Monnaie Active Selon Keynes

| | | |En période de chômage les demandes d’emploi sont supérieures aux offres d’emploi|Selon les keynésiens une baisse des salaires pour les entrepreneurs ne signifie | |ce qui fait baisser les salaires. Une baisse des salaires signifie plus de |pas plus de profit mais une baisse de la demande future. Les entrepreneurs sont | |profits

déséquilibre durable entre les quantités offertes et les quantités demandées. la quantité de monnaie qui circule dans l'économie fixe le niveau général des prix mais n'affecte pas les équilibres sur chaque marché. L’analyse dichotomique: Il s’agit là d’integrer la monnaie en conservant l’idée de sa neutralité : caractéristique de l’approche réelle. Bloc réel: biens , travail et titres Bloc monetaire: Monnaie Passage du modèle classique à celui keynésien : Accélération de la modernisation des économies

un "destructeur d’emplois" dans la mesure ou il s’oppose à l’ajustement automatique entre l’offre et la demande de travail par les prix. La flexibilité des salaires ne permet pas d'assurer l'équilibre de plein emploi sur le marché du travail : Selon les keynésiens une baisse des salaires pour les entrepreneurs ne signifie pas plus de profit mais une baisse de la demande future. Les entrepreneurs sont pessimistes car ils prévoient une baisse des ventes, ils vont donc diminuer les embauches. Une

d’un paradigme et d’une science III 31 31 32 33 Histoire de la pensée économique L’école classique 9 L’école classique : présentation d’ensemble 1. Les hommes et leur contexte 2. La science classique en économie 35 35 36 10 Monnaie, valeur et prix chez les classiques 1. La théorie classique : une recherche sur la nature de la richesse des nations 2. La mesure de la richesse : la théorie de la valeur travail 39 39 40 11 Le libéralisme économique des classiques 1. Une

A) Les monnaies marchandises Elles sont non métalliques. Depuis le VIème millénaire : un bœuf (pecus en latin), des cauris, des wampums … En lien avec le sacré servent de monnaie d’échange. B) Les monnaies métalliques Une monnaie métallique est une monnaie dont la valeur se définit par rapport à un ou plusieurs métaux. Il s’agit en général de l’or et de l’argent. Chaque pièce frappée contient ainsi une valeur intrinsèque forte : la valeur de son métal, proche ou égale à sa valeur faciale.

déjà donnée. On peut faire un parallèle entre l'individu vu par Smith et celui mis en scène par Keynes : chez Smith, la notion de sympathie est une donnée naturelle qui conduit au mimétisme. Chez Keynes, le mimétisme tente à être rationnel, dans un monde d'incertitude où ses repères sont les prix, l'imitation est une donnée fondamentale (exemple de la stratégie des acteurs sur les marchés financiers de Keynes). La philosophie kantienne est en phase avec l'idéologie libérale de l'époque. Chez Kant, l'individu

analytique qui est généralement scindé en deux grandes branches : la microéconomie ou étude des comportements individuels et la macroéconomie qui émerge dans l'entre-deux-guerres, avec l'ouvrage majeur de John M. Keynes, intitulé Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie[]. De nos jours, l'économie applique ce corpus à l'analyse et à la gestion de nombreuses organisations humaines (puissance publique, entreprises privées, coopératives etc.) et de certains domaines : international

flux globaux reste par contre étonnamment moderne. C’est un des paradoxes de sa théorie. Contrairement à une longue lignée de commentateurs, pour qui Quesnay ne s’intéresse pas à la monnaie, nous pouvons montrer, à la suite de Joseph Schumpeter2, qu’il est au contraire un maillon essentiel qui, de Boisguilbert à Keynes, constituent la filière de l’analyse monétaire. Entre les théories pré-monétaires des mercantilistes et la domination, à partir d’Adam Smith, du système classique anglais et de son

biens et service, 2 variables : r taux d’intérêt  (concrètement r : le taux d’intérêt réel à ne pas confondre avec i taux d’intérêt nominal) Y le revenu (vu dans l’optique PIB, production du richesse) LM : la partie monétaire : demande – offre de monnaie  qui va trouver l’équilibre sur un graphique qui va lui aussi utiliser les deux variables r et Y. Quand le taux d’intérêt augmente, l’investissement diminue du côté de IS, du côté de LM il y a d’autres relations. L’intérêt du modèle c’est de faire

créée par un économiste anglais John Richard HICKS qui a crée en 1937 ce modèle pour construire une analyse du modèle de Keynes pour le réintégrer dans le modèle néoclassique. Le modèle de HICKS est très bien construit tout le monde l’utilise, il a donc duré longtemps. Chapitre 1 : Le modèle ISLM I investissement S épargne L liquidity (demande de monnaie) M money (offre de monnaie) IS équilibre en terme réel LM équilibre en terme monétaire Ce modèle a pour objectif la détermination du niveau du