Mondialisation Déséquilibre

çèL'instabilité, au cœur de la finance globalisée Par Henri Sterdyniak, directeur du département économie de la mondialisation de l'OFCE Henri Sterdyniak : directeur du département économie de la mondialisation de l'OFCE Alternatives Economiques - Hors-série n°76 - Février 2008 La finance internationale crée chaque jour de nouveaux risques, que personne n'est en mesure d'évaluer. Et aucune conséquence n'a été tirée des crises précédentes. En l'espace d'une trentaine d'années, un vaste marché

du Sud ou pays en développement. Cependant, aucun pays ne vit replié sur lui-même du fait de la généralisation et de l’extension des flux de toutes sortes et de l’interdépendance des économies. Cependant, cette mondialisation est source de danger car elle s’est accompagnée de déséquilibres qui perturbent profondément l’économie mondiale. I. Un monde polycentrique 1. Un centre dominant Ce monde est constitué par les pays développés ou pays du Nord qui concentrent les pouvoirs de décisions et

La mondialisation et la gestion de l’entreprise « Comment les entreprises préparent-elles leur avenir ? Comment font-elles face aux changements rapides et profonds qui caractérisent l’économie actuelle, afin d’assurer leur croissance future ? » Pour commencer, nous allons définir les notions importantes de l’énoncé. Nous en avons retenues quatre essentielles. Tout d’abord, une définition pour la notion de mondialisation : « La mondialisation concerne les échanges internationaux de biens et services

La mondialisation En 2010, les autoroutes, les panneaux publicitaires, les restaurants sont à l’image d’une « nouvelle » mondialisation massive. En effet Mac Donald est implantée sur toute la France et dans le monde entier avec près de 30000 franchises, où encore le développement des voitures Toyota, Smart, Fiat et bien d’autres. Ces exemples marquent cette augmentation des liens commerciaux entre les pays. La mondialisation, terme qui n’est apparut qu’en 1984 dans la langue française, désigne

 La mondialisation Depuis le début des années 1990, la « mondialisation » désigne une nouvelle phase dans l’intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers, écologiques et culturels. Un examen attentif montre que ce phénomène n’est ni linéaire ni irréversible. La croissance exponentielle de la circulation des biens, des idées, des institutions et des personnes à laquelle nous assistons aujourd'hui fait partie

les auteurs classique essentiellement Ricardo. * En partant de Ricardo il montre que la « mondialisation » n’est pas un phénomène nouveau. La mondialisation actuelle s’inscrit lors d’un processus de la première révolution industrielle et accéléré lors de la deuxième révolution. La mondialisation est un processus historique propre à l’économie de marché. 1ere fausse vérité est que la mondialisation n’est pas nouvelle. * Les nations ne sont pas en concurrence, seulement les entreprises sont

Chap 10 Les enjeux actuels de la mondialisation A. L’insertion des PED dans le commerce international et le développement économique (CI favorise dvpt tiers-monde si spécialisation exportations ds produits manufacturés (ex : Japon, Corée Sud, Inde…) 1. La  « voie sans issue » : DIT traditionnelle => spécialisation classique (export produits bruts ; import produits manufacturés => détérioration termes échange) a. Définition et mesure (terme de l’échange : prix produits exportés/prix

  cette   intelligence   qui   connaîtrait   les   forces   dont   la   nature   est   animée   et   pour   qui   rien   ne   serait   incertain.   Il   lui   arrive   de   penser   que   la  mondialisation  des  échanges  pourrait  permettre  l’avènement  d’une  économie  globale   composée  d’individus  devenus  enfin  autonomes  qui  n’auraient  plus  à  se  plier  à  quelque   réglementation  venant

de la France Points forts des échanges extérieurs : Secteur agroalimentaire (2e rang mondial) Industrie automobile Biens équipements Points faibles des échanges extérieurs : Energie Biens intermédiaires Informatique, Electronique La Mondialisation prend plusieurs formes : Commerciale, Industrielle, des Entreprises, des Capitaux. Organisations des échanges internationaux Organisations internationales OMC : a pour but de financer, favoriser la coopération internationale de la libéralisation

du prix des matières premières, et à la détérioration des termes de l'échange. La division internationale du travail a pérennisé pour de nombreux pays du Sud la nécessité de se spécialiser dans les produits d’exportation. L’idéologie de la mondialisation cache mal le fait que la plus grande partie de la circulation de valeur se fait entre les régions du monde où se concentre le capital financier et industriel. Ces différents éléments expliquent qu’une grande partie de la population mondiale reste