Monnaie Active Selon Keynes

LA MONNAIE Définition : La monnaie est constituée de l’ensemble des moyens de paiement dont disposent les agents économiques pour régler leurs transactions. Formes de monnaie : * Monnaie fiduciaire : regroupe les billets de banque émis par la BCE. Les pièces seules sont appelées « monnaie divisionnaire ». Cette monnaie est acceptée par tous en vertu de la confiance qui lui est accordée. * Monnaie scripturale : est la monnaie déposée sur des comptes à vue dans les banques, elle nécessite

demande de B&S .............................................................................. 34 L’équilibre sur le marché monétaire. ........................................................................................ 35 La demande et l’offre de monnaie ............................................................................................ 35 L’équilibre sur le marché monétaire ......................................................................................... 35 Chapitre 7: L’approche

intervenants, mobilité des facteurs de prod), et transparence (infos sur les biens et services). ->Les agents économiques (soc financières, non fin, les ménages, adm publiques, instit à but lucratifs, reste du monde). La monnaie dans l’échange : -Les formes de la monnaie (divisionnaire : pièces, fiduciaire : billets). -La masse monétaire et ses composants : >Les agrégats : M1 (total des pièces et billets en circulations), M2 (M1+le crédit à CT) et M3 (M2+divers placements monétaires durée

de bonne facture : il apparaît jusqu’en 1932 comme une monnaie refuge. C. RIST  considérait que la France formait un îlot de prospérité relativement aux autres pays, comme si elle était épargnée par cette crise. Mais, la France finit par être contaminée, et, connaît 1 véritable enlisement dans la dépression de 1932 jusqu’à la fin de la 2ème GM. Ayant refusé avec les pays du Bloc-or (Belgique, Hollande, Suisse et Italie) de dévaluer sa monnaie en 1933, date de la dévaluation du $, la France subit

crise qui éclate à la suite du premier choc pétrolier remet en cause le bien-fondé de ces politiques budgétaires, et marque le retour au premier plan des politiques monétaires qui, comme leur qualificatif l'indique, privilégient les outils liés à la monnaie et à la distribution du crédit. Ce retour est largement lié au retour en grâce des théories néo-libérales. Celles-ci, en effet, contestent l'efficacité des politiques induites par la théorie keynésienne auxquelles elles attribuent volontiers les difficultés

problème est d’avoir confondu richesse et monnaie. En France grâce à Colbert on commence à réfléchir à l’industrialisation. Les mercantistes considèrent que la richesse vient du travail des individus. Jean Bodin (1530-1596) écrit « Il n’est richesse que d’hommes. » On est dans une logique populationniste. Si la population augmente, il va y avoir plus d’achats, des débouchées. On produit plus car il y a plus de monde. Ainsi il y a une population active plus importante donc les salaires plus faibles

II- Les incertitudes de la politique budgétaire Les idées développées  dans la « théorie générale » se sont traduites par tente ans de politique budgétaire active. En montrant les limites de l’action par les dépenses publiques, on dispose d’arguments à l’encontre de l’utilisation des politiques de relance tandis que, lorsque la crise se prolonge, la dette cumulée de l’Etat limite l’action des gouvernements. J’ai choisi de ne pas suivre le plan de M.Lecaillon pour cette section par souci de compréhension

lui, sert à éclairer le sens des décisions politiques. Musgrave distingue 3 fonctions dans la politique économique : ➢ Fonction de stabilisation conjoncturelle : comme Keynes, Musgrave pense que face à l’incertitude l’intervention d’un agent extérieur- l’Etat –peut être bénéfique. Il faut bien rappeler que Keynes raisonnait à court terme. ➢ Rôle sur l’allocation des ressources : la régulation marchande ne suffisant pas à assurer l’équilibre, il faut un agent extérieur qui propose

Angletterre comme l'or afflut en quantité abondante un phénomène économique se produit : l'inflation, ici par la masse monétaire, demande et coût étant les deux autres cause d'inflation. Bodin et Cantillon sont les premiers économistes quantitativistes, selon eux les prix évolue en fonction inverse de la quantité d'or. L'abondence du numéraire créer l'inflation dont il se réjouisse car elle augmente le prix de la terre et facilite la lever des împots. Conclusion du 1) Le principale apport des mercantilistes

contexte de l’esclavagisme.  Socrate et Platon = principe immortalité de l’âmeVie sur terre organisée façon plus juste qui soit pour assurer salut de l’âme.  recherche lois garantissent règne justice dans la cité justice selon Platon attribuer à chacun la fonction qu’il mérite, selon qualités morales, physiques… (oppose sophisme = justice part qui revient au plus fort) vision sur ordre social, proscrit propriété personnelle= logique communautaire et non marchande. Aristote = appréhender fonctionnement