Monnaie Et Chomage

 PLAN DE L’EXPOSE : Section I : Le chômage…………………………..P.3 I- Les différentes approches du chômage…………...P.3 A- Approche classique et Keynésienne ………………………P.3 B- chômages lies aux structures économies et sociales……….P.3 II- Les conséquences du chômage……………………P.4 A- Sur le plan économique……………………………………..P.4 B- sur le plan politico-économique…………………………….P.5 Section II : L’inflation……………………............P.5 I- Origines de l’inflation………………......................P.5 A- Approche monétariste………………………………………

international I. Def et historiqueUn système monétaire = ensemble des moyens de paiements qui sont convertibles (£, $, €…). La monnaie internationale est le $. L’€ est aussi un moyen de conserver la valeur (épargne). Un système de change fixe (autorités monétaires fixent le taux de change de leur monnaie face aux autres monnaies) rassure les échanges, assure une stabilité (système de Bretton Woods) ; en 1971 Nixon met fin au système de Bretton Woods, on passe au système de change

Equilibre sur le marché de travail : * (le prix) le taux de salaire réel s’obtient par la confrontation entre l’offre et la demande de travail. * Les agents sont supposés non soumis à l’illusion monétaire. * Arbitrage travail-loisir (si il y a du chômage, celui-ci est volontaire) * Les producteurs embauchent jusqu’à ce qu’il y ait égalité : Pm du travail = Coût marginale du travail (salaire réel) Equilibre sur le marché des biens & services : * La fonction de production dépend uniquement de la

mercantilistes et les physiocrates.  Le courant mercantiliste est très hétérogène (15ème au 17ème siècle, diversité dans le temps et l’espace). Les thèmes économiques sont principalement la réflexion sur le commerce international, le rôle de la monnaie et l’intervention de l’Etat dans l’économie.  Le commerce international est vu comme « un jeu à somme nulle ». Ce que gagnent les uns est égal à ce que perdent les autres, lieu de compétition entre les nations. Selon eux, comme la richesse repose

de l’investissement mais aussi du commerce international. Nous pouvons aussi rajouter une augmentation importante du chômage, chose qui n’aide pas pour les personnes issues du Baby-Boom, (5% en moyenne) et une augmentation des prix (10% dans la plupart des pays). Le taux de chômage est plus important en Europe (10% environ) qu’aux Etats-Unis (7%) ou même au Japon (2,2%). Ce chômage touche surtout les immigrés mais aussi les femmes, les jeunes et les personnes non qualifiées. Et cela engendre une inflation

d’éducation…), de la demande des firmes (qui dépend du coût salarial, de la productivité des travailleurs) ou du fonctionnement du marché pour un type de qualification particulier. Les macroéconomistes tentent plutôt d’expliquer la persistence du chômage au niveau de la société et cherchent des politiques permettant de relancer l’emploi. De façon synthétique, le macroéconomiste poursuit quatre objectifs majeurs : 1. la détermination des agrégats permettant d’expliquer le comportement des groupes d’agent

voie : payer le déséquilibre par la détérioration des changes => cependant les produits pétrolierS = consommation peu compressible à court terme à moins d’une récession massive. La baisse du change à l’inverse augmente le prix du pétrole (puisque la monnaie nationale est dévaluée, il en faut plus pour acheter le pétrole vendu en dollars). ⇨ Appauvrissement national par détérioration des termes de l’échange Seuls les Etats-Unis peuvent s’y risquer puisqu’ils payent le pétrole en dollar

du choc monétaire sur la production disparaissent. A moyen terme, la hausse de la masse monétaire se répercute totalement dans une hausse proportionnelle du niveau des prix. La masse monétaire réelle retourne à son niveau initial. A long terme, la monnaie est neutre, c’est-à-dire qu’elle n’a aucun impact sur la production et sur le taux d’intérêt. Cela ne signifie pas qu’il ne faut pas utiliser la politique monétaire. La politique monétaire expansionniste peut être nécessaire en cas de crise économique

La théorie néoclassique suppose que l’économie tend à l’équilibre du plein emploi grâce aux mécanismes d’autorégulation : la concurrence pure et parfaite et par là la flexibilité des prix. Le chômage s’il existe, ne peut être que volontaire. Mais 1929, on a assisté à une augmentation du taux de chômage, à une chute brutale des prix des biens et services et des actifs financiers. Dans ce contexte l’apparition de l’ouvrage de Keynes «’la théorie de générale » a été un essai de remise en cause de

croissance économique. I) La relation croissance - inflation La relation croissance - inflation permet d’aborder les sources de l’inflation. Trois explications sont généralement avancées pour souligner l’existence de l’inflation : l’inflation par la monnaie, l’inflation par la demande et l’inflation par les coûts. Depuis quelques années, la relation croissance – inflation est largement associée au rôle des banques centrales, qui par le jeu des taux d’intérêt, sont amenées à intervenir dans la sphère