Mme Rosémilly

détourne de Mme Rosémilly (cf p.82) → début de l’unification de la famille Roland, cupidité qui les rapproche. - Argent : source d’influence relations entre hommes/femmes. Ici : mariage de Jeanet Mme Rosémilly que par intérêt : Mme Roland veut marier un de ces fils dès le début du roman à la voisine car vit des rentes mari décédé (cf p. 69) → marque 1ère confusion amour/argent.- 2èmeconfusion amour/argent : couple M. et Mme Roland → n’éprouvent aucun sentiments l’un envers l’autre, Mme Roland fidèle

directement puisque le roman débute IN MEDIAS RES donc seulement un des personnages est présenté et sa dès la première phrase puis les autres au fur et a mesure que l’incipit progresse et l’on découvre la partie spatiale du cadre a partir de la ligne cinq « Mme Roland, assoupie à l’arrière du bateau… ». L’incipit de Le Rouge et le Noir nous situe seulement la partie spatiale du cadre mais elle est présente la moitié de l’incipit car il y a une description pointu des éléments présent autour du village. Seulement

-- "Zut !" s'écria tout à coup le père Roland qui depuis un quart d'heure demeurait immobile, les yeux fixés sur l'eau, et soulevant par moments, d'un mouvement très léger, sa ligne descendue au fond de la mer. Mme Roland, assoupie à l'arrière du bateau, à côté de Mme Rosémilly invitée à cette partie de pêche, se réveilla, et tournant la tête vers son mari : "Eh bien,... eh bien,... Jérôme !" Le bonhomme, furieux, répondit : "Ça ne mord plus du tout. Depuis midi je n'ai rien pris. On ne

accompagnés de leurs fils Pierre et Jean. Ces deux derniers, comme la majorité des frères, sont à la fois très liés et en opposition, au travers d'une « fraternelle et inoffensive inimitié »; tous deux rivalisent d'efforts à la rame sous les yeux de Mme Rosémilly, une veuve encore jeune. Lorsque la partie s'achève et que tous s'en retournent sur la côte, les Roland apprennent que Jean va hériter (et seulement lui) de Maréchal, qui est un ancien ami de la famille. Chapitre II Pierre réfléchit à cela

ETUDE I/ Le dénouement du point de vue de Madame Roland 1. Le désordre intérieur Impuissance de Mme Roland face au destin se traduit par la double comparaison ("montagne", "train") qui rend gigantesque le bateau et rapetisse Mme Roland. Le lexique de la disparition ("allait", "fuyait", "disparaissait") fait ressortir la dimension tragique ressentie par Mme Roland. Champ lexical de la souffrance. 2. La mort La prise de conscience du changement de la situation de famille est due au sentiment

tant d'ardeur qu'il venait d'être reçu docteur » Jean Roland: Caractère + doux que celui de son frère « modèle de douceur, de bonté et de caractère égal » Sans pour autant que cela semble lui conférer une force morale à tte épreuve Mme Rosémilly:Caractère doux, calme, bonne maîtresse de maison, tempérament facile et image de modèle de la femme parfaite de l'époque: femme au foyer, o béissante et ordonnée b) La face cachée de cette description Gérôme Roland: L'illusion

secondaire madame Rosémilly est conviée, elle fait partie du décor et ne parle pas. Mais le deuxième fils Jean est attentionné envers cette dame "Tu n'es pas galant pour notre invitée, papa." Cette litote assertive négative traduit une neutralité chez Jean mais néanmoins celui-ci porte un grand intérêt à la présence de la veuve . _ Mme Roland est joyeuse et prend du plaisir dans cette promenade « Mme Roland, assoupie à l'arrière du bateau, à côté de Mme Rosémilly invitée à cette partie

. Roland, ancien bijoutier parisien, déménage avec toute sa famille au Havre par amour partagé de la mer. Après leurs études à Paris, les deux fils de M. et Mme Roland, Pierre, l’aîné, médecin, et Jean, avocat, décident de s’installer dans la nouvelle résidence familiale. Une somme d’argent laissée en héritage à Jean par un ami de la famille, Léon Maréchal, renforce la rivalité des deux frères, opposés physiquement et moralement[1] . Un soupçon naît chez Pierre : et si Jean était le fils de

depuis le début de l’histoire, mais aussi qu’il utilise toujours un langage familier voir vulgaire dans c’est propos. « Cristi » met aussi en lien le début de l’œuvre avec la fin, il est en liaison avec « Zut ». « Ah bah ! Comment ? Il va épouser Mme Rosémilly ? »l.32.33 montre toujours la vulgarité de Mr Roland mais aussi son ignorance totale envers la situation, montre aussi qu’il est déconnecté avec sa famille. Le cadre spatial très précis « M Pierre est à l’arrière, tout seul, bien en vue. Attention»l

13) B. Un renversement (l. 16-30) •Dans ces lignes, nous pouvons remarquer que les connecteurs et le lexique traduisent un renversement brutal lié à un événement extérieur : le passage d'une femme qui par association d'idée fait penser à Mme Rosémilly : "Or" (l. 16), "brusquement" (l.17), "la secousse" (l. 18), "en même temps" (l. 21) = connecteurs logiques •Les arguments : Pierre envisage les conséquences négatives du fait de refuser l'héritage 1. Le renoncement : rythme ternaire, gradation