Mon Rêve Familier

un passé lumineux éclairé par Léopoldine, jeune fille qui apparait ici comme un ange, et qui s'oppose au présent qui n'offre aucun futur au poète. Seule l'écriture fait revivre la jeune morte que la poésie immortalise. | Paul VerlaineMON REVE FAMILIER (1866)Auteur: Paul VerlaineNé en 1844, mort en 1896 (XIX) Paul Verlaine réussit son Bac en 1862 et s'inscrit en école de droit qu'il quitte deux ans plus tard en 1864. Il se marie en 1870. Il vit de poème et d'alcool. En 1871, il rencontre Rimbaud

aussis une bonne tolérance car j`ai toujour eux des gens plus gros que moi qui aimaient me taquiner mais jais toujours garder mon colleurs dans sais situation la, ceci ma aider à tolérer beaucoup de chose. 3. Quels sont tes objectifs de carrière? Mon rêve est de devenir un artiste de musique rock ou hip hop mais mon objectif de carrière est de devenir un gérant d`artist de musique variée ou un enseignent de musique. Plutôt un enseignent car j`aimerais convaincre les jeune a écouter de la vrais musique

dans la mort // à Ronsard ( la pléiade) : la jeunesse  vie La vieillesse  mort Baudelaire fait une alliance jeunesse et mort : La mort c’est l’éternité ( jeunesse)  allusion à un temps suspendu « mon rêve infini » « des grandes nuits » // le crépuscule du soir ( inspiration poétique née d’une nuit d’insomnie, et d’une figure féminine morte) B. Une représentation paradoxale de la mort Confusion entre la vie et la mort : la femme vivante est évoquée

Sujet : Les poètes cherchent-ils toujours à fuir le monde réel ? Introduction : Inspiration poetique, mythe d’Orphée, definition des termes dii sujet I- Le poète fuit le monde reel et le quotidien...A- Le poête fuit le monde réel pour s’isoler de la souffrance qui le consume Le poete se présente volontiers comme un être venu d’ailleurs, éternel voyageur qui fait la réalite, « n’importe oir, loin du monde » (« Anywhere ont of the world », titre d’un poeme des Fleurs

(ariette est une courte mélodie gracieuse), ou encore "Chanson d'automne" et "Chanson grise" (ce titre est constitué du mot chanson donc de la musique). Dans son poème "Mon rêve familier", Verlaine joue avec la ponctuation car grâce aux virgules qu'il met, il donne du rythme à son poème Comme dans son poème "Mon rêve familier", ("d'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime,), il joue aussi avec les rimes ( je l'ignore / sonore) mais aussi avec le champs lexical de la voix et de la musique

ces poètes et que j'ai rassemblé par deux: Verlaine Apollinaire "Chanson d'automne" "Le pont Mirabeau" Ils sont ensemble parce qu'il parle du temps passé et d'un amour mort. "Mon rêve familier" "Photographie" Ici, ils parlent tout deux d'une femme parfaite où idéale à leur yeux dont Verlaine dans un rêve et Apollinaire dans une photographie. "Spleen" "Marie" Ici, c'est simplement qu'ils parlent d'une femme.

Baudelaire, Petits poèmes en prose (1863), « Le désir de peindre » 5) Verlaine, Poèmes saturniens, « Mon Rêve familier » (1866) 6) Autour du surréalisme : Breton, Manifeste du Surréalisme (1924), bref extrait - Aragon, Les yeux d’Elsa, « Les yeux d’Elsa » (1942) – Breton, Clair de terre, « L’Union libre » (1931) – Robert Desnos, Corps et Biens (1930), section « A la mystérieuse », « J’ai tant rêvé de toi » et « Non l’amour n’est pas mort » HDA : approche du surréalisme dans les arts : dossier p

vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts. C'était le vieux qui vit dans une niche au bas De la montée, et rêve, attendant, solitaire, Un rayon du ciel triste, un liard de la terre, Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu. Je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu. Comment vous nommez-vous ? » Il me dit : « Je me nomme Le pauvre. »

le ciel » (v. 3), « la Grande-Ourse », « Mes étoiles », « au ciel » (v. 7-8). Cette liberté de déplacement rime avec la joie et l’exaltation, marquées par des adjectifs mélioratifs : « idéal » (v. 2), « Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! » (v. 4), « doux frou-frou » (v. 8), « Ces bons soirs » (v. 10). L’ivresse poétique est également traduite par l’accélération du rythme, due notamment aux nombreuses monosyllabes : « à la Grande-Ourse », « un doux frou-frou », « au bord des routes

Chuchote : souviens-toi ! – Rapide, avec sa voix D’insecte, Maintenant dit : Je suis Autrefois, Et j’ai pompé ta vie avec ma trompe immonde ! » ou dans « Mon rêve familier » de Verlaine, expression d’une quête d’amour que l’on entend à travers les assonances et allitérations reprenant le verbe : « aime » « Je fais souvent ce rêve, étrange et pénétrant, D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime, Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même, Ni tout à fait une autre