Mondialisation Et Crise Du Fordisme

Histoire. Thème 1:Croissance, mondialisation et mutations des sociétés. Chapitre 1:Croissance Depuis 1850 les pays industrialisés connaissent une croissance sans précédent fondé sur l'industrialisation. Cette croissance connaît des phases d'accélérations et de reculs. *Quelles sont les caractéristiques de la croissance dans le monde depuis 1850 ? -Les différentes phases de la croissance. -Inégale dans le temps. (Crise de 1929) Croissance:Accroissement soutenu et durable de la production des biens

terrestres et des êtres humains, en particulier dans les pays les plus défavorisés. Problématique : La société de consommation n’a telle que du bon ? Est-elle réellement bénéfique à l’homme ? Plan : I. L’avènement de la société de consommation II. La crise économique III. Les effets négatifs de la société de consommation Développement : I. L’avènement de la société de consommation Au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale de 1945, les pays industriels se reconstruisent. Les activités économiques

Marshall, commandes de l’Etat…) - Système monétaire international stable depuis Bretton Woods - Innovations technologiques (nucléaire) - Progrès de la gestion d’entreprise - Gains de productivité : généralisation du taylorisme et du fordisme, développement de la recherche - Globalisation financière favorisée à partir des années 1960 par les transactions boursières immédiates entre les places boursières. - Libéralisation des échanges grâce à la signature en 1947 du GATT qui

marque l’âge d’or de la république, avec la stabilisation monétaire qui restaure la confiance des investisseurs et permet l’afflux de capitaux étranger. L’Allemagne est fortement touchée par la crise de 1929, ce qui va déboucher sur l’élection d’Hitler au pouvoir. VII. La crise et ses leçons La crise de 1929 a pris de court toutes les populations du monde. Alors que les Etats Unis sont dans une décennie de croissance brillante, les banques européennes, surtout celles de l’Angleterre, de la

de capitaux et d'informations, croissance des niveaux de vie et de la population. La « crise » consécutive au 1 er choc pétrolier marque à partir de 1973-1974 une rupture, et, sous l'effet des mutations du capitalisme et de la mondialisation, de nouveaux déséquilibres économiques, sociaux et internationaux se mettent en place. Pourquoi et comment est-on passé d'une période de prospérité à une période de crise prolongée ? En quoi cela a-t-il eu des répercussions au niveau social et culturel ? I

La crise des années 1970 Une rupture 1974 est l’année de rupture. Fin d’une période de croissance exceptionnelle depuis 1945. Double conséquence théorique : - La période précédente est idéalisée : les « trente glorieuses » Fourastié (1979) - La crise était en germe, Lorenzi Pastré & Toledano (1980) La vérité est évidemment entre les deux … La crise est un enchaînement de déséquilibres dont certains préexistaient et enclenchée par un choc pétrolier. Trait marquant : le passage net d’une croissance

    La  baisse  de  la  production  est  effective  mais  sans  chute  brutale.  D’autre  part,  il  n’y  a  pas   de  recours  au  protectionnisme  comme  lors  de  la  crise  de  1929  car  la  période  est   marquée  par  un  essor  sans  précédent  du  commerce  mondial  (voir  thème  1  de   géographie).     Les  années  1970  sont  marquées

onéreux mais qui confirment la fiabilité de l'entreprise. De plus, il ne faut pas oublier l'aspect « développement durable », ce qui sous entend aussi une forme de respect de l'environnement qui ne peut être qu'un plus pour nos sociétés : La mondialisation mène à ce problème d'éthique commune : comment sensibiliser sur la pollution et les déchets, comment résoudre ce problème qui, s'il n'est pas freiné dans sa croissance, annoncera une transformation des plus violentes au niveau de l'environnement

prix des produits et donc de les rendre accessibles au plus grand nombre. Cette hausse de ventes est elle-même facteur d'économies d'échelle et engendre de nouveaux gains. La crise de 1929 a montré la limite à la production de masse lorsqu'elle ne s'accompagne pas d'une consommation de masse. C'est pourquoi, après 1945, le fordisme s'est imposé incluant des hausses régulières de salaire dans les entreprises et l'intervention de l'Etat par la sécurité sociale et la redistribution pour régulariser les

transformations sont "successives", car leur apparition se succède dans le temps, cela ne signifie pas qu'un mode d'organisation disparaît quand un autre apparaît. Les deux modes d'organisation co-existent en général, on le verra avec le fordisme et ce que certains appellent le post-fordisme. Organiser le travail, c'est en fait le diviser en fonction de certains principes. Ce sont surtout ces principes qui se transforment. Maisle principe même de la division du travail, et de la spécialisation qui va avec, est