Mitrailleuse

de marché, quatre escadrilles de la légion Condor, protégées par des avions de chasse italiens, procèdent au bombardement de la ville de Guernica afin de tester leurs nouvelles armes. L'attaque commence à 16h30, aux bombes explosives puis à la mitrailleuse et enfin aux bombes incendiaires. Après avoir lâché quelques 50 tonnes de bombes incendiaires, les derniers avions quittent le ciel de Guernica vers 19h45. Après le massacre, 20% de la ville était en flammes, et l'aide des pompiers s'avérant inefficace

écraser les forces françaises en 6 semaines La résistance des troupes russes sur le front Est Deuxième La Guerre des tranchées -> en 4 ans Nouvelles armes: Chars d'assaut Gaz asphyxiant (Gaz moutarde, ect) Lance-flamme Avions métalliques Mitrailleuses Grenades Sur mer -> Lance-Torpilles La mondialisation du conflit: Triple Alliance Empire Ottoman 1914 Bulgarie 1915 Colonies Allemandes Triple Entente Dominion de l'Angleterre: Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Inde Colonies africaines

Portugal, les soldats portugais ont reçu un nouvel entraînement dans la Flandres française. Dans ces entraînements, les portugais ont été soumis à des cours théoriques et pratiques, sur l’utilisation d’armes comme le fusil anglais Lee-Enfield, et la mitrailleuse belge Lewis. On leur à apprit l’escrime, à utiliser et se défendre du gaz, à patrouiller, à construire et réparer des tranchées, entre autres. De cette manière, les soldats du C.E.P ont été soumis à un horaire intense qui commençait à 6h et qui

déroulement: Le lundi 26 avril 1937, plusieurs avions, avion de chasses et bombardiers allemands et italiens, procédent au bombardement de la ville afin de tester leur nouvelles armes. L'attaque débuta vers 16heure 30 aux bombes explosives puis à la mitrailleuse puis enfin aux bombes incendiaires. Les derniers avions allemands quittérent le ciel de Guernica vers 19 heure 40, après avoir lachés 50 bombes incendiaires. Le feu envahie la ville brûlant 70 % des habitations. Bilan: Le nombre de victimes est

de l'histoire avec 10 millions de morts. La violence des combats marquent les hommes en partit à cause de la peur des bombardements, des stratégies de combats qui emmène les hommes à une mort certaine, courir dans les trous d'obus face aux mitrailleuse ennemies, vivre en permanence avec la mort, l'utilisation d'arme, les combats qui deviennent sans fin ainsi que le manque de sa famille et de ses amis sont d'une violence extrême. De plus, la guerre se déroule dans tous les espaces : terrestre

extrêmement violente et totale 70 millions de soldats participent au conflit et 9 millions de personnes meurent au cours de cette guerre. 6 millions de soldats en ressortent mutilés en raison de l’utilisation de nouvelles techniques de combat : obus, mitrailleuses, lance-flammes… sans oublié l’utilisation du gaz moutarde ; les gazés deviennent aveubles et meurent le plus souvent quelques heures après inhalation. On parle de guerre totale car elle possède plusieurs dimensions : politique et psychologique

qu’il en poussait des petits cris avortés, tel un petit chien qui rêve. On ne pouvait démêler s’il voulait nous parler ou bien s’il pleurait. Nos Allemands accroupis au fin bout de la route venaient justement de changer d’instrument. C’est à la mitrailleuse qu’ils poursuivaient à présent leurs sottises ; ils en craquaient comme de gros paquets d’allumettes et tout autour de nous venaient voler des essaims de balles rageuses, pointilleuses comme des guêpes. L’homme arriva tout de même à sortir de

manants) au fondement douloureux. Mais il s'était plus ou moins intégré au bel aréopage, et ses compétences s'étaient plusieurs fois révélées utiles. En tout cas, il avait encore du se shooter aux somnifères, car même quelques tirs en l'air de la mitrailleuse de Perceval ne parvint à le réveiller. Un peu déçu, celui-ci s'alluma un joint et attendit que viennent le hanter les fantômes de toutes les personnes qu'il avait tuées, histoire de les narguer. - Alors, bien dormi les gars ? - Ta gueule

Leurs mains, leur visage, moustache, cils, cheveux étaient également couverts de boue visqueuse... Ils étaient partis cinq jours avant moi; et déjà ils étaient méconnaissables! [...] Chaque nuit il fallait attaquer, patrouiller ou travailler; les mitrailleuses faisaient rage, il fallait se coucher des heures dans la boue, pluies quotidiennes, pas d'abris, mal ravitaillés, tel étaient leur triste sort, tel allait être le mien." Extrait de Carnets de guerre, de Louis Barthas, Paris, Maspero, 1979.

défendre contre les dangers de la technologie mise en oeuvre par les hommes pour s’entretuer. Les bombardements d’obus sifflent sans cesse autour de l’escouade du narrateur et il faut éviter ses éclats qui peuvent frapper n’importe où, sans oublier la mitrailleuse qui laisse traîner des balles qui viennent se perdre tantôt dans une motte de terre tantôt dans la chair des soldats et même les gaz asphyxiants qui plongent les soldats dans un sommeil sans retour. En outre, il est difficile pour ces soldats de