Mme Boutarel

entrée avec une grâce souriante et inquiète. La clarté matinale découpait la noire silhouette de leurs vêtements de deuil, un jour oblique dorait leurs cheveux blonds. - Entrez, entrez, répétait Baudu. En quelques phrases brèves, il mettait au courant Mme Baudu et sa fille. La première était une petite femme mangée d’anémie, toute blanche, les cheveux blancs, les yeux blancs, les lèvres blanches. Geneviève, chez qui s’aggravait encore la dégénérescence de sa mère, avait la débilité et la décoloration

entrée avec une grâce souriante et inquiète. La clarté matinale découpait la noire silhouette de leurs vêtements de deuil, un jour oblique dorait leurs cheveux blonds. – Entrez, entrez, répétait Baudu. En quelques phrases brèves, il mettait au courant Mme Baudu et sa fille. La première était une petite femme mangée d'anémie, toute blanche, les cheveux blancs, les yeux – 11 – blancs, les lèvres blanches. Geneviève, chez qui s'aggravait encore la dégénérescence de sa mère, avait la débilité et la décoloration

entrée avec une grâce souriante et inquiète. La clarté matinale découpait la noire silhouette de leurs vêtements de deuil, un jour oblique dorait leurs cheveux blonds. - Entrez, entrez, répétait Baudu. En quelques phrases brèves, il mettait au courant Mme Baudu et sa fille. La première était une petite femme mangée d'anémie, toute blanche, les cheveux blancs, les yeux blancs, les lèvres blanches. Geneviève, chez qui s'aggravait encore la dégénérescence de sa mère, avait la débilité et la décoloration

entrée avec une grâce souriante et inquiète. La clarté matinale découpait la noire silhouette de leurs vêtements de deuil, un jour oblique dorait leurs cheveux blonds. - Entrez, entrez, répétait Baudu. En quelques phrases brèves, il mettait au courant Mme Baudu et sa fille. La première était une petite femme mangée d'anémie, toute blanche, les cheveux blancs, les yeux blancs, les lèvres blanches. Geneviève, chez qui s'aggravait encore la dégénérescence de sa mère, avait la débilité et la décoloration

exaspérés par les agrandissements successifs opérés par Mouret. Ils ont en effet connu la boutique, fondée par les frères Deleuze, à l’époque où elle avait une taille modeste. Mouret est devenu propriétaire de la boutique en épousant, dans Pot-Bouille, Mme Caroline Deleuze veuve Hédouin, qui mourut peu après, des suites d'une chute sur le chantier du magasin. Denise, ne trouvant pas de place dans les petites boutiques, décide d’aller chercher du travail au Bonheur des Dames et ce malgré l’avis défavorable

magasin extrêmement bien organisé hiérarchiquement parlant: dans chaque rayon le grade le plus bas est premier vendeur, ensuite on passe second et enfin premier, c'est-à-dire chef de rayon. • • Octave Mouret : patron du Bonheur des Dames, amant de Mme Desforges,de Clara Prunaire et « d’autres » • • Baugé: vendeur au Bon Marché puis au Bonheur, amant puis mari dePauline Cugnot • • Bourdoncle : adjoint du patron, chargé de la gestion du personnel (renvoyé) • • Bouthemont : premier (chef de rayon) au

et Mme Baudu : vendeurs de tissus • • Colomban : employé des Baudu, fiancé de Geneviève Baudu • • Bédoré et sa soeur : dirigeants de la bonneterie • • Bourras : vendeur et sculpteur de parapluies rue de la Michodière • • Cornaille: propriétaire d'une boutique à Valognes où travaillait Denise avant d'arriver à Paris • • Deslignières : bimbelotier • • Grognet : parfumeur • • Naud : cordonnier • • Piot et Rivoire : marchands de meubles • • Quinette : vendeur de gants • • M. et Mme Robineau

jolie femme, mise avec modestie. Elle était en compagnie d’un monsieur d’air sérieux, un chef de bureau au ministère de l’Intérieur, que La Faloise connaissait, pour l’avoir rencontré chez les Muffat. Quant à Fauchery, il croyait qu’elle se nommait Mme Robert : une femme honnête qui avait un amant, pas plus, et toujours un homme respectable. Mais ils durent se tourner. Daguenet leur souriait. Maintenant que Nana avait réussi, il ne se cachait plus, il venait de triompher dans les couloirs. A son côté

jolie femme, mise avec modestie. Elle était en compagnie d’un monsieur d’air sérieux, un chef de bureau au ministère de l’Intérieur, que La Faloise connaissait, pour l’avoir rencontré chez les Muffat. Quant à Fauchery, il croyait qu’elle se nommait Mme Robert : une femme honnête qui avait un amant, pas plus, et toujours un homme respectable. – 31 – Mais ils durent se tourner. Daguenet leur souriait. Maintenant que Nana avait réussi, il ne se cachait plus, il venait de triompher dans les couloirs

CURT Pétanque Burgienne JL BOURG - Section Pétanque M.Jean Pierre SERVEAUX Mme Sylvaine GAILLETON Mr Hervé GOUJON Mr Patrick PERRIN Mr Gérard GRINGUE Mr Patrick BADOUX Mr Manuel MATOS-AZEVEDO Mr Eric BEREZIAT Mme Valérie PLANUS Mme Colette DECHAIX Mr Gérard CIVIDIN RUBIO Tony Mme Pascale HEBERT Mr Daniel MORRIER Mr Jean SNEL Mr Gilles BERTOLO Mr Eric JUGNET Mr Patrice BRIEL Mr René TRIBOLET Mr Laurent MOLINA Mr Rémi MAIGRET Mme Josiane DARNAND Mr Guy JARRET Mr LAMBERT Didier Mr Christian MALOD Mr Emmanuel