Monade

précisément au moment où il expérimente « le matériau miroir » qu’il atteint son plus haut degré de mysticisme. Pistoletto construit et utilise son œuvre comme illustration et représentation de l’univers. Pour lui, le miroir est un symbole de totalité, une monade leibnizienne, grâce à sa capacité de reproduire tout de façon identique. Le miroir, conteneur de toute chose, ne se contient pas soi-même. Selon Pistoletto, Il est proche du concept du 0 en mathématique. Le 0 est un concept divisible en + infini

exemple, le célèbre God Save the Queen des Sex Pistols dans les années 70, critique acide l'Angleterre de l'époque), ou des auteurs de science-fiction montrer par des romans d'anticipation les risques qu'ils perçoivent dans la société actuelle (Les Monades Urbaines de Robert Silverberg, ou Farenheit 451 de Ray Bradbury). Il donne ainsi à l'homme la possibilité de transmettre un message, de s'adresser au plus grand nombre, par différents moyens. L'art lui permet également, en un sens, de se « célébrer »

Normale et de ses pensionnaires.
Rencontre avec André Herbaud, début d'une amitié.
Méditation au jardin du Luxembourg autour de "Ma Vie" d'Isadora Duncan.
Herbaud remet à Simone de Beauvoir un dessin de Sartre à elle dédiée : "Leibniz au bain avec les Monades".
Herbaud sur le cahier de Simone de Beauvoir : 
"BEAUVOIR = BEAVER".
Entre l'écrit et l'oral de l'agrégation, visite au clan.
Simone de Beauvoir reçue à l'écrit de l'agrégation ainsi que Sartre et Nizan. Herbaud a échoué.
Mort de Zaza | 1930

propre cheminement. Pour terminer, nous citerons les alchimistes déclarant " qu’une fois les travaux d’Hercule terminés, le reste est un travail d’enfant ". Bibliographie - Le Triomphe Hermétique de A T. de Limojon de Saint Didier Ed. Arché - La Monade Hiéroglyphique de Jean DEE Ed. Sebastioani - La Bible de Jérusalem - L’Evangile commenté par les Pères de JM D’ANSEMNOURG, conférences enregistrées. - L’Anacrise de Pélagius Ed. Cariscript - Petite Philocalie de la prière du cœur présentée par

d’énergie ; alors, Etre, c’est agir ! Les substances, matérielles ou spirituelles (notre esprit), qui existent dans l’univers sont des centres de force, dont chaque unité (de force) est une monade (ex de monade : notre âme). Cette force, cette tendance à agir, c’est l’appétition (= désir), l’effort de chaque monade qui tend à passer sans cesse d’une perception à une autre plus claire. Ainsi, LEIBNIZ est vitaliste : il y a partout de la vie dans ce que Dieu a prévu pour nous. La liberté n’est donc pas

qu’il appelle des monades. Ce monade sont infiniment variés en perfection. La plus ou moins grande perfection d’une monade consiste en la perception plus ou moins totale et nette qu’elle a de toutes les autres, c’est-à-dire de l’univers. Chaque monade est dotée d’une tendance interne spontanée à développer sa perception propre vers une état plus parfait. Tout être complexe, comme un corps vivant est un amas de monades dominé par une monade principale : l’âme. L’âme humaine, monade centrale du corps

idées innées est contestable, ainsi que la dichotomie âme/corps en découlant ; (4) enfin, il n'utilise que de vagues métaphores et de fausses analogies verbales »30. Smith n'utilise pas la notion de monade mais celle de « vice-gerents». Pour Clavé31, « si l'on s'interroge sur ce qui différencie la monade du « vice-gerent », on voit que l'une est directement liée à Dieu ou à la Nature, dont il est une émanation et qui lui confère son autorité, alors que l'autre n'est qu'une essence, qui a une certaine

des idées innées est contestable, ainsi que la dichotomie âme/corps en découlant ; enfin, il n’utilise que de vagues métaphores et de fausses analogies verbales45» Smith n’utilise pas la notion de monade mais celle de « vice-gerents». Pour Clavé46 « si l’on s’interroge sur ce qui différencie la monade du « vicegerent », on voit que l’une est directement liée à Dieu ou à la Nature dont il est une émanation qui lui confère son autorité, alors que l’autre n’est qu’une essence, qui a certaine une autorité

bondissant pardessus les timidités d'esprit ou les répugnances morales qui retiennent dans un état habituel d'inconséquence inconsciente, soit fâcheuse, soit salutaire, les autres hommes, il a fallu une organisation exceptionnelle, un corps formé par une monade dirigeante des plus fortement trempées, des plus closes en soi et persévérantes en leur être. N'importe, sans l'ensemencement social, il est certain que cette terre féconde du caractère individuel n'eût rien fait germer. Donc, les hommes de génie

Leibniz, La monadologie ( 1714), Ed. Delagrave § 1 La monade, dont nous parlerons ici, n'est autre chose qu'une substance simple, qui entre dans les composés ; simple, c'est-à-dire, sans parties.§ 2 Et il faut qu'il y ait des substances simples, puisqu'il y a des composés : car le composé n'est autre chose qu'un amas ou aggregatum des simples. § 3 Or là où il n'y a point de parties, il n'y a ni étendue, ni figure, ni divisibilité possible. Et ces monades sont les véritables Atomes de la Nature et en un