Monologue D Harpagon

Commentaire composé Ce texte est un monologue extrait de l’avare écrit en 1668 par Jean Baptiste Poquelin (dit Molière 1622-1673). Molière est l’un des premiers écrivains de pièce de théâtre ayant réussit à allier le tragique au comique. Nombre de ses pièces sont devenues célèbres : Dom juan Tartuffe, Les femmes savantes, l’école des femmes. Chef de troupe, écrivain et grand comédien, Molière est mort sur les planches en interprétant le malade imaginaire. Molière a été rendu célèbre par son incroyable

inutilisables. Harpagon, par ruse, fait avouer à Cléante, son fils, qu’il aime Mariane; le vieillard prétend imposer ses droits. Une pseudo-conciliation tentée par maître Jacques, cuisinier-cocher d’Harpagon, n’aboutit qu’à aggraver la rupture entre le père et le fils. Sur ces entrefaites, La Flèche — valet de Cléante — s’empare de la cassette où Harpagon cache son trésor. C’est alors que prend place le monologue du protagoniste de la pièce. Il s’agira de voir en quoi ce monologue s’intègre à la

scène 5; La Marmite, Plaute (étude comparative) − Les scènes de conflits : Actes I, 3 et 4 ; II,2 ; III, 2 ; IV,3 et 5 (extraits) − Les procédés pour faire rire : Actes I, 3 et 4 ; II, 1 et 5 ; III, 1et 5 (extraits) − Le monologue d'Harpagon : Acte IV, scène 7. − Le monologue d'Euclion, Acte IV, scène 9; La Marmite, Plaute (étude comparative) − Le quiproquo et le dénouement : Acte V, scènes 5 et 6. Etude de l’image : − L'Avare, d'après l'oeuvre de Molière, film de Louis de Funès et Jean Girault

Molière : L' Avare Extrait : Monologue d’Harpagon, Acte IV, Scène 7 Ce passage est un extrait de la Scène 7 de l'acte IV de la célèbre comédie L'avare écrit par Molière au XVIIe siècle. Il s'agit d'un monologue du personnage principal Harpagon qui dans un discours incohérent se repend en imprécation contre le voleur de sa cassette. Ce passage a une fonction critique et la visée du dramaturge est de dénoncer le comportement obsessionnel d'Harpagon. Comment le dramaturge procède-t-il à la

jouées sous le règne de Louis XIV. Nous allons alors nous intéresser au monologue d'Harpagon dans son œuvre L' Avare, représentée pour la première fois en 1668 où il dénonce l'avarice. Dans un premier temps, nous nous intéresserons à la folie d'Harpagon puis dans un second temps, nous montrerons son attachement pour l'argent. Enfin, dans un troisième temps nous montrerons le comique de cette scène. En effet, Harpagon est véritablement fou, il l'avoue d'ailleurs lui même avec « Mon esprit

l’analyse d’une scène (page 7) Bonne lecture ! Harpagon, veuf qui est le père de deux enfants, leur impose, comme à ses domestiques, des conditions d'existence indignes du fait de son avarice de bourgeois pourtant riche qui fait obstacle à leurs amours respectifs. Sa fille, Élise, est amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain qui lui a sauvé la vie et qui s’est introduit incognito dans la maison en qualité d’intendant, mais Harpagon consentira-t-il au mariage? Son fils, Cléante, aime Mariane

(page 7) Bonne lecture ! Résumé Harpagon, veuf qui est le père de deux enfants, leur impose, comme à ses domestiques, des conditions d'existence indignes, du fait de son avarice de bourgeois pourtant riche qui fait obstacle à leurs amours respectifs. Sa fille, Élise, est amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain qui lui a sauvé la vie, et qui s’est introduit incognito dans la maison en qualité d’intendant ; mais Harpagon consentira-t-il au mariage? Son fils, Cléante, aime

des deux personnages principaux est de garder l’argent qu’ils possèdent. Ces deux personnages sont monomanes car ils ont un souci obsessionnel de leur or ou argent. 2) Le monomane le plus inquiet le plus agité est Harpagon à qui on vient de dérober son argent car le monologue contient de nombreuses modalités de phrases exclamatives, interrogatives et interro-négatives « Au voleur ! Au voleur ! à l’assassin ! au meurtrier ! », « Où courir ? où ne pas courir ? ». 3) Les figures de styles dominantes

impératives:faire rire et plaire au public. Dans L'Avare, c'est l'affrontement entre la jeunesse et un père épris de son argent. Une pièce où la réflexion et la sensibilité alternent avec les éclats de rire. C'est une pièce qui met à l'extrême l'avarice dans un Harpagon aigre, têtu et sans coeur. Voyons ensemble les importantes traits de cette merveilleuse pièce… Molière présente plusieurs types de comiques ce qui le rend très vivant et évite donc l’ennui. Molière a pu reconnaître et éprouver les

regard” 1) Harpagon, Hermione et Le Guide s’épanchent tous trois dans des monologues. C'est-à-dire qu’ils parlent au public, ils lui adressent la parole directement (l’exemple du Guide) ou indirectement (l’exemple d’Hermione ou de Harpagon) par des questions qu’ils se posent. Le spectateur est donc impliqué et en même temps intégré dans la scène, puisqu’il est le témoin de ce moment d’émotion dans lequel le personnage se laisse aller à des confidences et se révèle au public. Grace au monologue, le personnage