Monologue Comique Amour

aristocratique, le personnage héroïque des romans précieux est en quête d’un amour passionnel (Madeleine de Scudéry, « Clélie », 1654-1660). Mais déjà nous voyons apparaître des personnages plus proches du peuple, ancrés dans les réalités quotidiennes, parfois triviales ou grotesques. Ces personnages évoluent au cœur de péripéties burlesques qui mettent en relief leur caractère médiocre, comique ou grossier (Scarron, « le roman comique », 1651-1657). Le premier véritable roman de la littérature française

la tragédie, et donc de l’art dramatique. Il serait le premier à avoir introduit sur scène un personnage indépendant du chœur lors d’un dithyrambe. Interprétant le rôle principal de son histoire, Thespis aurait, pour la première fois, récité un monologue auquel aurait répondu le chœur. Deux siècles plus tard, Aristote, dans sa Poétique, estime que c’est à partir de ces nouvelles formes de dithyrambes et grâce à l’intervention d’autres personnages et acteurs, que le théâtre a pu évoluer vers une

bleue la nuit, la musique représente un événement (cri de guerre) […]. » Les masques de l'Antiquité amplifient et déforment voix et visages pour mieux souligner l'identité du personnage : une bouche au rire largement ouvert signale le personnage comique… De même, les costumes, aux couleurs souvent tranchées, prennent une valeur symbolique : le traître de mélodrame est vêtu de noir et porte un large chapeau qui lui couvre le visage pour mieux montrer sa vilenie (on peut penser au manteau noir de Don

la tragédie, et donc de l’art dramatique. Il serait le premier à avoir introduit sur scène un personnage indépendant du chœur lors d’un dithyrambe. Interprétant le rôle principal de son histoire, Thespis aurait, pour la première fois, récité un monologue auquel aurait répondu le chœur. Deux siècles plus tard, Aristote, dans sa Poétique, estime que c’est à partir de ces nouvelles formes de dithyrambes et grâce à l’intervention d’autres personnages et acteurs, que le théâtre a pu évoluer vers une

avoué de l’art.Le théâtre est un point d'optique. Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire, dans la vie, dans l'homme, tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art. [...] Le vers au théâtre doit dépouiller tout amour-propre, toute exigence, toute coquetterie. Il n'est là qu'une forme, et une forme qui doit tout admettre, qui n'a rien à imposer au drame, et au contraire 17 doit tout recevoir de lui pour tout transmettre au spectateur. [...] Malheur au poète si son

explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et y affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage. Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, en lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.

avant J.-C., dans sa Poétique, définit la tragédie classique qui, pour lui, représente «  les belles actions et celles des caractères nobles ». Il l’oppose à la comédie qui montre des «  hommes de caractère inférieur ». La comédie est née des jeux comiques improvisés lors des processions en l’honneur de Dionysos. Aristophane est un auteur de comédie antique. Aristote  II- Les règles du théâtre classique Après le foisonnement de la Renaissance et de l’âge baroque, les règles

une opposition à certaines idées de façon plus ou moins détournée et est accessible à tous. De plus l'auteur doit faire face à la censure et aux malentendus avec les spectateurs, et les pièces mettent souvent en scène des conflits : les conflits comiques se révoltent en rires, les conflits tragiques exigent le plus souvent la mort du personnage principal. De ce fait, la mise en scène permet-elle une meilleure compréhension d’une pièce de théâtre et d’accéder à l’originalité de la pièce ? Ou suffit-il

respecte le nombre d’actes et de personnage présent dans l’œuvre de Molière . L’intention du metteur en scène est de dérégler totalement l’univers trop ordonné dans lequel vivent les personnages . En effet , Orgon défie la raison et s’abandonne à un amour hors de sens . .3. Les acteurs . Combien sont-ils en scène ? Quel est leur jeu sur le plateau ? _ Tartuffe : Personnage principal de la pièce . Simule son attachement aux pratiques religieuses pour son intérêt personnel . Il mène le jeu . _ Madame

dans son réquisitoire contre une société inique (injuste). Il ponctue les interventions de Marceline toujours dans le même sens qu’elle (665, 666, 667, par des maximes), comme si il voulait cautionner son discours. Tutoiement, apostrophe « maman », amour filial. Figaro souligne les vices de la nature humaine et se range résolument du côté des victimes de la séduction masculine (637), il esquisse une vision implacable de l’homme (pour soutenir Marceline). « Les plus coupables sont les moins généreux »