Monologue D Hamlet

endroit normal . Critique des unités. La disposition du principe de l’action sur scène : problème de l’action sur scène qui disparait, action qui disparait pour la narration. Le lieu réel est essentiel. Unité de temps absurde. La temporalité longue dans Hamlet joue beaucoup. Hugo réaffirme l’unité d’action, la seule vraie. -La Théorie du drame Le drame doit illustrer l'idée chrétienne de l'homme composé de deux être, l'un périssable, charnel, l'autre immortel, éthéré. -Le mélange des genres Séparer

type de dégradation et d!abrutissement, nous paraissent un spectacle dangereux à montrer au public. » Ce n'est que 39 ans après la mort d'Alfred que Sarah Bernhardt s'empare de Lorenzaccio, le met en scène, le découpe, réduit les scènes et les monologues, enlève toute allusion historique. Forte de sa notoriété, elle interprète elle-même le rôle titre à l'âge de 52 ans, dans une débauche de décors et de costumes qui étouffent avec une perversité joyeuse les significations politiques du texte original

d’agir, où l’infiniment petit remplace les desseins des hommes illustres. La dernière décennie du XXe siècle a vu l’arrivée en force du monologue, inauguré par Beckett, notamment avec La Dernière Bande (1960), où le vieux Krapp, impotent, presque sourd, se repasse les bandes enregistrées par lui trente ans auparavant. Certaines pièces sont de purs monologues, comme L’Hypothèse de Robert Pinget (1961), Oh les beaux jours de S. Beckett (1963), Stratégie pour deux jambons de Raymond Cousse (1978)

Rueil … sans qu’il y soit question de la guerre, de l’Occupation, de la Résistance … 4 l’hésitation entre Brutus – les deux Brutus, Lucius Junius Brutus, consul en -509, et Marcus Junius Brutus Caepio, -85 à -42 (cf. étymologie qui ramène aussi à Hamlet – et Erostrate est éclairante, cf. note 3 p. 96 Et, dès avant sa propre mort, Lorenzo est certain que son acte sera resté gratuit, que l’insurrection (populaire ?) n’aura pas lieu5 : si le « peuple » agit, c’est finalement pour jeter le corps

illusion et réactive la métaphore du monde comme grand théâtre sur lequel les hommes jouent leur rôle sous le regard d’un spectateur (Dieu ?) n’est pas propre à Corneille : Calderon La vie est un songe (1635), Shakespeare Le songe d’une nuit d’été, Hamlet (et plus tard Rotrou Le véritable Saint genest, Molière L’impromptu de versailles, Marivaux Les acteurs de bonne foi…) ont déjà utilisé ce procédé. Corneille toutefois est le seul à le complexifier autant et à en faire le ressort essentiel de l’action :

lieu d’agir, où l’infiniment petit remplace les desseins des hommes illustres. La dernière décennie du XXe siècle a vu l’arrivée en force du monologue, inauguré par Beckett, notamment avec La Dernière Bande (1960), où le vieux Krapp, impotent, presque sourd, se repasse les bandes enregistrées par lui trente ans auparavant. Certaines pièces sont de purs monologues, comme L’Hypothèse de Robert Pinget (1961), Oh les beaux jours de S. Beckett (1963), Stratégie pour deux jambons de Raymond Cousse (1978)

scène, la reine est seule et évoque ses sentiments à haute voix. Identifiez le type de discours théâtral qui est utilisé, ainsi que le registre dominant. Puis, présentez les diverses émotions de la reine et montrez comment elles sont liées. Dans ce monologue lyrique, la reine évoque des sentiments divers. Tout d’abord, elle se sent « seule » et abandonnée (v. 754). Puis, c’est l’exaltation amoureuse qui s’exprime à travers le champ lexical de l’amour, qu’on retrouve aux vers 769, 782, 796 et 797. Elle

fratricide. Ce fratricide n’est pas sans rappeler l’une des tragédies de William Shapkespeare, Hamlet, dans lequel le roi se fait tuer par son propre frère. D’ailleurs dans Le Roi Lion, une scène fait référence à Hamlet, quand Scar est près Zazou, l’ancien conseiller du roi. Scar préfère parler avec un crâne d’une carcasse. Cette scène rappelle le monologue d’Hamlet « être, ou ne pas être, tel est la question. » (Hamlet, William Shakespeare, acte III, scène 1). La scène de la découverte du corps de Mufasa :

pourront analyser de la même manière la séquence sur le plastique, Le Chant du styrène, en soulignant, de surcroît, les références culturelles, très nombreuses, chez Raymond Queneau. On rapprochera cette séquence du monologue de Gabriel dans Zazie (p. 90) où l’accumulation de clins d’œil (Hamlet – Lamartine) crée un effet comique irrésistible. On peut également photocopier Le Lac de Lamartine et comparer. Le pastiche est évident. Puis les élèves s’efforceront de montrer comment le « linguiste» Queneau

intimes apparaissent à travers une parole bien écrite qui actualise des scènes ordinaires dont déborde son œuvre. La représentation de la parole dans l’œuvre de Minyana nécessite une langue libérée, prise sur le vif, qui caractérise souvent les monologues ; Chambres, Inventaires, André. Et une langue structurée, stylisée dans d’autres pièces 16 comme : Drames brefs(1), Drames brefs(2), Le Couloir, La maison des morts, Retour, Ça va, voilà. Car la parole est proférée pour l’oreille, la mémoire