Monnaie Forte Monnaie Faible

Introduction : La monnaie est un bien qui n’a pas d’utilité en soi. Son utilité n’apparait que dans le cadre d’une économie marchande, économie caractérisée par le développement des échanges. L’opposé est l’économie de subsistance. Une économie caractérisée par une forte consommation et par le faible renouvèlement des biens. La monnaie est un phénomène social. Son utilisation et son acception comme moyen de paiement repose sur la confiance des agents économiques dans le système qui l’a créé (La

Spirale déflationniste : baisse des prix >baisse générale de la production > baisse des salaires > baisse de la consommation et donc de la demande > accentuation de la baisse des prix. Solution : création de masse monétaire Masse monétaire : monnaie fiduciaire (billets de banque) + dépôts bancaires + titre de créance Liquidité de marché : capacité à acheter ou vendre rapidement des actifs sans effet majeur sur les prix. Balance des paiements : Parmi les indicateurs économiques les plus

structurels irréversibles (ou difficilement réversibles) doivent être distingués des situations conjoncturelles Notion de crise Grec (krisis : décision, faculté de juger), résultat de la crise est un basculement : positif ou vers une tension encore plus forte. Dans les sociétés il y a un certains nombres de processus qui permettent de répondre à certains déséquilibres. Ces processus qui permettent de réguler pourront bien fonctionner, ou moins bien. Un des analyses fondatrices est celle de Clément Juglar

baisse du pouvoir d’achat de la monnaie. L’étude chronologique des indices des prix montre que nous vivons en inflation quasi permanente : les prix augmentent et la monnaie se déprécie. Tantôt modérée (inflation rampante), tantôt galopante (hyper-inflation), L’inflation est toujours au centre des politiques économiques. Nous connaissons déjà l’explication monétaire de l’inflation : l’inflation est la conséquence d’une disproportion entre la quantité de monnaie en circulation et la quantité de

une notion moins large que celle d'échange international qui comprend aussi les échanges de capitaux. Depuis le début des années 1950 le commerce international a connu un essor très important : l’augmentation des échanges internationaux est plus forte que celle de la production mondiale ce qui implique une augmentation des taux d’ouverture ( [(X+M)/ 2] * PIB) de la plupart des pays. Cette augmentation a surtout profité aux produits manufacturés. Les exportations de services ont aussi beaucoup augmenté

dévaluation consiste pour un Etat à diminuer la valeur de sa monnaie nationale au profit d'une monnaie de référence ou d'un panier de monnaies. La dévaluation est donc une décision de l'Etat dans un régime de change fixe. Une dépréciation résulte, elle, de la loi de l'offre et de la demande. La monnaie locale se déprécie car la demande n'est pas suffisante. Mais rien n'empêche aussi un Etat de laisser volontairement se déprécier sa monnaie, pour diverses raisons. D'un point de vue pratique, il est

par l’humaniste d’une organisation sociale permettant à tout un chacun de gagner honnêtement sa vie et d’acquérir le bien être sur terre. Cette recherche de gain honnête de cette acquisition de bien être se fait par le biais des échanges grâce à la monnaie qui constitue un des piliers les plus importants du système économique mondial. Au début des années 1980, les pays de la zone UEMOA subissent une crise de la dette qui émane de la crise mondiale. Celle-ci se traduit par des déséquilibres

Hongrie, Lettonie, Lituanie, Malte, Pologne, République Tchèque, Slovaquie, Slovénie (Europe des 25). En 2007 = Bulgarie et Roumanie (Europe des 27). Le fait qu’il y est un décalage temporel, l’intégration européenne n’est pas la même. Il a un forte disparité entre le pays. Le pays le plus vaste, à savoir la France, à une superficie 1700 fois plus grande que Malte. Le pays le plus peuplé, l’Allemagne, est 200 fois plus peuplé que Malte. Le pays qui a le PIB le plus important, à savoir l’Allemagne

liés aux fluctuations des cours des monnaies, lorsqu’il existe un certain délai entre la facturation d’une opération et son règlement monétaire » Pour pouvoir gérer ce risque correctement il faut définir notamment les phénomènes qui lui donnent naissance. A/ Notion de risque de change 1/Définition Le risque de change, c’est-à-dire le risque de perte en capital liés aux variations futurs du taux de change, c’est fortement accru avec le flottement des monnaies et le développement des transactions

usage dès 1999 sous forme scripturale et la monnaie fiduciaire a été mise en circulation au premier janvier 2002. Aujourd’hui, ce sont 17 états qui sont membre de la monnaie unique  Diapo 2 : Maastricht et la BCE En 1992, le traité de Maastricht prévoit la mise en place d'une union politique et monétaire. Ce sera chose faite avec l'entrée en vigueur officielle de l'Euro en 1999 et la circulation de pièces et billets européens en 2002. L'Euro est une monnaie qui sera émise par une seule banque, la B