Mon beau sapin

construction grammaticale. Le plus souvent cette répétition est placée en début de phrase (ou en début de vers lorsqu'il s'agit d'un poème). Cette figure de style produit une impression d'insistance, de régularité etc. Exemple : Paris que j'exècre en ce beau jour de juin,Paris que je déteste à cause de ses autobus bondés,Paris où l'on ne peut point vivre... Paris dont je ne puis me passer ! Ce texte est entièrement construit sur la répétition en début de phrase du mot « Paris ». Cette répétition s'appelle

la première et fort mal éclairée. Les murs aussi étaient blanchis ; mais il n’y avait pas de meubles. Seulement dans un coin près de la porte, Julien vit en passant un lit de bois blanc, deux chaises de paille, et un petit fauteuil en planches de sapin sans coussin. À l’autre extrémité de la chambre, près d’une petite fenêtre à vitres jaunies, garnie de vases de fleurs tenus salement, il aperçut un homme assis devant une table, et couvert d’une soutane délabrée ; il avait l’air en colère, et prenait

retirer plus de bonheur qu’avec une princesse. Et maintenant va. Scène 3 (acte I, sc. 2) : Goplana, Chochlik, Grabiec voix off Chochlik : Où est Goplana ? Reine ? Ma reine ?... Là. Elle dort encore. (Chochlik respire profondément) Le parfum des sapins, du printemps… Ils n’ont pas réveillé notre reine ? Que ces parfums sont doux ! Oh ! Goplana sort ! Comme un pétale d’iris bercé par la brise. Comme un signe qui ouvre sa voile éclatante de neige. Agile et souple, hors de l’eau elle a bondi comme

ne succombent pas au passage du temps. II. Le poète sollicite la nature A. Le poète s'adresse directement à la nature 1. Apostrophes a) « Ô lac ! » (v. 7), « Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! » (v. 51), « Vous » (v. 52), « Beau lac » (v. 56) Le poète interpelle la nature à travers ses éléments 2. Système d'énonciation : pron. pers. et dét. poss. à la 2ème pers. du sing. a) « Tu la vis » (v. 10), « Tu mugissais » (v. 11), « tu te brisais » (v. 12), « t'en souvient-il

muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface

flancs » (v. 12), « vent » (v. 13 et 63), « écume » (v. 13), « onde(s) » (v. 13 et 16), « cieux » (v. 16), « terre » (v. 19), « rive » (v. 37), « rochers » (v. 51), « grottes » (v. 51), « nature » (v. 53), « orages » (v. 55), « coteaux » (v. 56), « sapins » (v. 57), « rocs » (v. 57), « eaux » (v. 58), « zéphyr » (v. 59), « bords » (v. 60), « surface » (v. 61), « roseau » (v. 63), « air » (v. 64)  Permet de comprendre que le poète sollicite tous les aspects de la nature 1. Champ lexical de l’amour

un tas de briques Des moins longs Ça dépend comme c´est selon La rumba du pinceau Ça m´inspire le cerveau J´étale bien mes colorés Faudrait pas que j´m´étale aussi Car je refais la façade C´est haut la façade! Tout n´est pas tellement beau Derrière mon p´tit pinceau Mais un avec peu d´enduit Et puis du mastic aussi Je refais la façade Toujours, toujours la façade, ah oui Car au fonds dans la vie Y a que ça qui compte la façade Ah, ah oui! Une supposition par exemple Vous

chercher une fontaine. Le gamin dit qu`il aime les étoiles et qu`elles sont belles parce qu`elles le font penser à sa rose sur sa planète. (« Les étoiles sont belles, à cause d`une fleur que l`on ne voit pas�» p.81). Aussi le desert lui semble plus beau à cause d`une fontaine qu`il y a. (Ce qui embellit le désert, dit le petit prince, c`est qu`il cache un puits quelque part�» p. 82). Le petit prince n`oubliait pas ce que le renard lui a dit : � Le plus important est invisible�(p.82). Ils trouvent

habitait, c'étaient des écuries bâties dans un amusant désordre, qui multipliait les recoins garnis d'arbrisseaux fous et de vigne vierge. Jusque sur le domaine déferlaient des bois de sapins qui le cachaient à tout le pays plat, sauf vers l'est, où l'on apercevait des collines bleues couvertes de rochers et de sapins encore. » Le Grand Meaulnes, Première partie, chapitre XV : La Rencontre « Une longue maison rouge avec cinq portes vitrées, sous des vignes vierges, à l'extrémité du bourg (...)

habitait, c'étaient des écuries bâties dans un amusant désordre, qui multipliait les recoins garnis d'arbrisseaux fous et de vigne vierge. Jusque sur le domaine déferlaient des bois de sapins qui le cachaient à tout le pays plat, sauf vers l'est, où l'on apercevait des collines bleues couvertes de rochers et de sapins encore. » Le Grand Meaulnes, Première partie, chapitre XV : La RencontreRésumé du roman : Le texte qui suit est extrait du résumé que Jacques Rivière a proposé à ses auditeurs,