tragique, voire absurde. Développement : I/ Une mise en abyme du théâtre : évolution et perspectives du tragique : → dans le théâtre de Beckett en général et dans cet extrait en particulier,

mais cette phrase insiste également sur le rapport direct qui s’est créé entre Renée et la tragédienne « elle entendait encore gronder derrière elle cette rude voie de la Ristorie à laquelle répondait le murmure complaisant d’Oenone ». II. Une mise en abyme a) tragédie de Phèdre Renée et Maxime assistent donc à la représentation de la tragédie de Racine et Renée vient d’entendre le récit de Théramène, récit qui relate la mort d’Hippolyte. Mais au lieu d’écouter attentivement, Renée est songeuse

Problématique: Comment Queneau dans ce poème réfléchit-il sur la création poétique? I. La liberté de création prise par Queneau A) L’OULIPO : la liberté poétique Mise en page sans aucune logique poétique (strophes, mètres) Pas de rimes Pas de ponctuation Anaphore présente dans presque tout le poème “que je te” (9 fois) Répétitions (petit petit petit, enfile/ sur le fil) Néologismes B) Un ton décontracté Style très oral (“tiens en voilà un qui passe...”, “petit petit