Monnaie complémentaire

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achat d'action qui constitue une immobilisation pendant un certain temps d'argent que nous n'avons pas consommée = placements spéculatifs puisqu'on espère que sa valeur va augmenter. Ici épargne de liquidité. Pour Keynes elle représente la demande de monnaie. -Placements productifs= obligation. Moins liquide. → Comment se fait le choix entre ces sortes d'épargne ? Le Ti détermine le choix de l'utilisation de son épargne ou il va y avoir thésaurisation ou placement productifs. → Quel va être le

LA MONNAIE DE SEL Godelier, né en 1937, est d’abord agrégé de philosophie et il va ensuite se tourner vers l’économie politique. Le texte « la monnaie de sel » est un article publié dans la revue « L’Homme » en 1969. C’est un texte d’anthropologie économique qui s’intéresse aux formes primitives de monnaie plus précisément chez les sociétés Baruya avec la monnaie de sel. Pour Godelier, les économistes classique voient les formes primitives de monnaie comme une double privation : privation de

confiance dans l’économie. Les taux d’intérêt au placement sont faibles puisque l’objectif est de relancer la consommation. Quelles sont les raisons qui peuvent pousser un ménage à épargner ? Pour pouvoir acheter plus tard, avoir des revenus complémentaires, se prémunir contre un risque, vouloir transmettre un patrimoine à ses descendants, pouvoir spéculer pour réaliser une plus value. Le choix du ménage avec son revenu disponible sera d’abord la consommation puis l’épargne. III - Des comparaisons

(Friedman) réfutent tte conciliation avec les keynésiens. Echo particulier ans les années 1970-80. De plus, deps 1945, ++ hétérodoxies (marxisme/institutionnalisme) On serait tenté de dire que le pensée éco deps 1945 et en proie à deux mouvements complémentaires ( 1 et 2) 1. On assiste à un mouvement de convergence entre le paradigme néoclassique et keynésien Initié dès 1937 par Hicks, le courant de la synthèse onçoit Keynes comme un cas particulier du modèle néoclassique. Affirmation de ce cours ds

nds monétaire international (f.m.i) * Page mise à jour le : * 0 Commentaire(s) Cette notion est une notion complementaire du programme officiel de terminale ES. Lexique 2[0] Organisme international regroupant actuellement 184 pays, créé par les accords de Bretton Woods en 1944, mis en place en 1945. Il a un double objectif :  assurer la stabilité financière (jusqu'en 1973, il fixait les taux de changes des pays membres) ; faciliter les échanges internationaux (il prête des devises aux

spécialisation des tâches entre individus. Avant que la monnaie existe, l’échange existait par le troc. La DIT ( division internationale du travail ) s’explique par le principe de l’avantage comparatif. Q3 : L’économie de marché consiste essentiellement en échange entre les ménages ( consommateurs ) et les entreprises ( producteurs ). Cette économie de marché met en relation des agents économiques qui ont des objectifs différents et complémentaires.  Les consommateurs recherchent le maximum de satisfaction

pour soutenir le système de parités fixes de Bretton Woods. Tout pays adhérent au système devait disposer de réserves officielles — avoirs en or de l’État ou de la banque centrale et devises largement acceptées — qui pouvaient servir à racheter sa monnaie nationale sur les marchés des changes internationaux, au besoin, pour maintenir son taux de change. Mais l’offre internationale de deux grands avoirs de réserve, l’or et le dollar EU, s’est révélée insuffisante pour étayer l’expansion du commerce

Concrètement, cette offre de monnaie supplémentaire fait baisser le taux d’intérêt, baisse qui stimule l’investissement privée. La baisse d’intérêt encourage l’investissement qui a un effet multiplicateur sur le revenu. En effet inverse nous pouvons dire aussi qu’une politique monétaire restrictive déprime l’investissement et réduit le revenu national. C’est une représentation, certes très simpliste, qui démontre les enjeux d’une politique monétaire. Sachant que plus il y a de monnaie en circulation, plus

entités spécialisées dans des domaines complémentaires. La division du travail est l'un des fondements de l'organisation des sociétés qu'elles soient humaines ou animales. Chez l'homme, la division du travail a une origine très lointaine et apparaît dès le néolithique avec le développement de l'agriculture et de l'élevage. A notre époque le développement de la division du travail est associé à celui du capitalisme et du commerce, à la diffusion de la monnaie, ainsi qu'à la croissance de la population