Mixité

par le développement de la mixité Notre projet s’adresse autant aux filles qu’aux garçons quoique la participation des filles est nettement supérieure à celle des garçons dans le cadre de nos actions de cohésion sociale. Toutes nos activités en la matière sont prévues pour des groupes mixtes : l’accompagnement scolaire, notre projet d’accueil des primo arrivants ainsi qu’au sein de nos activités connexes. Notre projet de cohésion contribue largement à la mixité culturelle puisque nous accueillons

elle en témoigne : « Le patron m’as bien expliquer que son entreprise était d’une grande mixité et qu’il ne faisais subir aucun types de ségrégations a ces employés mais que le poste auquel je prétendez n’était pas fait pour moi, mais qu’il pouvais me placer en temps que secrétaire. Je sais qu’il a regardé ma couleur de peau et non mon expérience, pour lui l’entreprise serais « bien vu » si il a de la mixité. » La discrimination positive se trouve aussi dans certaines écoles, collèges et lycées

La persistance de stéréotypes de genre pourrait expliquer l'absence de mixité dans certaines disciplines sportives dès le plus jeune âge : en 2014, près d'une personne sur deux adhère à l'idée selon laquelle "certains sports conviennent mieux aux filles qu'aux garçons".  Les valeurs transmises par le sport telles que le respect ou encore l'amitié favorisent le « vivre ensemble ». Ainsi depuis les années 1970, le sport est considéré comme un vecteur d'inclusion sociale, voire comme une manière de

contraintes de la pratique pour les femmes……………. p11 C) Les femmes à la direction du sport………………………………………….. p13 III ) L’exemple du football à la fois affirmation et inégalités. A) Les spécificités du football féminin…………………………………… p16 B) La mixité, une réalité éphémère………………………………………… p17 C) Les hostilités a l’égard du football féminin…………………………… p20 Conclusion……………………………………………………………………… p22 INTRODUCTION En 2010 sur 64,7 millions de français seulement 30 millions pratiquent un sport

« développement séparé » 5 C. Les années 1990 : redéfinition de la politique urbaine 6 II Johannesburg post-apartheid : de la ségrégation raciale à la ségrégation sociale? 7 A. La déségrégation du CBD (Central Business District) 7 B. Une étonnante mixité dans les quartiers péri-centraux 8 C. Espaces et sociétés dans le township 9 D. Les gated communities : L'exclusion voulue 10 III Le cas de Soweto, symbole du township sud-africain 13 A. Un espace « habité » 13 B. Un tissu urbain contrasté

niveau régional, national mais aussi international. http://www.ileseguin-rivesdeseine.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=35&Itemid=45&lang=fr) La mixité est une priorité chère au projet. Elle est présente dans l’ensemble des opérations et s’applique quel que soit le domaine et à toutes les échelles. En effet, la mixité sociale permet l’introduction de logements publics, mais aussi sociaux et classiques qui seront ensuite intégrer à des bureaux et des commerces (souvent aux rez-de-chaussée

jules ferry a paris dans les années 1970 5 réponse a la problematique 6 La scolarisation des filles de la Belle époque à nos jours Comment, tout au long du XXe siècle, la scolarisation des filles dans le secondaire est-elle parvenue à rendre la mixité possible ? Pourquoi des spécificités persistent-elles dans les choix des formations ? la loi de 1880 Beaucoup de jeunes filles seraient capables, sans doute, de suivre jusqu’au bout et avec succès tout le programme des lycées ; mais il ne s’agit

féminine commence d’abord par son instruction. Cette dernière a pendant très longtemps été inexistante ou inculquée par l’Eglise et très inférieure à celle des garçons. Les deux enseignements ont d’ailleurs pendant très longtemps été distincts : la mixité n’intervient que dans la deuxième moitié du XX° siècle. L’accès à l’instruction commence par l’enseignement primaire. Tout débute au cours des siècles précédents, l’Etat, le pouvoir, impose une certaine éducation féminine par des ordonnances royales :

scolaires et les baccalauréats masculin et féminin deviennent identiques. A partir de 1938, les femmes peuvent s’inscrire à l’université sans l’autorisation de leur mari. Dans les années 1970, les bachelières sont aussi nombreuses que les bacheliers et la mixité scolaire se généralise. Si, en 1900, on comptait 624 étudiantes dans toute la France, elles sont 520 000 en 1990. * L’école réussit mieux aux filles : Aujourd’hui, de la maternelle à l’université, les filles obtiennent de meilleurs résultats que

l'habitat habille, nous sommes alors habillés par le lieu dans lequel nous vivons, il nous crée, il forme nos modes de vies et crée notre identité. A l'intérieur de ces grands ensembles, tous similaires, on ne retrouve aucune hiérarchie sociale, pas de mixité sociale, l'individu n'est plus différencié de son entourage, il fait parti d'un « lot » et perd son identité et tout repère, il se trouve alors rabaissé, dépourvu du « sentiment d'appartenance à une communauté urbaine » chose pourtant indispensable