Monnaie Marianne

l’inviter à diner, mais il s’agit de dépenser le moins possible. Harpagon tente de s’entendre avec son cuisinier, qui est aussi son cocher, dans une scène du dernier comique. Pendant le repas, Harpagon découvre que son fils est épris de cette même Marianne qu’il veut épouser. Mais tout à coup, un affreux malheur vient lui faire oublier tous ses projets. Il s’aperçoit qu’on lui a volé sa cassette qu’il tenait enfouie dans son jardin et qui contenait dix mille écus. Son désespoir est au comble. Il accourt

de montrer là l'÷uvre sanitaire de la France en Algérie. À droite de la religieuse, le personnage du juge veut signier que la France a apporté la loi, l'ordre et la justice en Algérie. Sur la partie gauche de l'ache, sur un piédestal, gure une Marianne, femme symbolisant la République française, tenant dans sa main droite un rameau d'olivier, symbole de la paix, derrière elle, le drapeau tricolore ; le message est clair : l'Algérie c'est la France et la France c'est la paix. La charrue et la roue

drapeau tricolore, la cocarde sur les vêtements... Des symboles présents depuis la révolution, qui symbolisent la République et que l'on connait encore aujourd'hui. Comme la jeune femme, sur le tableau, qui inspire et ressemble fortement à notre Marianne, figure allégorique de la République française. Cette jeune femme, une femme du peuple, est le symbole de la liberté. Elle incarne la révolte et la victoire. Elle guide les hommes vers la liberté. Leur liberté. Dans ce tableau, nous retrouvons

Collaboration à la scénographie Alexandre de Dardel Assistanat à la mise en scène Célie Pauthe Avec Jean-Pierre Bagot Monsieur Loyal Christophe Brault Cléante Clément Bresson Tartuffe Thomas Condemine Valère Claude Duparfait Orgon Julie Lesgages Mariane Annie Mercier Dorine Sébastien Pouderoux Damis Claire Wauthion Madame Pernelle Production Théâtre National de Strasbourg Durée estimée 2h30 sans entracte Tartuffe, résume Stéphane Braunschweig, c’est l’histoire d’un homme qui ne va pas bien

les didascalies : les gifles (surtout quand, comme celle d’Orgon à Dorine, elle n’atteint pas son but (II, 3) « Il veut lui donner un soufflet et la manque ».Les coups, les bousculades, gestes et mouvements répétitifs telle la scène entre Valère et Mariane (II, 4). «Elle va l’arrêté par le bras, et lui fait mine de grande résistance. » Ou encore la toux d’Elmire (IV, 5) « Elle tousse pour avertir son mari » Tout comme le comique de gestes le comique de mots peut reposer sur des procédés simples tels

de Panama qui ne fera que concrétiser la remise en cause de la République déjà omni présente dans la tête des Français. 3. L’affiche ayant pour but de faire la propagande de la République est constituée de plusieurs symboles Républicains. • La Marianne : C’est une allégorie de la République, elle en est la gardienne. Sur l’affiche on peut remarquer qu’elle prend tout l’espace du côté droit. Elle est grande et fière. Elle est de même vêtue d’une tenue typique de l’antiquité, plus précisément d’une

entre Elmire, Damis, Mariane, Cléante et Dorine dans le but que Cléante parle de l'hymen entre Mariane et Valère à Orgon. Scène 4 : Dorine raconte à Orgon ce qui s'est passé durant son absence de la maison. (Orgon n'étant pas présent au début de l'acte) Orgon s'intéresse plus à Tartuffe qu'à sa femme qui était pourtant malade. Scène 5 : Discussion entre frères. Cléante (beau-frère d'Orgon) essaie de raisonner Orgon à propos de Tartuffe. Acte II Scène 1 : Orgon annonce à Mariane son idée de la marier

Personnages Mme Pernelle : Mère d'Orgon Orgon : Mari d'Elmire Elmire : Femme d'Orgon Damis : Fils d'Orgon Mariane : Fille d'Orgon, amante de Valère Valère : Amant de Mariane Cléante : Beau frère d'Orgon Tartuffe : Faux dévot (accueilli par le crédule Orgon) Dorine : Suivante de Mariane M. Loyal : Sergent Un exempt Flipote : Servante de Mme Pernelle Résumé Acte I Scène 1 Mme Pernelle sort de la maison d'Orgon mécontente, elle rouspette contre tout le monde (sauf

bourgeois veuf, père de Cléante et d’Elise. C’est un vieil homme avare, tyrannique et paranoïaque, qui ne vit que pour l’argent. Il ne donne à ses enfants que le minimum pour vivre et il est obnubilé par la peur d’être volé. Il est attiré par la jeune Marianne et veut l’épouser mais ne sait pas qu’elle est déjà courtisée par son fils Cléante. Citation : (III, 1) « Quand il y a à manger pour huit, il y en a bien pour dix. » (II, 4 La Flèche) « Donner est un mot pour lequel il a tant d’aversion qu’il ne

naufrage et qui s’est fait engager chez Harpagon comme intendant. Tandis que Cléante aime, secrètement aussi, Mariane, une jeune fille pauvre. Harpagon a enterré dans son jardin une cassette contenant dix mille écus d’or et il très inquiet à l’idée qu’on puisse lui voler. Il en vient à soupçonner tout le monde, jusqu’à ses propres enfants. Il apprend à ses enfants qu’il veut épouser Mariane , qu’il a l’intention de marier Elise à un vieillard et Cléante à une veuve. Il demande à son intendant, Valère