Monade

moment en opposition entre les principes de paix et d'amour ? – La philosophie → Voltaire s'oppose avec virulence au philosophe et mathématicien allemand Leibniz. Ce dernier voulait répondre à la question : d'où vient le mal ? Sa théorie repose sur la monade (entités qui composent l'Univers pour essayer de créer une harmonie) : chaque mal est compensé par un bien. Cette théorie révulse Voltaire car elle n'incite pas au progrès, puisque Leibniz pense que l'Univers est régi par le bien, et risque d'inciter

pair et du premier nombre impaire (2+3) et aussi le milieu des neufs premiers nombre. C’est alors le chiffre du centre, de l’harmonie et de l’équilibre. Selon Giordano Bruno c’est le chiffre de l’âme car il est fait de pair et d’impaire. (« De La Monade », Giordano Bruno, 1591) Dans le tarot initiatique des imagiers du moyen âge, période durant laquelle la Maçonnerie Opérative se développe avec vigueur, le cinq est attribué au Pape, symbole de sagesse par excellence. Les trois religions monothéistes

mais toujours en devenir, et qui exige un choix responsable : décision et engagement. Il n’y a plus cette fermeture psychologique du sujet. En effet, ce qu’on appelle « conscience » doit être réinterprété. Ce n’est pas un moi privé, personnel, une monade solitaire (Leibniz). C’est la découverte de l’altérité. La liberté ne se pose qu’en s’opposant à l’autre liberté. Le conflit paraît donc irréductible. Ce qui vient en premier n’est pas un autre déjà constitué, car il n’y a pas transmission de conscience

physiques Séries des événements psychiques Expression Phénomènes cérébraux Sentiments, petites perceptions Les événements psychiques expriment les événements physiques sans en dépendre. Leibniz a écrit La Monadologie : discours sur les monades. 

fait ainsi l’apologie du triomphe de l’ostentation car il construit une oeuvre chargée de baroque et ces contradictions entre baroque et classique dans son oeuvre finissent par fusionner non sans violence. Cela donne le ton à l’œuvre qui devient une monade qui ne connaît que son monde. Cependant le classicisme exclue certaines caractéristiques qui appartiennent au baroque comme par exemple la métamorphose qui montrait l’œuvre comme déstructurée. En effet, les classiques montrent une oeuvre dans

incapacité d’expliquer vraiment la perception. Loin de se réduire aux figures et au mouvement, la nature est « pleine de vie ». A Spinoza, il lui donnerait raison « s’il n’y avait point de Monades », car tout alors – en dehors de Dieu – « serait passager et s’évanouirait en de simples accidents ou modifications ». Ces monades, sources des actions et principes absolus de la composition des choses, unités réelles et sans parties que Leibnitz appelle quelquefois âmes, entéléchies ou forces, se distinguent des

Leibniz, La monadologie ( 1714), Ed. Delagrave § 1 La monade, dont nous parlerons ici, n'est autre chose qu'une substance simple, qui entre dans les composés ; simple, c'est-à-dire, sans parties.§ 2 Et il faut qu'il y ait des substances simples, puisqu'il y a des composés : car le composé n'est autre chose qu'un amas ou aggregatum des simples. § 3 Or là où il n'y a point de parties, il n'y a ni étendue, ni figure, ni divisibilité possible. Et ces monades sont les véritables Atomes de la Nature et en un

refoulement, quand un Etat ou une secte l’autorisent. Cette violence latente est d’autant plus intense que l’être humain tolère difficilement le processus de socialisation, l’imposition d‘interdits qui rendent tolérable la vie en commun. Il évoque la monade psychique originaire comme révélatrice d’un noyau de « folie » dans tout sujet humain (6). Et Freud, déjà, dans les  Considérations sur la guerre et la mort, réfléchissant au caractère « barbare » de la guerre de 1914, constatait que l’encouragement

Zadig. Zadig leur demanda «qu’enseigneras-tu à ton pupille ? » Le premier dit : « je lui apprendrai, les huit parties d’oraison, la dialectique, l’astrologie, la démonomanie, ce que c’est que la substance et l’accident, l’abstrait et le concret, les monades et l’harmonie préétablie. » Le second dit : « je tacherais de le rendre juste et digne d’avoir des amis.» Zadig décida alors que le second épouserait la mère du petit. Zadig est respecté, aimé, il est la divinité absolue. Les femmes l’aiment, elles

philosophie des Lumières 1) Révolution dans les sciences Mouvement des Lumières  prolongement de Copernic au XVIème, puis des théories de Galilée (1564-1642) 5. Leibniz (1646-1716) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal + philosophie des monades qui prône quel'Unité parfaite est le principe absolu. 6. Newton (1623-1747) marque un changement notable avec l’émergence de la philosophie naturaliste à travers l’Europe. Pour montrer le progrès entre l’Âge de la Raison et le mouvement des Lumières