Momification en Égypte antique

LES DIEUX DE L'EGYPTE ANTIQUE Les Egyptiens croyaient en plusieurs dieux : ils étaient polythéistes. Chaque région, chaque village vénérait un dieu particulier. Les Egyptiens pensaient que les dieux garantissaient le bon fonctionnement du monde. Ils représentaient les différents aspects de la vie quotidienne : la vie, la mort, le cycle du Nil, l’agriculture, l’alternance du jour et de la nuit… Les Dieux ont beaucoup en commun avec les hommes : ils peuvent naître, vieillir, mourir : ils ont un

L’Egypte ancienne paraît être une civilisation à la fois si familière et pourtant si distante. Son histoire est l’une des plus longues du monde, riche en énigmes fascinante. Elle abrita l’une des civilisations parmi les plus remarquables du monde antique. Une civilisation dont l’exceptionnelle longévité s’étendit à près de trois millénaires, entre le début de l’unification du pays (±2900 AV.J.-C.) jusqu’à la conquête arabe (VIIe). Cette société unique réussit à développer une culture sophistiquée

femme surtout, payés par les clients, hors la loi, fait des merveilles, nécromancie (esprits)) - Les hébreux n’ont jamais voué un culte aux déesses. (Faux) - Seuls des hommes pouvaient être de vrais prophètes chez les Hébreux. (Faux) Égypte - Quel fleuve nourrit la terre égyptienne? (Nil) - Quel dieu représente le fleuve qui nourrit la terre égyptienne? (Osiris) - Le pharaon d’Égypte est la demeure charnelle du dieu Horus qui remplace son père Osiris sur terre. (Vrai)

Nombreuses sont les civilisations qui ont vécu sur la terre depuis la fin de la préhistoire. Certaines n’ont duré qu’un temps et d’autres sont encore présentes, certaines très bien connues, d’autres mystérieuses. L’Égypte est l’une des civilisations antiques qui a laissé un important héritage culturel et archéologique. Cette civilisation a connu, depuis 5000 ans, des croissances formidables ainsi que des déclins. Le but du présent projet est d’étudier une période précise de cette civilisation, à savoir

néfaste) En général mort de vieillesse, « naturelle » est bien perçue, acceptée (en général) et le destin de l’âme du défunt sera donc « positif » Dans notre société, idéal de mort serait à domicile, dans son lit et âgé : notion de « belle mort » Egypte ancienne mort idéal à 110 ans Dans d’autres sociétés (Afrique), il n’y a pas de mort « naturelle » : tout décès cache un meurtre et il faut en chercher l’auteur, trouver l’agresseur (réel ou symbolique, homme ou être surnaturel), toute mort est suspecte

d’Alexandrea ad Aegyptum. Après sa fondation, la ville devient la capitale de la dynastie des Ptolémée d’Égypte, successeur d’Alexandre le Grand ce qui lui donnait un rôle de premier plan dans la gestion administrative de l’ Égypte  et dans l'histoire de la  dynastie ptolémaïque . Elle en sera la capitale durant 3 siècle de 323 à 30 av JC. Pour ce qui est des sources pour connaitre l'histoire d'Alexandrie, nous disposons essentiellement

Tous les témoins oculaires affirment que les anciens égyptiens étaient des nègres. Hérodote témoignent qu’ils sont noirs et qu’ils ont les cheveux crépus. Puis faisant preuve de courage et d’honnêteté Hérodote fait un rapport sur ce qu’il a vu en Egypte pharaonique, et de conclure : « la Grèce a pris à l’Égypte tous les éléments de sa civilisation, jusqu’au culte des Dieux, et c’est bien l’Égypte qui est le berceau de la civilisation occidentale ». Les recherches archéologiques Les résultats

divinatoire Le médecin est aussi prêtre et divin. En Egypte préhellénique la connaissance de l’anatomie sert à la technique d’embaumement. Des notions de formes et topographies viscérales sont rapportées dans des papyrus. Mais il n’y a pas de dissections « scientifiques » 3000 avant J-C : premières descriptions anatomiques sur papyrus (coeur, sang, foie..). De plus la momification les corps témoigne de leur connaissance de l'anatomie. En Grèce antique la dissection des défunts est interdite, les observations

romanesque ? I) Une Histoire illusoire dépassée par la fiction 1) Réinvention de l’Histoire D’emblée, l’Egyptomanie s’inscrit dans le roman et prends une place prépondérante, cela est du sans doute à la fascination de Gautier pour le monde antique. A l’aide des documents prêtés par Feydeau auquel il dédie le livre et des ouvrages de Belzoni de Passalacqua avec les quels il s’est renseigné sur le sujet, nous pénétrons ainsi les mystères du sarcophage de la momie. Cette influence se fait ressentir

à la vision de certains auteurs de l'époque selon laquelle les Africains sont des peuples sans passé. En 1951, Diop prépare sous la direction de Marcel Griaule une thèse de doctorat à l'Université de Paris, dans laquelle il affirme que l'Égypte antique était peuplée d'Africains noirs[5], et que la langue et la culture égyptiennes se sont ensuite diffusées dans l'Afrique de l'Ouest. Il ne parvient pas dans un premier temps à réunir un jury mais, d'après Doué Gnonsoa, sa thèse rencontre un « grand