Mme Forestier

promène dans Paris sans un sou en poche, rêvant de gloire et de richesse. Il rencontre alors Forestier, un ancien ami avec qui il a fait la guerre. Celui-ci travaille dans le journalisme et propose à Duroy son aide. Celui-ci accepte avec plaisir et est convié à un dîner avec le patron du journal La Vie Française. Il rencontre là-bas des gens de la haute société parisienne dont Mme de Marelle, la femme de Forestier, Madeleine et le couple Walter, patron du journal. Notre héros décroche alors un boulot

beau monde. Un jour, monsieur Loisel a une invitation pour une balle du ministre de l'Instructions publique. M. et Mme Loisel ont l'honneur de venir passer la soirée à l'hôtel du ministère. Mais Mme Loisel n'a pas de toilettes, pas de bijoux encore. M. Loisel donne Mme Loisel quatre cents francs pour une robe. Mais Mme Loisel a besoin de bijoux encore. Ainsi, elle va à Mme Forestier, et elle lui demande de prêter une parure. Le lundi 18 janvier elle peut aller à l'hôtel du ministère. Elle s'amuse

technique qui demande de réserver le meilleur pour la fin et de dire le plus avec le minimum de mots. Maupassant a parfaitement atteint ce double objectif: mis à part la réaction du joaillier, qui déclare n'avoir vendu que l'écrin du collier de Mme Forestier, aucun indice n'annonce l'extraordinaire surprise du dénouement. En effet, Maupassant ne dispose que d'un nombre restreint de pages. Ne pouvant décrire longuement, il décrit par des mots précis et choisis avec soin. Le détail, en somme, exprime

technique qui demande de réserver le meilleur pour la fin et de dire le plus avec le minimum de mots. Maupassant a parfaitement atteint ce double objectif: mis à part la réaction du joaillier, qui déclare n'avoir vendu que l'écrin du collier de Mme Forestier, aucun indice n'annonce l'extraordinaire surprise du dénouement. En effet, Maupassant ne dispose que d'un nombre restreint de pages. Ne pouvant décrire longuement, il décrit par des mots précis et choisis avec soin. Le détail, en somme, exprime

Charles forestier rédacteur politique à La Vie française qui lui propose un poste dans ce journal. Au cours d’un diner chez les forestiers, il rencontre Mme Forestier qui est la femme de son ami lui donne des conseils et l'aide à rédiger ses premiers articles. Puis il fait la connaissance de Clotilde de Marelle, un sympathique bourgeois, qui sera son amante durant tout le roman. Sa fille, Laurine de Marelle, donnera à notre héros le surnom de Bel-Ami. Il tentera de séduire Mme de forestier, mais

MOSNIER ERVAN 2°1 DEVOIR D ECRITURE N°1 - Oh! ma pauvre Mathilde! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs!... Mathilde Loisel resta émue par la déclaration de Mme Forestier qui l'avait beaucoup choquée . Mathilde rétorqua à Mme Forestier: - Comment ça ? Vous voulez dire que cette parure ne vaut pas la vraie ? - Mais enfin Mathilde je n'aurais jamais pu m'offrir une parure qui coûte des dizaines de milliers de francs! Mathilde commençait à

Paris, il rencontre Forestier, un ancien ami, ex-camarade de régiment, qui est devenu rédacteur politique dans le journal "La vie française". Il lui donne une leçon de vie parisienne et  lui demande pourquoi il n'essaierait pas le journalisme. Forestier constate que Duroy rencontre un certain succès auprès des femmes. Il l'invite à venir dîner chez lui pour lui faire rencontrer le directeur de son journal. CHAPITRE 2 Georges Duroy se rend au dîner des Forestier. Il séduit Mme Walter, la femme du

l’identité de la femme, Madame Forestier. Importance de cette femme nommée presque avec déférence, respect. Pas à priori de signe d’amitié pour le moment mais d’admiration. Présence de trois adjectifs qualificatifs valorisants : « belle », « jeune », « séduisante » amplifiés par répétition de l’adverbe « toujours ». Rythme ternaire accentue valorisation. Adjectifs sont aussi valorisants que subjectifs. Toujours ici dans focalisation interne. Cette mise en valeur de Madame Forestier souligne a contrario le

dîner chez Forestier Nous allons étudier un extrait du roman Bel-Ami, publié en 1885 par Guy de Maupassant, et qui fait partie du mouvement littéraire du naturalisme. Il s’agit d’un roman d’initiation qui a été écrit à une époque ou beaucoup de jeunes gens quittaient la campagne pour tenter leur chance à Paris, thème que le roman abordera à travers Georges Duroy, jeune homme qui arrive à Paris, et qui va essayer de s’élever dans la société parisienne. L’extrait que

que Laurine (la fille de Mme de Marelle) appelle George Duroy pour la première fois (I chapitre 5). Ce titre fait référence à la beauté du jeune « ami » de sa mère mais aussi à leur relation « bon-ami » : camarade ? Amant ? L'enfant, très perspicace et elle aussi charmée par Duroy place dans cette appellation toute l’ambiguïté des relations entre lui et sa mère.Cette appellation est