Mitrailleuse

une tranchée. Comme le soleil est à l’horizon, on peut penser que c’est la fin d’une journée de combat. Le seul personnage de la scène porte un masque à gaz. Il est immobile et emmitouflé dans un drap. A sa gauche gît un cheval éventré par une mitrailleuse. Sur la droite du panneau s’élève un charnier humain. Les corps sont transpercés, éventrés. Au milieu d’eux il y a un fusil baïonnette au canon. Une charpente tient encore debout et un squelette y est suspendu par des draps. Des plaques de tôle

premiers combats vont être extrêmement meurtriers car les équipements des soldats ne sont pas encore adaptés aux nouvelles conditions de guerre (pas de casques, uniformes voyant...), alors que les armes sont déjà très destructrices (artillerie, mitrailleuses...). Les combats se font de plus, souvent à découvert, sans que les soldats puissent se protéger. Sur le front français, les Allemands attaquent et sont près de l'emporter, mais ils sont repoussés lors de la bataille de la Marne. Les Français contre-attaquent

par l’artillerie allemande après une bataille farouche et désespérée le 20 Juin 1940. Exaspérés par cette résistance les Allemands prirent ceux qui étaient vivants, « les alignèrent contre les murs du couvent et les hachèrent littéralement à la mitrailleuse. » (Histoire des peuples noires ). . Il ne faudrait pas croire que ces Africains recrutés de force n’ont offert aucune résistance. La révolte contre la conscription atteignait parfois une telle ampleur qu’il fallait souvent de véritables expéditions

boucherie. Le verbe "tomber" est alors répété cinq fois et est associé à des aspects qui caractérisent les guerres précédentes : "une belle phrase sur les lèvres" souligne l'idée de sacrifice pour la patrie. "Leurs chevaux se font faucher par les mitrailleuses", "ils n'ont plus le bel uniforme de leurs pères". Messard souligne aussi le fait que leur situation est peut être mieux telle quelle. "C'est mieux ainsi peut être". Néanmoins, il n'est pas sûr de lui est le renvoie de l'adverbe peut être en fin

aérien sur Guernica, ville emblématique du Pays Vasque. Le bombardement fait 1654 morts et 889 blessés. L’attaque dure à peine deux heures un jours de marché. Les avions bombardiers Stuka larguent un tapis de bombes explosives, poursuivent à la mitrailleuse, achèvent par 50 tonnes de bombes incendiaires laissant 70% de la ville en flamme. La plupart des victimes sont des femmes, des enfants et des vieillards. Ce massacre suscite l’indignation internationale. Les nazis, à la veille de la Seconde Guerre

arménien dans l’Empire ottoman (1915) La guerre totale La guerre totale * La guerre des tranchées à l’ouest * Des armes meurtrières (canons, gaz, mitrailleuses…) * Les souffrances des soldats * Plus de 9 millions de morts, 6 millions d’invalides. * La guerre des tranchées à l’ouest * Des armes meurtrières (canons, gaz, mitrailleuses…) * Les souffrances des soldats * Plus de 9 millions de morts, 6 millions d’invalides. La violence des combats La violence des combats Les

document, il présente la première guerre mondiale comme un conflit inédit, marqueur d'une rupture majeure. Le document 2 est un toile d'un peintre britannique engagé comme personnel soignant sur le front. Ce document iconographique intitulé "La mitrailleuse" date de 1915 et met en scène des soldats dans une tranchée durant la Grande Guerre. Il convient ensuite de présenter brièvement le contexte de la guerre de 14-18: forces en présence, affrontements entre grandes puissances regroupées en deux alliances

Le Kaman K-225 Les années 60-70 marquèrent un grand avancement dans la technologie utilisée pour les hélicoptères, à cause de la guerre du Vietnam. Durant ce laps de temps, les hélicoptères ont aussi été utilisés comme des armes, utilisant mitrailleuses et missiles : le Bell 209 Cobra « Snake » en est un exemple flagrant. Un autre type d’hélicoptères, comme le Gyrodyne QH-50, étaient utilisés pour la surveillance de nuit, et donc équipés de caméras à infrarouges. Celui-ci est encore utilisé aujourd’hui

qu’on faisait feu contre l’ennemi, ou au contraire qu’on se défendait afin de repousser l’assaut ennemi. C’était la ligne la plus exposée et c’était également ici qu’on pouvait trouvé de nombreux postes de guet ou de tir, des abris et des nids de mitrailleuse. Environ 80 mètres en arrière on trouvait une trachée de seconde ligne servant d’appui et de repli ou de base en cas de contre-attaque. Dans cette ligne, il y avait des abris, certains profonds ou couverts, des soins sommaires et des postes de

leur arrivé souvent. En l’espace d’un éclair les détenus allèerent étrangler le chef de block et ses acolytes, ensuite deux groupe se formèrent pour aller les miradors et aveugler les sentinelles avec des extincteurs à mousse et s’emparèrent des mitrailleuses. Pendant ce temps, d'autres jetaient des couvertures sur les barbelés électrifiés et, grâce à cet isolant, commençaient à franchir la redoutable clôture. Seuls quatorze des 400 détenus furent tués au cours de l'opération. Les autres se dispersèrent