Mitrailleuse

Ce jeune instituteur est venu de la métropole avec son épouse pour instruire les enfants du bled. Leur autocar est attaqué dans les gorges de Tighanimine. Ils sont extraits du véhicule ainsi que les autres passagers et touchés par une rafale de mitrailleuse destinée au caïd Hadj Sadok. Guy Monnerot succombe sur le champ mais sa femme Jeanine survivra à ses blessures. Les meurtriers des deux Français auraient enfreint l'ordre de ne tuer que le caïd, membre de l'élite musulmane francophile. Ils auraient

guerre mondiale. Les aspects militaires : La mobilisation des hommes est très importante, plus de 8 000 000 d’appels. Les armes se perfectionnent et s’adaptent aux nouvelles formes de guerres (guerre de position : tranchées, artilleries, gaz, mitrailleuses, mortier…/ guerre de mouvement : tanks, chars, avions, sous-marins…) Les aspects économiques : La main d’œuvre devient essentiellement féminine, car les hommes sont tous partis en guerre. Elles travaillent non seulement dans les terres agricoles

pouvoir, aidé par l’Allemagne et l’Italie. Le 26 avril 1937, la petite ville de Guernica est bombardé par l’aviation allemande le jour du marché. L’attaque dure 2 heures avec des largages de bombes explosives et incendiaires. Ils poursuivent à la mitrailleuse la population qui essaie de fuir. Il y a plus de 1600 morts et plus de 580 blessés, principalement des femmes, des enfants et des vieillards. Les Nazis en ont profités pour tester leurs armes sur la ville et pour soutenir franco en démoralisant

le 18 août. Elle infligea de fortes pertes à la garde prussienne. Uniforme de soldat français avec le « pantalon garance ». Enfin, il faut citer les canons à balles de Reffye, ces mitrailleuses qui tiraient environ 75 coups à la minute. Chaque fois que les officiers, commandant ces batteries de mitrailleuses à 6 pièces, comprennent qu’il valait mieux ne pas engager la lutte contre l’artillerie adverse mais contre l’infanterie, des résultats spectaculaires sont obtenus. Il semble même que la

nombreuses formes de violence utilisŽes comme moyen de rŽpression: arrestations arbitraires et exŽcutions sommaires, fusillades, tortures ˆ mort, pendaisons, noyades, centres de tortures et de mise ˆ mort, massacres au revolver, au fusil et ˆ la mitrailleuse, dŽportations en camps de concentration (morts de faim, de froid, de maladie, d'Žpuisement, fusillŽs, etc... ) Les victimes de ces brutalisations diffrent selon les pays. En effet, en Italie ce sont principalement les opposants politiques

travail ». Elle est envoyée aux chambres à gaz. D’où la mort (allégorie) qui plane au dessus de leurs têtes. Ils se portent recourbés sur eux même ce qui symbolise la fatigue. Ils sont escortés par un soldat dont l’on ne voit que le bras portant une mitrailleuse. Cela montre que le soldat n’est pas dévoilé, qu’il est mystérieux. On peut voir sur sa manche le sigle des « SS », et, juste à coté une tête de mort ce qui montre aussi la dureté et la cruauté des soldats. Ils sont sans pitié. - Au second

Pierre. Alors que Louis découvre la maison de son père et qu’il rentre dans son bloc opératoire, Pierre lui plante une seringue d’anesthésiant. Louis qui est presque endormis est sauver in extremis par le docteur Milan Djuric qui tue Pierre avec une mitrailleuse.

La recherche scientifique est liée à la production d’armements ou à celle de moyens de communication nécessaires à la conduite de la guerre. C’est ainsi que pendant la première guerre mondiale les premières armes chimiques apparaissent, que les mitrailleuses se développent, les canons légers avec des obus à fragmentation, les chars, les sous-marins, les zeppelins et les premiers avions bombardiers. De plus, de la géologie (pour construire les tranchées) à la cartographie (pour le travail d’artillerie)

escadrilles de la légion Condor de l'aviation allemande, venues soutenir le général Franco, protégées par des avions de chasse italiens, procèdent au bombardement de la ville de Guernica. L'attaque commence à 16 h 30, aux bombes explosives puis à la mitrailleuse et, enfin, aux bombes incendiaires. Après avoir lâché quelque cinquante tonnes de bombes incendiaires, les derniers avions quittent le ciel de Guernica vers 19 h 45. Après le bombardement, un cinquième de la ville était en flammes, et l'aide des

tenaient en échec. Les bombardements étaient longs de plusieurs heures et détruisaient vraiment tout, les balles sifflaient au dessus des tranchées, les bombes fragilisaient celles-ci qui s’effondraient par la suite, les gaz asphyxiants, les mitrailleuses, les coups de fusil et le plus horrible de tout, les obus. L’air en était sillonné. Ces obus qui creusaient des cratères dans la plaine ou déchiquetaient les soldats en faisant voler leurs cadavres ; ils tuaient facilement vingt hommes à la fois