Moesta Errabunda

son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne) . Il avait sept ans lorsque sa mère, devenue veuve, se remaria avec le général Aupick!; l'enfant n'accepta jamais cette union. Placé d'abord

son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne) .   Ce poème s'articule autour d'une métaphore filée sur le thème des saisons et du climat. Le poète s'implique directement dans cette

de Caïn », « Moesta et errabunda » (« ici la boue est faite de nos pleurs ») 2ème partie : les « agents chimiques » de la transfiguration poétique de la réalité1) Le rôle de de la femme :« Sed non satiata » XXVII, « A une passante », « Le Chat », « Le Serpent qui danse » : la femme, ange et démon, fascine, peut faire entrevoir l’Idéal.2) Les paradis artificiels :Le vin, la musique, la nostalgie « le vert paradis des amours enfantines » dans « Moesta et errabunda »3) Le travail

entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares3). Outre les poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne) Titre : Les Fleurs du mal - "Les Fleurs du mal" => projet poétique de Baudelaire : extraire la beauté du mal, transfigurer par

» donc l'idéal peut être assimilé a un paysage symbolisant le paradis (éden perdu). Or Baudelaire décrit les paysages exotiques de son imagination avec des termes mélioratifs, il ira même utiliser le terme « paradis parfumé » dans le poème moesta et errabunda ce qui rappelle bien sa volonté de retour a son paradis exotique avec sa mémoire olfactive et son goût prononcé pour les odeurs d'ailleurs (que ce soit un lieu exotique ou une de ses maitresses). L'exotisme est donc bien un outil pour Baudelaire

son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne) . Art poétique Rejetant le réalisme et le positivisme dont il est contemporain, Baudelaire sublime la sensibilité et cherche

son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). Aujourd'hui reconnu comme un écrivain majeur de l'histoire de la poésie mondiale, Baudelaire est devenu un classique. Lors de son apparition

martyre), entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares). Outre les poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne) RECAPITULATIF: Nom de naissance: Charles Pierre Baudelaire Activités: Poète, critique d'art, essayiste, traducteur Naissance:

qui le prennent pour sujet ont peut retrouver, comme leurs noms l’indiquent, ceux intitulés « Spleen » (« LIX. Spleen » ; « LX. Spleen » ; « LXI. Spleen » ; « LXII. Spleen »), ou encore « LVIII. La cloche fêlée », « Brumes et pluies », « LV. Mœsta et errabunda », « L’irremédiable », « De profundis clamavi », où le triomphe de l’ennui est incontestable. Ceux qui le combattent sont les poèmes sur les thèmes (présents notamment dans les sections Fleurs du mal, Le vin, et La Révolte) de l’addiction –

Microsoft Word - 11 Étude du thème du spleen.docMarcel Goulet Cégep Édouard-Montpetit marcel.goulet@cegepmontpetit.ca Le thème du spleen dans Les f l eurs du mal de Baudelaire Étude des poèmes LV à LXXVII Mise en contexte Pour Baudelaire, l’être humain est un être spirituel, dont l’âme est en exil sur la Terre, un lieu où triomphent le péché, le mal, l’ennui. C’est la représentation de la condition humaine qu’il expose dans le texte « Au lecteur » (p. 46-47). Dans la section