Mondialisation 1913

La Mondialisation La mondialisation est devenue l’un des concepts les plus en vogue depuis le milieu des années 90, non seulement dans le milieu des sciences sociales, mais également au sein du grand public. Le terme est fréquemment employé dans les discours politiques, le plus souvent pour justifier des restructurations dans le domaine public et le retrait de l’État dans certains secteurs d’activités économiques. Dans le monde des affaires, on réfère généralement à la mondialisation pour

Cependant, les relations et les échanges entre le sport et les médias, connaissent des liaisons dangereuses. Le sport est parfois utilisé via les medias pour véhiculer des idéologies, des nouveaux besoins (Vitrine commerciale). Depuis la mondialisation dont les principaux outils sont les médias, le sport est devenu un véritable business, bafouant l’essence même de celui-ci. Il ne s’agit plus de prendre du plaisir à le regarder ou à le jouer mais a faire le plus d’argent possible. Ces dérives

LA MONDIALISATION ET SES CONSEQUENCES I. DES FLUX QUI SE SONT MULTIPLIES : 1.Des flux de personnes : - migrations pour le travail : 170 millions de personnes essentiellement du SUD vers le NORD En + paiement de cotisations pour le nord, emplois qui ne seraient pas occupés sans eux, envoi de devises, qualification - - 50 millions de réfugiés du SUD vers LE SUD (dans le même pays ou pays voisins ex Darfour) - - - flux saisonniers : 800 millions de touristes dans le monde chaque année

cadre des dérapages et dérives financières. Développement : La financiarisation de l’économie a été fortement accélérée par 02 facteurs : *Le développement des financements internationaux : qui s’est fait dans le cadre de la mondialisation de l’économie mais en particulier du développement des pétrodollars à la suite des augmentations des recettes pétrolières des pays exportateurs de pétrole, cette abondance de liquidité qui a marqué la 2eme moitié des années 70 s’est en particulier

destructeur : la stabilité sociale serait remise en cause par l’austérité qu’ils imposent et l’emploi menacé par la rentabilité qu’ils exigent. Globalisés, ils mettent firmes comme états en concurrence et apparaissent comme le bras armé de la mondialisation. Au point que certains en Europe, ceux qui contestent la « globalisation » en ont fait leur principale cible. Cette vision de marchés financiers est-elle fondée ? … » Cet extrait du livre Les marchés et la croissance, de Brender et Pisani,

Introduction The globalisation is stronger and stronger nowadays and this can explain that people are wondering if global governance could be realistic. This is the question that I will try to answer with this assessment; particularly talking about global labour markets and employment relations. This could be interesting to begin by defining globalisation; this is the internationalisation of the exchanges. These exchanges can concern trade, communication, technology, finance, information, people

« S », tout secteur d’activité confondu. A l’heure de la mondialisation et du libéralisme économique, la question des délocalisations (def p. 404) et des concentrations des entreprises est posée comme un problème aussi bien social qu’économique, tant au niveau des pays développés qu’à celui des pays en voie de développement. Depuis l’ouverture des marchés à la concurrence, avec la chute des barrières douanières et l’effet mondialisation, les entreprises françaises et étrangères repensent leurs

l’Asie : • A la fin du 20ème siècle, 1/5ème du commerce mondial était lié aux entreprises multinationales. Cet essor conduit à la multiplication des délocalisations et au phénomène de mondialisation de l’économie. • L’Asie, et principalement la Chine, sont devenues par le biais de la mondialisation, des acteurs incontournables dans le commerce international. L’Asie est devenue la région du monde avec le plus fort taux de croissance économique et une puissance montante du commerce mondial

Vaincre la Faim, Larousse, 2009 • Charvet Jean-Paul, L’agriculture mondialisée, dossier n°8058, Documentation photographique, septembre-octobre 2007. • Charvet Jean-Paul (dir.), Nourrir les hommes, Sedes, 2008 • « Banane antillaise et mondialisation », DVD, Scéren – CRDP de Martinique, 2007 • Site du Festival International de Géographie, Saint-Dié-des-Vosges, actes 2004 « Nourrir les hommes, nourrir le monde. Les géographes se mettent à table.», http://figdie.education.fr/actes/actes_2004/index

faire de cette pratique leur métier n’ont d’autre choix que de s’expatrier et sont le plus souvent prêts à tout pour y arriver. Subtil assemblage entre démarches théorique et empirique, l’ouvrage illustre les logiques sous-jacentes à la mondialisation du marché des footballeurs. Il présente des informations de première main sur le fonctionnement des réseaux de transfert, collectées par l’auteur au cours de dix années de recherches menées en Europe et en Afrique. Des données statistiques