Mohammad Reza Pahlavi

dans le Sistan, et l’anciennecivilisation de Jiroft, suivie du royaume d’Élam, de l’empire Achéménide, des Parthes, des Sassanides jusqu’à l'actuelle République islamique d'Iran. Dans les années 1970, les réformes entreprises par le chah Mohammad Reza Pahlavi, indisposent de nombreuses parties de la société iranienne (les musulmans intégristes, les nationalistes, les démocrates et les communistes). À la fin des années 1970, l'alliance temporaire des opposants aboutit à de violentes manifestations

parle beaucoup de l’Iran en ce moment, il serait donc intéressant de connaitre l’histoire politique iranienne pour mieux comprendre ce qui se passe aujourd’hui. Après des mois de protestations et manifestations du peuple contre son régime Mohammad Reza Pahlavi (le shah d’iran) quitte l’Iran le 16 janvier 1979. Peu de temps après l’ayatollah (RELIGION autorité religieuse de l'islam chiite (mollah)) Khomeiny profite de la faiblesse politique du pays et des manifestations populaires pour refaire

au Festival de Cannes et recevra le Prix du Jury, ainsi que deux Oscars l’année suivante, malgré le boycott de la République Islamique d’Iran. CONTEXTE HISTORIQUE En 1979, l’Iran, alors la Perse, est une monarchie avec à sa tête le Shah Mohammad Reza Pahlavi, l’Empereur. Lors de la célébration des 2 500 ans de l’Empire Perse en 1971, des festivités somptueuses sont organisées, la population est alors très critique envers ces dépenses, elle exprime son mécontentement envers la politique tyrannique

facts The nuclear program of Iran was launched by the Iranian Shah in the 1950s. A great cooperation between Iran and US during from the 1950s to the 1970s permit to the “Atom for peace” program to grow. Shah Mohammad Reza Pahlavi reigned over Iran in this period, and after the fall of Mohammad Mossadegh encouraged by CIA in 1953, the government seemed stable and friendly enough to the western countries so that the nuclear proliferation didn’t become a threat. In 1959, the Tehran nuclear research

islamique, avec ses deux péripéties majeure : la révolution imposée dans les mœurs et la guerre Iran-Irak. Le film débute sous le régime du Shah d’Iran : Réza Shah. Fondateur d’un Iran moderne qu’il veut laïc il est, dépossédé de son trône par les britannique en 1941 pour s’être rapproché de l’Allemagne nazie. Son fils, Mohammed Rezâ-Pahlavi lui succède en 1941. Il rompt avec les vieilles traditions religieuses, alphabétise la population, prend en compte les femmes, souhaite une révolution culturelle

Dynastie Séfévide, chiite, rivale des Ottomans sunnites. Âge d’or artistique (architecture, enluminure, calligraphie). - 1795-1925 Dynastie Qajar. (Pénétration anglo-russe, mais pas de colonisation). - 1925-1979 Dynastie Pahlavi. Reza Shah Pahlavi 1925-1941, Mohammed Reza Pahlavi 1941-1979 La révolution iranienne : Février 1978 - Janvier 1979 Manifestations hostiles au shah où se côtoient opposants laïcs, marxistes, religieux. Janvier 1979 Le shah quitte le pays. L’ayatollah Khomeini, chef du clergé

encore utilisé dans les pays occidentaux et qui peut provoquer une confusion avec la province du Fars. Au xxe siècle, une dispute entre intellectuels éclate pour savoir quel devrait être le nom correct du pays. Le 21 mars 1935, jour de Noruz, Reza Shah Pahlavi publie un décret demandant à toutes les relations étrangères du pays de le désigner sous le nom d'Iran dans leur correspondance officielle, en accord avec le fait que Perse est un terme utilisé pour un pays appelé Iran en persan16. En 1979,

Ces mots sont ceux de Farah Pahlavi, 3ème et dernière épouse de Mohammed Reza Shah, qui fut le dernier Shah d'Iran. Née le 14 octobre 1938 à Téhéran, Farah Pahlavi est élevée par sa mère et son oncle. Encouragée par ce dernier, elle étudie au sein du Lycée Français de Téhéran, avant d'intégrer l’École spéciale d'architecture du boulevard Raspail à Paris. C'est lors d'une rencontre de la délégation des étudiants iraniens qu'elle rencontre pour la première fois Mohammed Reza, futur Shah d'Iran et accessoirement

« Accord global » entre Téhéran et Washington Le pouvoir américain serait l’instrument qui allait « sonner le glas de la révolution iranienne »,selon la formule utilisée par William Kristol, un éminent commentateur conservateur, en mai 2003. La défaite iranienne permettrait de faire d’une pierre deux coups : elle affaiblirait le moral des Arabes et des musulmans en même temps que les forces de la résistance islamiste. Les Arabes deviendraient dociles, et tout le Proche-Orient basculerait, comme

d'État de 1921 qui amena Reza Pahlavi au pouvoir5. Un rapport de l'ambassade britannique en 1932 concède que ce sont les Britanniques qui ont mis Reza Shah sur le trône. À cette époque, les États-Unis n'étaient pas alliés aux Britanniques en Perse. Pour des sources sur l'implication des Britanniques, voir6 Morgan Shuster fut rapidement suivi de Arthur Millspaugh, nommé trésorier général par Reza Shah Pahlavi, et Arthur Pope, qui était l'artisan principal des politiques de Reza Shah visant à faire revivre