Mobilier médiéval

Vitraux (vitraux médiévaux) La région Champagne-Ardenne possède l'un des plus riches patrimoines en verrières anciennes et, si la cathédrale de Reims a malheureusement perdu une partie de sa décoration vitrée d'origine, elle abrite encore certaines œuvres les plus remarquables du vitrail gothique. Pour la préservation de ce patrimoine, l'Etat mène une double politique de restauration des vitraux et de soutien à la création. Ainsi, certaines de ces verrières médiévales ont retrouvé leur splendeur

banquets ; les autre salles servent de chambres à coucher. Le mobilier est simple : lits, bancs, siéges, tables, coffres, bahuts. Sur le sol des tapis d’herbe ou de joncs ; sur les murs des tapisseries. Les distractions sont rare et donc bien accueillies. Souvent des jongleurs demandent l’hospitalité, ou des montreur d’ours, des musiciens, des conteurs. On appelle trouvères dans le nord, troubadours dans le sud. Car la France médiéval est partagée en deux partie, séparées par une frontière géographique

LA MORT, L’HISTOIRE MÉDIÉVALE ET LES SCIENCES SOCIALES Pourquoi la question des vivants et des morts intéresse beaucoup les historiens et notamment les historiens spécialisés dans la période médiévale. Si l’on pose la question, il peut y avoir deux réactions : une première qui montre de l’intérêt, du fantasme impacté par la culture moderne, la vogue et de la fantaisie, une idée qui porte sur les fantômes, les dragons, les puissances surnaturelles, les mythologies scandinaves; un intérêt qui

on peut citer Bertrand de Montaigu (personnage important du roman Sans Nom Ni Blason). Celui-ci put relever les ruines et la reconstruire avant une nouvelle destruction causée par la guerre de Cent Ans. Sous la Révolution, en octobre 1793, le mobilier de l'église et ses vitraux, les ornements et les pièces d'orfèvrerie du Trésor, furent saccagés et livrés au pillage au cours d'une émeute. 2- Les bâtiments et architecture de l’abbaye Le clocher-porche de l’Eglise Saint-Pierre de Moissac

traitement de la documentation et du mobilier. A ce titre, les tâches confiées à Madame M... sont les suivantes : - mettre en œuvre les techniques de sondage, de fouilles et de relevé ainsi que les techniques d’enregistrement et de prélèvement répondant aux caractéristiques de l’activité ; - participer à l'exploitation scientifique et technique des résultats de la fouille notamment par une participation aux études postérieures : traitement primaire du mobilier, mise au net des plans, archivage

hygiène et un niveau de vie plus élevé. A partir de là, il obtient le soutien de Napoléon III pour les changements urbains qu'il envisage. Le baron Haussmann exproprie, indemnise, abat et rebâtit, cherchant à remédier à ce qu'il appelle « le Paris médiéval » aux petites rues étroites et envahissantes. Haussmann s'entoure d'une équipe impliquée et efficace, dont des architectes et le banquier Rotschild. Il démolit, entre autre, le marché des Innocents, l'hôtel Coligny et de nombreuses églises et chapelles

les objectifs du programme de transformation de la capitale. En effet celui-ci recouvre tous les domaines de l’urbanisme aussi bien au cœur de Paris que dans ses quartiers extérieurs : rues et boulevards, réglementation des façades, espace verts, mobiliers urbains, égouts et réseaux d’adductions, équipements et monuments publics. Cependant, il est important de constater que ces travaux qui ont donné une nouvelle physionomie à la capitale, ont eu d’importantes conséquences sociales et ont fait l’objet

Guimard applique un des principes fondamentaux de l'art nouveau qui est l'unité complète de l’œuvre. En effet, comme Horta, Guimard conçoit lui même les décors, modèle de ses bâtiments. Guimard a d'ailleurs effectué lui-même la décoration et le mobilier. L'unité complète de l’œuvre signifie donc que l'artiste conçoive non seulement la structure extérieure mais qu'il s'attache aussi à aménager l'intérieur, l'ensemble donnant une impression d'homogénéité et de continuité dans les moindres détails

hippocampes, escargots, tortues, punaises. III) Gaudí, architecte de l’art nouveau. Ses premières œuvres (1878/1892) sont influencées par l’art mudéjar (musulmans) et oriental (Inde, Perse, Japon). Il suit ensuite le courant néogothique (formes médiévales : la Casa Bellesguard…). Gaudí a écrit : « l’ornementation a été, est et sera coloriée ; la Nature ne nous présente aucun objet de couleur uniforme, ni dans la végétation, ni dans la géologie, ni dans le règne animal. » Il conçoit l’architecture

Semeur (1851, Museum of fine arts, Boston). - Edouard Manet : Le Déjeuner sur l'herbe (1863, Musée d'Orsay). - Gustave Eiffel : la Tour Eiffel (1889, Paris). - Edward Munch : Le Cri (1893, Oslo Nasjou, Norvège). XX ème siècle - Un vitrail médiéval : Charlemagne, cathédrale de Chartres (Eure-et-Loir, XIIIème siècle). - Un vitrail moderne : Henri Matisse, chapelle de Vence (AlpesMaritimes, 1948-1951). - Un vitrail contemporain : Pierre Soulages, abbatiale de Conques (Aveyron, 1987-1994). II