Monologue De Tartuffe

différent de celui Madeleine Renaud, qui interprétait en 1961 ce même rôle.  Le  choix  d’un  acteur  plus   jeune  ou plus vieux, ou  « non conforme »  peut également modifier le  sens  donné  au  texte  théâtral..  Imaginons  que  l’acteur  qui  incarne  «  Tartufe  »  de  Molière  soit  «  gros  et  gras,  le  teint  frais,  et  la  bouche  vermeille»,  ou  alors  que  l’acteur  ait  un  physique  ascétique.  Ce  basculement  change  le  sens  du  personnage,  et  de  la  pièce  dans  sa  globalité.  Ainsi 

5 Moments : 1) Identifier le sous genre : comédie, tragédie 2)identifier le moment de la pièce ( scène d’exposition, nœud dramatique, le dénouement y a-t-il un suspens) 3) identifier le type de parole monologue, dialogue? À qui s’adresse le propos? Il peut y avoir deux niveau : apparent ou caché voir aussi le jeu 4) identifier la circulation de la parole 5) la double énonciation auteur /spectateur ou perso/perso ou perso/spectateur Qui parle à qui

cette description devient une réalité concrète. A la lecture, on imagine, et à la représentation, on voit, ce qu’un autre a imaginé, ce que le metteur en scène a compris de la pièce, et ce dont il veut que l’on retient. Dans la scène d’exposition du tartuffe, l’énergie de l’héroïne de la scène, et son abattage apparaît sur scène comme une évidence, alors qu’elle peut nous échapper à la lecture. Molière dit d’ailleurs que l’ « on sait bien que les comédies ne sont faites que pour être jouées et [ qu’il

ont choisi de réinterpréter à leur goût le désespoir ou les craintes de la jeune fille. L’autrichien, Hugo von Hofmannsthal, met en valeur le personnage - dans l’Opéra Elektra dont il est l’auteur du livret – en lui léguant un long monologue en début d’acte. Ce monologue s’adresse à Agamemnon, comme le montre les nombreuses apostrophes et questions (« Où est tu, Père ? »). Cette réécriture de la pièce de Sophocle conserve le registre tragique mais affirme également un registre pathétique à travers

Grande comédie , Avare, Tartuffe, Malade imaginaire, Dom Juan, Misanthrope. A la fin de sa vie, vit à Versailles, avec de gros moyens, compose des comédies balais : Composition de Lully, grand maîtres de balais, peintre (décor = tentures), Molière : Tous associés. L'avare a un succès moyen : pièce dérangeante car ne respectait pas tout à fait les règles de bienséance, fils qui vole son père qui s'oppose à lui + hypocrisie de Valère. Pièce éclipsée par le scandale de Tartuffe. Le contexte Politique

 ACTE I : Scène 1 : La scène s’ouvre in media res ( = en pleine action) sur le fameux monologue de Sganarelle sur le tabac. Il s’agit d’un éloge sdu tabac assez surprenant qui peut s’expliquer par le fait que molière était opposé à l’interdiction par l’Eglise au 17r siècle. Puis Sganarelle, le valet de Dom Juan, s’entretient avec Gusman, celui de Done Elvire. On apprend que Done Elvire, après avoir été enlevée d’un couvent et épousée par Dom Juan, vient d’être abandonnée par lui. Gusman interroge

d’une pièce de théâtre, il est chargé de faire en sorte de mettre en valeur certains aspect d’une pièce de théâtre, la relation des personnages entre eux par exemple, cette idée est manifeste dans la mise en scène de Roger Planchon de Tartuffe, dans l’acte un, Tartuffe un faux dévots, accueillit par Orgon chez lui, contrôle de plus en plus la vie de la maison ce qui insupporte tous les habitants à l’exception de Madame Pernelle, matriarche de la famille qui croit à la sincérité du dévot, dans la scène

Jeux → religieux d'abord puis profanes → distinction entre le théâtre profane et le théâtre religieux très peu marquante et pertinente au XIIIème siècle. Existe aussi les « dits » → Jeux mettent en scène plusieurs personnages alors que Dits → monologue versifié → déclamé par jongleur. XIVème siècle → long déclin du théâtre. Pays secoué par succession de crises politico-économiques très grave, Guerre de 100 ans (dure de 1337 à 1453), la peste noire (de 1347 à 1352) → déciment une partie de la

l’insulte même, heureusement le comique des révérences vient apaiser cette scène qui frôle le drame. Le long monologue de Figaro, par son contenu, sa tonalité pathétique convient mal dans une comédie. De plus, cette sorte de guerre entre Figaro et le Comte créait une atmosphère tendue, bien qu’elle fasse rire le public. L'utilisation de nombre d'apartés, ou encore la présence de monologue de la scène 16 de l’acte V permet donc d'accentuer l'atmosphère de complot et de drame. Par ailleurs, cette tirade

qu’argumentatives ou philosophiques. Les deux dramaturges affichent d’emblée des intentions satiriques, voire polémiques, et utilisent pour cela des procédés à la fois comiques et dramatiques dans le dialogue entre les personnages de La Colonie, comme dans le monologue de Figaro, porte-parole de Beaumarchais. Tous ces personnages expriment critique et revendications : les femmes réclament d’être associées à la vie de la cité et de pouvoir pratiquer tous les métiers, Figaro dénonce avec emphase l’arbitraire des