Modigliani Théorie Cycle De Vie

doivent. Après avoir démissionné de son poste, il enseigne, il écrit quelques essais et articles etc. Il se fait de plus en plus connaître, en annonçant la crise des années 30.  position encore plus centrale. Après de multiples ouvrages, il publie Théorie général de l’Emploi, de l’Intérêt et de la Monnaie (1936). A l’effet d’une bombe, à portée universelle, a été rédigée très rapidement et donc mal écrit. A modifié toute la politique économique. Auteur économique le plus lu au monde. Voit l’économie

épargner est faible pour les revenus faibles et importante, pour les revenus importants. Au niveau de l’endettement, on peut parler de Keynes : la question du taux de préférence pour le présent. Keynes : un théoricien de la certitude. Toute la théorie des choix intemporelles, est basée sur ce point là. Les individus s’endettent et acceptent de payer les intérêts pour pouvoir anticiper leur consommation. Des valeurs futures ont toujours moins d’importance que les valeurs présentes. Les consommations

revenu mais aussi d’un comportement nouveau l’individualisation de la consommation notamment à cause de l’influence des référents sociaux (ami, proche) ou d’un groupe sociologique entrainant une dépendance envers la consommation des autres soit la théorie du revenu relatif. Mais aussi par une dimension temporelle puisqu’il existe un temps d’adaptation aux variations de revenus, soit l’effet de cliquet. La consommation courante dépend des revenus passés et des habitudes préalablement installées. On

…nancière 2.1 Le cas sans friction et avec neutralité face au risque 2.1.1 Le modèle à deux périodes . . . . . . . . . . 2.1.2 Le modèle à T périodes . . . . . . . . . . . . 2.1.3 Exemple . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Le théorème de Modigliani-Miller . . . . . . . . . . . 2.2.1 2.2.2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 5 6 6 7 8 9 10 12 14 15 19 19 20 22 25 25 25 25 26 27 42 43 43 44 46 2.3 2.4 Le cas sans impôt et sans faillite et taux unique

pour satisfaire leurs besoins. Enjeu : Impact sur la demande intérieure  Rappels sur la théorie classique : l’intérêt ne se porte pas sur la consommation car d’après eux il ne peut pas y avoir de problème de débouchés. La production est déterminante. Il va y avoir un équilibre automatique entre la demande et l’offre. La théorie Keynésienne de la consommation  Rappels : John Maynard Keynes La théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie, 1936. = rupture avec le libéralisme économique

anticipée doit augmenter, les entreprises augmentent leur niveau d’embauche afin d’accroitre leur offre pour faire face à la demande ; le chômage diminue donc). C’est la propension à consommer qui détermine cette demande effective. Selon l’auteur de la Théorie générale, cette propension à consommer est une fonction croissante du niveau de revenu ; ainsi, plus le revenu est important, plus la propension à consommer s’accroit. Keynes montre ainsi comment s’effectue le partage entre la consommation et l’épargne :

différences de salaires reflètent, dans une certaine mesure : la contribution plus ou moins importante de chacun à la production (cf. théorie néoclassique : le salaire est déterminé grâce à la productivité marginale du travail) ; ou la rareté plus ou moins grande des diverses qualifications ; ou les efforts des entrepreneurs pour motiver la main-d’œuvre (cf. théorie du salaire d’efficience de G.A. AKERLOF et J.E. STIGLITZ). Les inégalités de revenus de la propriété (patrimoine) sont plus marquées

a) Les implications c) Les limites SECTION II – LA THEORIE DU CHOIX INTERTEMPOREL DE FISHER A) LE PLAN DE CONSOMMATION INTERTEMPOREL a) La notion de richesse b) La contrainte budgétaire c) La fonction d’utilité d) L’optimum B) DEPLACEMENT DE L’EQUILIBRE a) variation des revenus disponibles et déplacement de l’équilibre b) variation du taux d’intérêt et déplacement de l’équilibre c) Conclusion SECTION III – L’HYPOTHESE DU CYCLE DE VIE DE MODIGLIANI SECTION IV – L’HYPOTHESE DU REVENU PERMANENT DE M

grandes théories, Keynésienne et néoclassique, se confrontent de nos jours, pour expliquer le comportement de ces deux variables. Elles reposent sur l’ajustement entre épargne et consommation. Nous avons vu précédemment que la demande de consommation et la demande d’investissement déterminent la demande effective (schéma). En quoi la consommation et l’investissement sont elles liées ? Est-il possible d’accéder à un marché d’équilibre? Nous allons dans un premier temps voir les deux théories qui ont

formes de l’épargne et leur évolution * Deux formes d’épargne  * Epargne immobilière : acquisition de biens immobiliers (maison, appartement, terrain) * Epargne financière : placements financiers (livrets, valeurs mobilières, assurance-vie, épargne retraite) * Leur évolution L’épargne est mesurée par un taux : Le taux d’épargne = épargne/revenu disponible. * Le taux d’épargne et son évolution De 1978 à 1987 : baisse du taux d’épargne qui passe de 20 % à 12 %. A partir de