Monarchie de Juillet

les 27, 28 et 29 juillet 1830, connues sous le nom des Trois Glorieuses. Le 25 juillet, Charles X publie quatre ordonnances dans le but d'écraser l'opposition libérale comme la suspension de la liberté de la presse périodique ou la dissolution de la Chambre des députés des départements. L'opposition appelle à la désobéissance. Les classes moyennes et le peuple de Paris se révoltent. La capitale se couvre de drapeaux tricolores et de barricades. Le peintre a nommé sa toile 28 juillet, date cruciale

s’avère particulièrement intéressante pour l’étude des relations entre ces deux « zones ». Le 22 février 1848, la crise économique et sociale qui sévit depuis 1846 s’additionne à un faisceau de frustrations politiques et sociales pour abattre la monarchie de Juillet. L’abdication de Louis Philippe entraîne le ralliement quasi général de la classe politique : la Deuxième République est proclamée, le 24 février 1848, sous la pression populaire, par les chefs républicains, à Paris. « Si tout arrive à Paris

27, 28 et 29 juillet 1830. Au cours de ces trois jours, surnommés les « Trois Glorieuses », les républicains libéraux protestent contre les ordonnances de Saint-Cloud émises par Charles X et limitant les libertés (censure, dissolution de la chambre, restriction du droit de vote par augmentation du cens). Le dernier roi Bourbon est ainsi renversé, et remplacé par Louis-Philippe, Duc d'Orléans. La toile est achevée trois mois après l'insurrection et le début de la monarchie de Juillet. Elle est exposée

bouleversements sociales, idéologiques et ministériels indispensable à Guizot, elles ont ouverts la porte à sa remise en question . Effectivement, rappelons que Guizot était en sous la monarchie de juillet ministre des affaires étrangères de 1840 à 1848 et avait le rôle central au gouvernement. C'est sous une monarchie constitutionnelle que François Guizot à réalisé son oeuvre politique! Il n'a eu de cesse de casser le mouvement républicain qui réclamait un élargissement du droit de vote, ce qu'il refusait

faire publier ses poésies. C’est quelques années après que Daumier le rejoins. Alexandre Lenoir le prend sous son aile, puis il entre à l’Académie Suisse. C’est en 1830 qu’il commence une carrière de caricaturiste politique (La Caricature-la monarchie de juillet). Il fut condamné à quelques mois de prison lorsqu’il caricature Louis-Philippe en Gargantua. Cependant, Daumier ne fut pas seulement caricaturiste tout au long de sa vie. Gargantua, caricature de Louis-Philippe Son activité de caricaturiste

artiste au même titre que Tebaldeo et qui, comme lui, cherche à se tenir à l'écart des luttes de pouvoir: “à quoi bon s'engager politiquement, quand l'échec était assuré d'avance?” Tebaldeo serait alors le Musset désenchanté des années suivant la Monarchie de Juillet. ! Pour Bernard Masson, Tebaldeo représente le double idéal de Lorenzo, l'image de ce qu'il aurait voulu être, mais qu'il n'est pas vraiment. ! Mais Anne Ubersfeld (Lorenzaccio, éd. Le livre de Poche) pense exactement l'inverse: “Il nous paraît

victoire d'Austerlitz) * 1815 : Restauration : Louis XVIII roi modéré frère de Louis XVI instaure une monarchie constitutionnelle. * 1824 : Restauration : Charles X succède à son frère Louis XVIII, mais c'est un roi «ultra» conservateur dont l'extrémisme provoque la Révolution de juillet 1830. C'est la fin du règne des Bourbons. La branche cadette des Orléans prend la relève. * 1830 : Monarchie de Juillet : Louis Philippe, fils de Philippe Egalité (qui avait voté la mort de Louis XVI) prend le pouvoir

les journées révolutionnaires du 27, 28, 29 Juillet 1830 appelées aussi « Les Trois Glorieuses » auxquelles Delacroix a participé. Celles-ci sont une réaction du peuple aux décret de Charles X qui limitent la liberté. Charles X perd son trône. Louis-Philippe fonde la monarchie de Juillet, plus libérale. Delacroix a réalisé cette peinture « d'actualité » en quelque mois. Le tableau représente une barricade lors de la journée d'émeute du 28 juillet 1830. C'est sans doute l'un des tableaux les

Musset après l’échec des « Trois Glorieuses ». D’une part, la Florence de la Renaissance a été une image de la monarchie de Juillet française bien perceptible pour les contemporains. Ils y ont sans peine reconnu la France de 1833 déçue. Alors, la pièce a sans doute été perçue comme une réflexion acerbe et douloureuse sur l’inanité de toute action politique après la révolution ratée de Juillet 1830. Aujourd’hui Lorenzaccio reste bien cette tragédie du désenchantement, de l’idéal floué. Cette pièce pose

législatif o L’adresse des 221 et l’affirmation du parlementarisme o La méconnaissance de ce principe par Charles X… et les 3 glorieuses Eventuelle conclusion : La Restauration voit apparaître les fondements du Parlementarisme en France. La Monarchie de juillet va les renforcer.