Moissonneuse-lieuse

300 000 femmes d’ouvriers agricoles ont à leurs charge une famille L’agriculture leur a exigé de la force ou un long apprentissage. Des instruments agricoles qui ne leur étaient jamais confiés leur deviennent familiers, comme la faucheuse, la moissonneuse lieuse, la batteuse. Il y a eu des membres sectionnés par la faucheuse, des mauvais coups et des chutes, les maladies aussi contractées par la fatigue, des fausses couches et des naissances prématurées. Les hommes veillaient quand même sur leurs travaillent

plus soucieuse de productivité, apparaît néanmoins dans les grandes plaines du Nord de l'Europe et surtout aux États-Unis. Ces pionniers de l'agriculture font appel au crédit bancaire pour acheter engrais chimiques et machines, telles les moissonneuses-lieuses et les batteuses à vapeur. B. LE TRIOMPHE DE LA HAUTE BOURGEOISIE • L’ancienne aristocratie des grands propriétaires terriens comme les boyards russes ou les junkers allemands garde encore de l'influence dans la société mais connaît des

population active (PA) française travaille dans le secteur primaire. Nourrir la population demande beaucoup de main-d’œuvre : il faut 25h à un homme pour moissonner un hectare de blé à la faux. En 1920, la faucheuse-lieuse (mécanisation), lui permet de le faire en une heure. En 1945, la moissonneuse-batteuse (motorisation) moissonne en moins d’une heure et bat. En 1970, seuls 10% de la PA travaillent dans le primaire. Les mécanisation (vapeur), motorisation (essence), irrigation, engrais, et pesticides

importation d'avant-guerre de 15 M Quintaux de céréales pendant l'occupation seulement 2 M se qui révèle une baisse de 85 %. Autre exemple , il a une chute des moissons des champs car les paysans sont dans l'impossibilité d'utiliser leurs moissonneuses -lieuses car il ne peuvent trouvé la ficelle nécessaire qui était pendant l'avant guerre importer du Mexique et donc on assiste a une perte de 30 % des récoltes. Ensuite la France se retrouve morcelée. Premièrement il y a ligne de démarcation:

campagnes entraine peu à peu la fin de l'agriculture traditionnelle. Il y a eu des avancées au niveau de l'outillage : la faux remplaçant la faucille pour les moissons, puis cédant la place aux moissonneuses mécaniques. Les semoirs tractés, les batteuses, les faucheuses, les faneuses puis les faucheuse-lieuses sont utilisés par les agriculteurs les plus entreprenants. Une forme d’agriculture moderne se fait forme. Mais cette mécanisation diminue le nombre de travailleurs, ainsi certains

diriger la main d’œuvre, vendre). Partout les femmes ont labourés, semé, hersé, fauché à la main ou à la machine, rentré les foins. Des instruments agricoles qui ne leur étaient jamais confiés leur deviennent familiers, comme la faucheuse, la moissonneuse lieuse, la batteuse.

force ou un long apprentissage. Partout les femmes ont labourés, semé, hersé, fauché à la main ou à la machine, rentré les foins. Des instruments agricoles qui ne leur étaient jamais confiés leur deviennent familiers, comme la faucheuse, la moissonneuse lieuse, la batteuse En Franche-Comté, elles abattent le bois, chargent les voitures conduisent les attelages. En Bourgogne, « la Vie féminine les a vue à l’œuvre à la taille en culottes, ou au travail de sulfatage, plus tard à la vendange, au pressoir

mise à sec. Cette opération non seulement contribue à la maturation groupée des grains mais permet aussi le travail de récolte. Celui-ci peut être entièrement réalisé à la main ou entièrement mécanisé. Pour de grandes surfaces, l'utilisation d'une moissonneuse batteuse est inévitable. Cette machine agricole représente à la fois un lourd investissement et une permanente préoccupation en matière de réglages, d'entretien et de pièces détachées qui justifient certainement la disponibilité d'un atelier équipé

beaucoup plus restreint. A titre d’exemple, Fourastié souligne que pour moissonner un are de blé, il fallait en 1800 une heure avec une faucille, en 1850 un quart d’heure avec une faux, en 1900 deux minutes avec une faucheuse-lieuse et en 1962 trente secondes avec une moissonneuse batteuse. C’est d’abord dans l’agriculture, grosse consommatrice de main d’oeuvre que les effets de la mécanisation se sont le plus fait sentir, notamment par la désertification des campagnes due à l’exode rural. Mais c’est

traditionellement imparties, une grande part des travaux d’hommes, même ceux qui exigent de la force ou un long apprentissage. C'est ainsi que des instruments agricoles qui ne leur étaient jamais confiés leur deviennent familiers, comme la faucheuse, la moissonneuse lieuse, la batteuse. Là encore, le travail y est difficile, demandant une force physique conséquente, et de longues heures de travail par jours. De plus, les accidents ne sont pas rares dù aux différents outils agricoles utilisés. La réquisitions d'animaux