Mme De Montpensier

en 1665 avec La Rochefoucauld (écrivain, moraliste et mémorialiste français, surtout connu pour ses Maximes) une relation d'amitié qui durera jusqu'à la fin de sa vie. - 1662 : elle fait paraître une nouvelle historique anonyme, La Princesse de Montpensier - en 1669 et 1671 sont publiés, sous le nom de Segrais – un de ses amis lettrés – les deux volumes de Zaïde (vif succès) -1678 : son chef-d'œuvre, La Princesse de Clèves, suscite l'admiration. - succombe à la maladie le 26 mai 1693. À titre

: fils de François 1er amoureux de Diane de Poitiers aka duchesse de Valentinois excelle dans les activités physiques Mme de Valentinois  : maitresse d’Henri II Mlle de La Marck  : petite fille de Valentinois, à marier puis marié à Mr d’Anville Catherine de Médicis  : reine et épouse d’Henri II Mme Elisabeth de France  : fille d’Henri II Marie Stuart  : reine d’Ecosse mariée à François II frère

1558. Plus précisément, à la Cour du roi Henri II. La Cour respecte des rituels bien précis, comme la présence de courtisanes et la bienséance. Au fil de l’histoire, il y a une alternance de lieux entre la Cour du roi et la campagne, où se réfugie Mme de Clèves pour tenter de se guérir de son amour pour le Duc de Nemours. Les dates de ce récit correspondent bien à la réalité ce qui en accentuera la vraisemblance. L'histoire se poursuivra durant le sacre de François II et se terminera quelque temps

Madame De La Fayette proposera dans ses œuvres des personnages majestueux et plein d’éclats, mais néanmoins réalistes, car tirés de l’Histoire, comme le Duc de Nemours dans La Princesse de Clèves(1678)ou encore le Duc de Guise dans La Princesse de Montpensier(1662), tandis que le roman sera complétement fictif chez Daniel Defoe, lequel inventera intégralement les aventures et la vie de son personnage Robinson Crusoé, héros du roman éponyme paru en 1719. Avec le temps, les héros de roman deviennent de

ainsi cette étrange situation : « Nous trouvons à présent une femme qui a tellement éclipsé son mari, que nous ne savons pas s’il est mort ou en vie… ». Établie de façon définitive à Paris en 1659, elle fait paraître anonymement La Princesse de Montpensier en 1662.L'œuvre la plus célèbre de Marie-Madeleine de La Fayette est La Princesse de Clèves, d’abord éditée par un de ses amis en mars 1678. Cette œuvre, dont le succès fut immense, passe souvent pour être un prototype du roman d'analyse psychologique

lettrées, comme en témoignent Mme de Sévigné, à qui son fils est capable de faire la lecture des heures durant, ou Racine (connu pour sa belle diction) distrayant Louis XIV malade. A quoi il faut ajouter l'importance des lectures à haute voix, dans la vie en quelque sorte professionnelle des écrivains : à titre d'exemples, Scarron essaie son roman sur les invités de son salon, et Mme de Sévigné, en 1673, est conviée chez M. le duc de La Rochefoucauld pour y entendre, avec Mme de Lafayette, et un cercle

princesse de Clèves ? Le nom de jeune fille de la princesse de Clèves est Mademoiselle de Chartres. 2 Dans quelles circonstances épouse-t-elle le prince de Clèves ? Madame de Chartres veut que sa fille épouse un prince de sang : le Prince de Montpensier. Le roi refuse cette union car il s’est fait influencer par Madame de Valentinois, sa maitresse qui déteste le Vidame de Chartres (donc Mademoiselle de Chartres qui est de la même famille). Cette décision fait du tort à Mademoiselle de Chartres

nombreux artifices est bannie. 2° Cependant la dictature des règles semble pour certains si perverse qu’ils préconisent de s’en affranchir. 3° Position de MDLF : Pas nette et tranchée. Princesse de Montpensier : impose une esthétique qui remplacerait celle des grands romans ; comparable aux nouvelles par la simplicité. Zaïde : grand roman traditionnel Princesse de Clèves ; hérite des habitudes de son temps en adoptant une disposition

condition de la femme est un sujet très controversé depuis des siècles. Les premiers à se pencher réellement sur le sujet sont les philosophes du siècle des Lumières, tels que Voltaire, ou même les femmes de lettres éduquées, relativement rares, telles que Mme de La Fayette. Nous verrons comment au fil des siècles, la littérature a su refléter la condition des femmes. Etant donné l’ampleur du sujet, nous traiterons siècle par siècle de la place que la femme occupe dans le roman en nous appuyant sur des exemples

Scarron, les Nouvelles tragi-comiques (1655-1657). Segrais, les Nouvelles françaises (1657). Les romans historiques et galants: Mme de Villedieu (1631-1683), Alcidamie (1661), les Annales galantes (1670), les Désordres de l'amour (1675- 1676). Saint-Réal (1629-1692), Don Carlos (1672), la Conjuration des Espagnols (1674). Mme de la Fayette, la Princesse de Montpensier (1662), Zaïde (1670-1671), la Princesse de Clèves (1678). Les romans épistolaires. Boursault, Lettres à Babet (1669), Treize lettres