Mme Forestier

Celle-ci veut encore un bijou, pour ne pas sembler pauvre au milieu des dames élégantes. Son amie, Mme Forestier, lui prête une rivière de diamants. Ainsi parée, Mme Loisel obtient un vif succès, le soir venu. En rentrant, elle perd le bijou. Son mari le cherche en vain. Pour le remplacer avant d'être accusé de vol, le couple emprunte beaucoup d'argent et achète une autre rivière de diamants. Mme Forestier ne s'aperçoit de rien. Dès lors, les Loisel s'infligent les pires privations pour rembourser les

n'ayant rien à se mettre, Mme Loisel reprit sa bonne humeur lorsque son époux consentit à lui donner 400F pour qu'elle puisse s'acheter une toilette convenable, bien qu'il gardât cette somme pour s'acheter un fusil et s'offrir des parties de chasse, l'été suivant, dans la plaine de Nanterre. Cependant, le jour de la fête approchait et Mathilde semblait triste: sa toilette était prête, mais elle n'avait pas de bijoux. Son époux lui suggéra d'aller voir Mme Forestier, une amie riche et une camarade

certain temps de réflexion, il se souvint d’un Forestier, moins gros, vêtu d’un uniforme de hussard. Ca faisait quatre ans de cela qui était venu à Paris. Marié à Clotilde. Et journaliste de métier dans une belle situation. L’air d’un homme bien changé, mûri, et qui avait maintenant une allure, une tenus, un costume d’homme posé, sur de lui, et un ventre d’homme qui dine bien. Des cheveux blancs bien qu’il n’eut pas plus de vingt-sept ans. Le forestier, l’invita à le suivre puis à prendre un bock

Chap I: La rencontre de Forestier, rédacteur politique à "La vie française". Une leçon de psychologie parisienne: "Pourquoi n'essaierais-tu pas du journalisme?". "Les femmes avaient levé la tête vers lui" "Tu as du succès, mon cher; Mes compliments..." Une conquête facile: Rachel. Le boulevard. "La vie française". Les Folies Bergères. Les Folies-Bergères (Manet) Chap II: Un dîner chez Forestier. La première série d'articles et les affres de la feuille blanche. Vers

dans les rues du Paris des années 1880, sans argent. Il rencontre un ancien ami, Charles Forestier rédacteur politique à La Vie française. Pour pouvoir réussir, Forestier lui conseille de prendre la voix du journalisme. Duroy est alors invité à dîner chez son ami où il fait la connaissance de M. Walter, le patron, d’autres journalistes et de femmes. Chapitre II Duroy, d’une grande élégance, se rend chez Forestier où il se met à relater ses souvenirs d’Afrique après avoir donné l’image d’un jeune homme

cette intimité naissante. » D.R pensant de Mme Forestier p63 « Il vivait mnt avec une peine infinie, avec plus de peine qu'aux jours ou il était employé du Nord, car, ayant dépensé largement, sans compter, pdt ses 1er mois de journalisme, avec l'espoir constant de gagner de grosses sommes et le lendem1, il avait épuisé tttes ses ressources et ts les moyens de se procurer de l'argent. » D.R p118 « Je suis amoureux de vous. » déclaration D.R à Mme Forestier p133 « Il se réconcilia avec Rachel, ce

s’agit de la mort, qui se fond avec les personnages à chaque instant. Georges Duroy la défie. En effet, il profite de la mort de son ami Forestier pour s’attirer les faveurs de Mme Forestier et l’épouser. L’esprit de ce dernier le hantera même après sa mort. Maupassant prend soin de la laisser planer à travers le roman lors du duel, de l’agonie de Forestier, du testament de Vaudrec et surtout lors du monologue du journaliste Norbert de Varenne : « La vie est comme une côte, tant qu’on la monte

La Parure la parure : M. Loisel et mme Loisel sont un couple. M Loisel travaille comme un petit commis du ministère de l’instruction publique. Sa femme rêve d’une vie luxueuse. Un jour M. Loisel et Mme. Loisel sont invités au Ball du ministère. Mais Mme Loisel n’a pas de robe convenable. Alors elle veut acheter une nouvelle robe. Son mari lui donne l’argent pour la robe. Il a économie cet agent pour s’acheter un fusil et pour s’offrir des parties de chasse, l’été suivant. Elle n’a pas de bijou

à Paris. Alors qu’il se promène en 1880 dans les rues de Paris, il rencontre par hasard Charles Forestier, un ancien ami des hussards qui lui propose du travail dans le journalisme. Forestier emmène donc Duroy dans les locaux de la vie française où ils rencontrent Jacques Rival, un chroniqueur duelliste, puis Norbert de Varenne, l’auteur des Soleils morts. Mais, avant de pouvoir l’embaucher, Forestier propose à Duroy de venir manger chez lui avec le patron, M. Walter, sa femme, Jacques Rival et Nobert

dans les rues du Paris des années 1880, sans argent. Il rencontre un ancien ami, Charles Forestier rédacteur politique à La Vie française. Pour pouvoir réussir, Forestier lui conseille de prendre la voix du journalisme. Duroy est alors invité à dîner chez son ami où il fait la connaissance de M. Walter, le patron, d’autres journalistes et de femmes. Chapitre II Duroy, d’une grande élégance, se rend chez Forestier où il se met à relater ses souvenirs d’Afrique après avoir donné l’image d’un jeune homme