Molière Ridiculise Médecins

lecture linéaire n°8Lecture linéaire n°8 : Le malade imaginaire, Molière, Acte 1, scène 2 et 3 (parcours : spectacles et comédies) Introduction : ● amorce ● mouvement/date ● auteur ● œuvre ● situation ● lecture + problématique ● plan Compréhension globale : Les scènes 2 et 3 présentent un dialogue entre Argan et Toinette (servante). Cela permet de mieux connaître les personnages Argan → coléreux, hypocondriaque ; Toinette → impertinente, rusée genre : théâtre → 2 scènes de comédie type : / registre

Jean-Baptise Poquelin, dit Molière, est l’auteur le plus joué la Comédie-Française depuis sa création. Née en 1622 à Paris et mort en 1674 à la suite de la quatrième représentation du malade imaginaire , ( il fut le plus grand auteur Comique français du XVIIème siècle ). Molière s'inspire de la comédie italienne (commedia dell'arte) et surtout de la farce. Il se moque souvent des médecins en les ridiculisant dans ses pièces de

"Les livres du Grand Molière où le " bouffon " n'est pas celui qu'on croit . De l'art de manipuler les gens pour obtenir un résultat inespéré. Une pièce portant le sceau du maître ." "Un classique de Molière, à lire et à relire. Il faut cependant se montrer attentif car on se perd facilement dans les fourberies et les noms des personnages, un livre très agréable cependant !" "Ce livre m'a beaucoup plu, grâce au langage du temps de Molière. Les quiproquos et intrigues sont nombreux..."

un personnage en difficulté, en particulier lors de l'apparition d'un personnage qui dérange. Par exemple, c'est le cas lorsque Mme Jourdain rentre chez elle et trouve M. Jourdain en train d'essayer de séduire Dorimène (Le Bourgeois Gentilhomme, Molière). Le quiproquo est un des éléments qui constituent le comique de situation.   Le comique de geste Il intervient souvent au théâtre. De nombreux éléments en font partie, comme les coups de bâtons, les positions ridicules, les expressions du visage

hypochondriaque qui s'imagine être constamment malade et qui s'entoure de médecins et de remèdes censés le soigner. Selon Molière, "il n'y a pas de malade plus malade que celui qui se croit malade" (Acte III, scène 6).Selon Molière, "il est d'un caractère si emporté qu'il ne saurait souffrir la moindre contradiction" (Acte II, scène 5).Selon Molière, "il n'y a pas de malade plus malade que celui qui se croit malade" (Acte III, scène 6). Selon Molière, "il est si aveuglé par sa folie qu'il ne voit pas les tromperies

Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière est l’un des plus grands dramaturges français. Il est célèbre pour ses comédies de mœurs qui dénoncent les vices et les travers humains, souvent incarnés par un bourgeois dont le comportement met en péril sa maison. Molière représente ainsi souvent le désordre social provoqué par l’excès des passions. Le Malade Imaginaire met en scène Argan, un noble hypocondriaque et tyrannique qui est exploité par des médecins charlatans, et qui veut forcer

Le malade imaginaire, Molière Acte II, scène 5 I/ La stupidité de Thomas Diafoirus 1) Ridiculisé par son père Thomas est bête, stupide, son père le dit sans détour  «il n’a jamais eu l’imagination bien vive »(l.98, 99), « ni ce feu de l’esprit que l’on remarque chez quelques uns »(l. 99) , « il n’a jamais été ce qu’on appelle mièvre et éveillé »(l.102). Des hyperboles « on eut toutes les peines du monde à lui apprendre à lire »(l.105, 106), « il avait neuf ans, qu’il ne connaissait pas

séduit par son dénouement heureux. Le spectateur sait que tout finira par s’arranger, il peut rire sans arrière-pensée des ennuis qui semblent pourtant impossibles à démêler. Il est allégé et soulagé. Pour exemple, dans Monsieur de Pourceaugnac de Molière, Julie, victime d’un mariage forcé avec Mr de Pourceaugnac, va tout faire pour empêcher cet acte à l’aide de son amant et de ses amis. Son père finit par annuler le mariage et prononce même celui de Julie et son amant. On a donc bien un dénouement

Le malade imaginaire, Molière Acte II, scène 5 I/ La stupidité de Thomas Diafoirus 1) Ridiculisé par son père • Thomas est bête, stupide, son père le dit sans détour ( «il n’a jamais eu l’imagination bien vive »(l.98, 99), « ni ce feu de l’esprit que l’on remarque chez quelques uns »(l. 99) , « il n’a jamais été ce qu’on appelle mièvre et éveillé »(l.102). Des hyperboles « on eut toutes les peines du monde à lui apprendre à lire »(l.105, 106), « il avait neuf ans, qu’il

situation, comique de geste…Molière a souvent recours au « gros rire », celui de la farce, les coups de bâton, les guignols, les soufflets, les pirouettes, le langage vigoureux, voire grossier. Mais si Molière fait rire, beaucoup de ses pièces et d’autres de la comédie du XVIIème siècle vont prendre une dimension didactique et satirique en s’appuyant sur des procédés comme le comique de caractère qui grossit et caricature les vices et les défauts des hommes. Ainsi, Molière dans son premier placet sur