Modiste

publiées Restreintes 7341 Tapissiers-garnisseurs/tapissières-garnisseuses 50 29 000 Non publié Non publié Non publiées Acceptables Acceptables 7342 Tailleurs/tailleuses, couturiers/couturières, fourreurs/fourreuses et modistes 350 27 000 Élevé Restreintes Restreintes Restreintes 7343 Cordonniers/cordonnières et fabricants/fabricantes Moins de 50 de chaussures Non publié Non publié Non publié Non publiées Non publiées Acceptables

détaché de toute pratique, s’était trouvé de nouveau attiré par la foi en lisant des œuvres de Paul Claudel (1868-1955). • L’amour On connaît à l’écrivain deux liaisons marquantes. L’une, douloureuse, avec Jeanne Bruneau, une jeune modiste de la rue Chanoinesse (dans l’île de la Cité, entre le quai aux Fleurs et Notre-Dame), avec laquelle, si l’on en croit une lettre qu’il écrivit à son ami André Lhote[14] en 1910, il se montra parfois cruel et qui lui a inspiré le personnage de Valentine…

................. p. 19 Illustrateur .......................... p. 58 Libraire ................................ p. 82 Maître d’hôtel .................... p. 94 Mécanicien outilleur ........ p. 103 Militaire du rang .................. p. 72 Modiste................................ p. 58 Musicien ............................p. 147 Ouvrier qualifié.................... p. 44 Photographe de presse...... p. 111 Acheteur industriel .......... p. 100 Administrateur de bases de données .....

homme détaché de toute pratique, s’était trouvé de nouveau attiré par la foi en lisant des œuvres de Paul Claudel (1868-1955). • L’amour On connaît à l’écrivain deux liaisons marquantes. L’une, douloureuse, avec Jeanne Bruneau, une jeune modiste de la rue Chanoinesse (dans l’île de la Cité, entre le quai aux Fleurs et Notre-Dame), avec laquelle, si l’on en croit une lettre qu’il écrivit à son ami André Lhote14 en 1910, il se montra parfois cruel et qui lui a inspiré le personnage de Valentine…

Elle s’appelait Gabrielle. Orpheline de mère, elle a été délaissée dans un orphelinat par son père. Après, elle a appris la couture auprès de sa tante. Très jeune, elle rêvait d’aller à Paris. Plus tard, elle s’est installée à Paris et est devenue modiste. Quelques années plus tard, elle a lancé sa maison de couture en 1918. Elle a su imposer son nouveau style et démoder ce qu’elle détestait. Elle était la première à détourner des vêtements en adoptant le pantalon alors réservé aux hommes. Elle a créé

comme vous avez bien écouté et vous êtes tenus tranquilles, on va vous chanter LA CHANSON DU DÉCERVELAGE Je fus pendant longtemps ouvrier ébéniste, Dans la ru’ du Champ d’ Mars, d’ la paroiss’ de Toussaints. Mon épouse exerçait la profession d’ modiste, Et nous n’avions jamais manqué de rien. — Quand le dimanch’ s’annonçait sans nuage, Nous exhibions nos beaux accoutrements Et nous allions voir le décervelage Ru’ d’ l’Echaudé, passer un bon moment. Voyez, voyer la machin’ tourner, Voyez, voyez la

faire disparaître dans nos vêtements ? Cela ne sera-t-il plus pratique, élégant et harmonieux ? » (Vogue janvier ’99) PARIS, VILLE MYTHIQUE DE LA MODE «  Les « créateurs de la mode », c’est à dire les grands couturiers et les grands modistes, sont une gloire de la France. Dans toutes les Expositions internationales, à Saint Louis comme à Londres, à Buenos-Aires comme à Bruxelles, les vastes vitrines, aménagées comme des salons, où ils groupent des poupées grandeur nature vêtues de toilettes

la disparition de la « couleur locale ». Il écrit ainsi, à la vue d’une gravure française dans un lupanar stambouliote : « A Constantinople, la plupart des hommes sont habillés à l’européenne, on y joue l’opéra, il y a des cabinets de lecture, des modistes, etc. ! Dans cent ans d’ici, le harem, envahi graduellement par la fréquentation des dames franques, croulera de soi seul, sous le feuilleton et le vaudeville. Bientôt, le voile, déjà de plus en plus mince, s’en ira de la figure des femmes, et l’Islam

saisissons encore au passage deux figures dont le contraste frappant prouve que devant le capital tous les hommes sont égaux une modiste et un forgeron. Dans les dernières semaines de juin 1863, tous les journaux de Londres publiaient un article avec ce titre à sensation : « Death from simple overwork » (mort par simple excès de travail). Il s'agissait de la mort de la modiste Mary Anne Walkley, âgée de vingt ans, employée dans un très respectable atelier qu'exploitait une dame portant le doux nom d'Elise

jouer le rôle de la cantatrice défunte, une jeune modiste, Amanda, qui lui ressemble comme une goutte d'eau. Pour bien jouer son rôle, elle doit être mise au courant. Mais, lorsqu'elle affronte le prince, tout est à recommencer; car, perdu dans son amour, il apporte de nouveaux détails, dont on ne sait trop s'il ne les imagine pas. Il faut interroger, enquêter. Bref, on parle beaucoup, on raconte, on évoque, et il ne se passe rien. La jolie modiste, prise à son jeu, au lieu de se contenter d'incarner